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Justement, c'est pour ça que je n'ai plus rien à faire avec l'undp. Me croyez vous indispensable chez eux ??? Même s'ils m'invitaient, qu'y ferais-je ? Spectateur, acteur ? Vous seriez les premiers à dénigrer en disant que l'undp n'a pas assez en interne pour défendre ce qu'il y a encore à défendre. Pour ma part, je crois qu'il n'y a plus rien à défendre, ayant vu (qq années très proche du plus haut niveau) comment l'amont du système est verrouillé, pollué, égoïste. Mais si vous restez fixé que je suis toujours parmi eux, tant pis.
Souvenez vous, je suis sur ce blog parce que ça m'amuse. Parce qu'il y a de quoi faire, quand on voit le niveau de certains, mus par le seul ressenti, et incapable de tout discernement. Certainement des "défaitistes" comme moi, mais qui n'ont pas encore compris qu'ils perdent de l'argent en attendant quoi ; qq points de plus de com. qui ne viendront plus maintenant.
Je vous soupçonne, comme beaucoup d'autres, qu'en silence vous n'y croyiez pas non plus.
Je sais évidemment ce que vous allez me répondre.

Nous n'attachons aucune importance à ce que vous soyez, ou pas, en liaison avec des gens de l'UNDP. Chacun est libre sur ce blog.
En revanche, vous voir écrire que vous savez ce qu'il s'y dit sans avoir de contact avec eux n'est pas cohérent.

L'avenir est dans la recherche du progrès; vous devriez vous y associer ou, pour le moins, ne pas le combattre au nom de votre ressentiment.    
Quant à ma croyance dans les possibilités d'évolution, si elle n'est pas totale bien sûr, elle est réelle, quoi que vous en pensiez. Quel serait mon intérêt de défendre aussi activement un projet auquel je ne croirais pas ?
Que des dirigeants UNDPistes aient baissé les bras parce qu'ils n'y croient pas et qu'ils ont plus d'intérêt à faire profil bas que de défendre des idées est possible. Le ver est dans le fruit.
Mais maintenant, avec l'AADP il l'est des deux côtés car nous avons perforé les lignes d'en face. Rien ne dit que ce sera suffisant; mais nous sommes là et les temps changent ...

Le CSMP a saisi dans le délai prévu de 15 jours l'ARDP en lui demandant de réviser sa position sur le projet supérettes et en demandant à être entendu en compagnie des représentants des syndicats d'éditeurs. Je doute que le SAEP soit convié. Mais après tout, le CSMP n'est pas à un écart près en matière d'objectivité.

Ceci dit le CSMP s'affiche encore comme le relais officiel du SEPM qui lui a manifestement fourni le courrier tout fait contenant les arguments juridiques à opposer à la décision de l'ARDP.
Et ils n'hésitent pas :
- Le Droit communautaire ne s'appliquerait pas à la Presse.
- Le Conseil Constitutionnel leur donnerait raison (alors que celui-ci ne parle que des IPG)
- Le Droit de la concurrence ne s'applique pas si la Loi Bichet est respecté (en l'occurrence elle ne l'est pas mais ça c'est certainement secondaire).
- La Cour de Justice Européenne autorise à fs'affranchir du Droit commercial 
En un mot la presse est un état de non droit.
Sûr que M. Pluyette,Président de l'ARDP et de la Cour de cassation va apprécier.
C'est ce que nous allons voir bientôt.
de notre côté nous ne manquerons pas de faire valoir nos arguments en contradiction de ceux du CSMP.

L'ARDP a tranché en confirmant au CSMP qu'ils ne seraient pas opposés à l'objectif annoncé si la solution proposée respectait le Droit.
En cela l'ARDP est pleinement dans son rôle et ne peut être blâmé par qui que ce soit.
Et le SEPM et le CSMP auront du mal à revenir sur ce sujet.
Un pas est donc franchi, dans le bon sens.