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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Presstalis et le Droit

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La messagerie s'octroie des droits qu'elle n'a pas.
Nous sommes tenus de déclarer les écarts de réception sous 48h faute de quoi il ne sont pas pris en compte. C'est légitime.
Eux ont décidé, pour se simplifier la vie, de créditer nos bordereaux d'invendus sans les contrôler et de s'offrir le droit de revenir dessus dans le délai qui leur convient (8 jours, 15 jours, il n'y pas de limite).
Il va sans dire que ce n'est pas légal et que, dès lors qu'ils ont crédité sans observation il ne leur est plus possible de revenir en arrière.
N'importe quel avocat saura faire un référé pour recouvrer les sommes déduites à postériori.

Pire encore. Pour faire passer ses écritures rectificatives, ils ne respectent pas les obligations informatiques qu'ils ont eux mêmes imposées. Les fichiers contenant lesdites lignes rectificatives ne contiennent pas la moitié des éléments obligatoires prévus dans leur cahier des charges informatique. Cahier des charges qu'ils imposent aux SSII qui développent nos outils de gestion et sur la base du respect duquel ils accordent ou non leur autorisation de vente desdits logiciels aux points de vente de presse.(homologation). Ce faisant ils faussent toute notre gestion informatisée de stock.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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"Gestion informatisée"
quand on calcule une facture à partir d'invendus du numero x et qu'on les déduit de la livraison des numéros y , c'est pas trop informatisé .
les logiciels presse servent uniquement aux marchands pour trouver les manquants lors d'un inventaire ou pour faire les "fameux " invendus , ainsi que la gestion du magasin .
chez PRESSTALIS on tourne au "boulier"sinon comment pourrait il faire payer le stock livré chaque jour
la peur doit changer de camp

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Je crois malheureusement que nous pourrions créer un feuilleton, comme cela existait par le passé dans la presse concernant Presstalis.
  - Presstalis et le droit
  - Presstalis et l'informatique
  - Presstalis et le SAV
  - Etc   

Effectivement je pense que nous l'avons tous constaté, sur une même journée ou il y a des plus et des moins, le SAV facture tout de suite les plus. Les moins ne sont pas traités.

Evidemment aussi des écarts sur les invendus ou seul le service contrôle à le dernier mot.

Concernant les litiges il faudrait que le CEFOREP  programme des cours de "ZENDESK"  car on y comprend pas grand chose. Ce système porte mal son nom ou est fait pour un nombre limité de litiges, car vu le nombre que nous avons, qui peut rester zen à son bureau.


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Les dépositaires sont en voie de disparation, nombreux sont ceux que Presstalis a avalé.
Il en reste une poignée.
L'un d'entre eux livre mon pdv, aucun, mais aucun dysfonctionnement n'est à signaler.
Peut-on généraliser cet état de fait à l'ensemble des dépôts indépendants ? 
Une réponse positive confirmerait la volonté de nuire de Presstalis établissant le système d'escroquerie financière organisée au détriment des marchands.

Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Neiges 
Pourquoi a ton avis refusent ils de mettre en place la facturation 
facture=total des numéros scannés caisse - les coms .
tout simplement  parce qu'il est impossible de tricher avec une caisse informatisée .
la ou c'est drôle , le gvt exige pour 2018 que tous les commerçants travaillent avec des caisses certifiées pour éviter les fraudes 
j'aimerais savoir si cela s'applique aussi chez Presstalis !!!!!!!
Gamma 
Pour les cours du CEFOREP nous n'en avons pas besoin .nous avons sur le blog 123456 qui nous explique le pourquoi du comment 
la peur doit changer de camp

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Ce n'est pas une volonté de nuire mais une orientation en faveur de ses propres intérêts qui nuit au réseau. A cela s'ajoute une désorganisation importante due aux licenciements et au désengagement des éditeurs jusqu'à présent. Par là-dessus il faut encore rajouter la défense des intérêts individuels des éditeurs au détriment de l'efficacité de la messagerie.

C'est un problème d'indépendance de la gouvernance.
C'est également une question de moyens, les éditeurs ne voulant pas payer suffisamment pour le service rendu et justifiant cela par la mauvaise qualité de celui-ci. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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