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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

A l'attention des soutiens de Culture Presse

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Au premier rang de ceux-ci sur ce blog se trouve 123456 alors nous lui posons directement la question : 

Vous qui êtes partisan de l'autonomie décisionnelle des points de vente, soutiendriez-vous un projet imposant à nos confrères d'obtenir une autorisation pour pouvoir réduire leur linéaire ?   
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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il va te répondre qu'il n'est plus soutien de CULTURE PRESSE.
la peur doit changer de camp

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Il semble que la question ne soit pas claire et empêche 123456 d'y répondre alors nous la formulons autrement : 

- un organisme défenseur des marchands soutient un projet imposant l'obligation d'obtenir un accord des éditeurs pour avoir le droit de réduire son linéaire.
- un autre organisme défenseur des marchands s'oppose à cette nouvelle privation de liberté.

Quel organisme auriez-vous choisi de soutenir pour défendre les intérêts des marchands ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

en effet, l'obligation de présenter 150 titres IPG (l'esprit initial de la loi Bichet) doit nous permettre de gérer notre pdv comme bon nous semblent pour les autres titres
les éditeurs craignent d'etre déréférencés et certains incompétents ont raison d'avoir peur
mais nous savons tous que les lecteurs veulent du choix et nous marchands saurons répondre à cette demande comme nous le faisons pour les autres activités

Rappel : tout diffuseur qui souhaite réduire son linéaire de presse le peut, sans rien à demander à personne. Comme mettre fin à son activité de diffuseur. Ces initiatives ne plaisent pas du tout à nos chers fournisseurs, mais que chacun s'occupe de ses propres affaires, et pas de celle des autres.
La question ne me gêne pas, mais connaissant votre partialité, donner un avis sans connaître le projet exact est impossible.
Quoiqu'il en soit, toute tentative de conditionner une telle initiative est effectivement mauvaise pour le réseau, que ça vienne d'éditeurs ou de qui que ce soit. Que ça vienne de CP, et que ce soit contre le réseau, je n'y crois pas une seconde.
Mais dans les faits, et même vous sur ce site, êtes déja trop frileux pour prendre la décision de réduction ou d'abandon sans évoquer (vu plusieurs fois ici) ou craindre les refus et menaces des fournisseurs que votre soi disante liberté est déja auto sacrifiée.

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Vous ne croyez pas une seconde que ça vienne de CP. 
Bien ! Nous non plus ne croyons pas que ce soit son initiative.

En revanche nous déplorons qu'une organisation, quelle qu'elle soit, soutienne cette initiative en apposant sa signature sur un projet contenant cet engagement.
 
Vous n'y croyez toujours pas ?
Lisez la dernière phrase de l'article 20 du projet soutenu par CP : 
Projet d'accord interprofessionnel rédigé et soutenu par le SEPM et CP

Projet mis en ligne par l'ARCEP pour appel à contribution publique.

Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Pour le plafonnement et l'assortiment, rien ne paraît absurde.
Pour faire vite, où se trouve précisément ce que vous leur reprochez ?

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 "dernière phrase de l'article 20" ce n'est pas assez précis pour vous ?

Et vous prétendez avoir lu ce document confus de 20 pages et pouvoir déclarer que rien ne vous paraît absurde ? 

Ce projet n'est aucunement conforme à la Loi. Il est contre-productif pour la filière et néfaste pour son réseau et les petits éditeurs.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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[i][/i]notre ami SHELDON ne craint pas le ridicule , mais ça on le sait depuis des années

"Rappel : tout diffuseur qui souhaite réduire son linéaire de presse le peut, sans rien à demander à personne. Comme mettre fin à son activité de diffuseur. Ces initiatives ne plaisent pas du tout à nos chers fournisseurs, mais que chacun s'occupe de ses propres affaires, et pas de celle des autres."
peut il nous préciser POURQUOI il a fermé boutique ?
la peur doit changer de camp

On ne lit donc pas la même chose. 
L'article interdit-t-il à tout diffuseur d'augmenter ou de réduire son linéaire ? NON
Je pense au contraire de vous, qu'il ne peut QUE être favorable aux diffuseurs, surtout si en amont, comme c'est bien précisé, les livraisons sont cohérentes avec le linéaire. Or, le problème pour beaucoup de magasins, c'est que ce n'est pas le cas...ça n'a jamais été le cas.
Qu'est ce qui vous choque, qu'est ce qui vous bloque ?
Et que reprochez vous à CP ?

A Hypso, qui tient absolument à montrer son incapacité à comprendre :
Je n'ai pas fermé boutique. Au contraire, elle n'a jamais marché aussi bien. J'ai fait ce qui est dit, cad informer mon dépositaire de venir reprendre toute la presse pour exploiter mieux autrement. Sans lui demander si c'était permis ou pas. Ce sont eux à notre disposition, pas le contraire. Sauf pour ceux qui ne connaissent pas leurs droits professionnels, ou qui se font influencer par des loosers...

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Mensonge. L'article dit que pour réduire son linéaire il faudra obtenir l'accord préalable de la CRDP. Or la CRDP c'est 10 personnes dont 9 du SEPM et 1 FNPS qui n'auront aucun intérêt à donner cet accord. Il a été ajouté pour empêcher les marchands de réduire leur linéaire en leur supprimant ce droit. Tout simplement parce qu'en ce moment le nombre de demandes de passage en PVC explose. C'est honteux et illégal. En le soutenant CP prouve, si  c'était encore nécessaire, que cette organisation ne défend pas les droits des marchands mais ceux du SEPM. Et vous, en faisant semblant qu'il  ne se passe rien, vous êtes malhonnête vis à vis de nos confrères. 

Vous n'avez manifestement pas lu cet accord et prenez une position de pure forme, conformément à celle que vous avez toujours tenue car il vous est impossible d'admettre que vous avez tort. 

Vous dites que les ventes seront cohérentes avec le linéaire alors que l'accord prévoit 16 ou 18 titres/mld (50% de plus que ce que le CSMP avait décidé) et que même les titres CPPAP ne faisant pas partie de l'assortiment (parce que ne respectant pas les limites définies) pourront être livrés de force sans que le marchand puisse s'y opposer. 
Là encore, comme CP, vous êtes malhonnête et tentez de masquer la réalité.

Quoi qu'il en soit, et heureusement, vous n'êtes pas juge. 
L'ARCEP est là pour empêcher ces manoeuvres lamentables et illégales de l'entre-soi persistant.
Et nous sommes là pour les aider, si il en était encore besoin, à décrypter les manigances et irrégularités. 

Soit le règne de cet entre-soi  nauséabond se termine là, soit ça va être la débandade totale.
Cela fera peut-être l'affaire du SEPM mais certainement pas celle de CP.
CP n'existe déjà plus que par son adoubement intéressé par le SEPM.
Cet organisme n'a plus aucune réalité. 
L'opération commerciale  menée conjointement avec le plus grand groupe éditorial en France n'a réunie que 0.8% des marchands et encore a-t-il fallu que la direction de CP intervienne fermement auprès de quelques-uns de ses cadres régionaux pour qu'ils acceptent d'être sur la liste.

Nous n'avons plus longtemps à attendre pour savoir.
Mais vous, venez de faire la preuve de votre malhonnêteté à l'égard de nos confrères.    
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Sur ce sujet, c'est la première fois que je vous donne plutôt raison. CP n'aurait pas dû accepter que nos fournisseurs puissent formellement interdire à tout diffuseur de réduire son linéaire.
Mais c'est pas encore joué. C'est rédigé entre très peu de gens, et facilement attaquable et défendable pour le motif suivant : Pour qui se prennent ces GORETS pour se prévaloir du droit de dire ce qui est bon ou pas dans un magasin qui leur est inconnu ?
En plus, cette limite à la liberté d'indépendants est contraire au droit d'exploiter un magasin multi activité, alors que ces mêmes Pignoufs ont demandé aux Relay de traiter plus de taxable pour pallier à la baisse de la presse !
C'est tellement gros que ça semble inapplicable, et c'est la raison pour laquelle ça ne m'a pas fait trop réagir à la première lecture.
En "interdisant" toutes les demandes de diminution de linéaire, la CRDP pense sauver du linéaire....en fait elle sera responsable de démissions pures de 100 % de la presse quand les diffuseurs auront plus intérêt à complètement virer la presse que continuer à voir son CA baisser. Car qui va investir dans un secteur tué en amont par ses propres intervenants ?
Les initiateurs ont peut être voulu lancer un ballon d'essai. Lancez leur vos invendus.
Cette contrainte est un système autoritaire qui souhaite rétablir l'esclavage. C'est un anachronisme professionnel...de plus.
Serait-ce le chant du cygne ?

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Tout de même. Vous y arrivez enfin. Ca a été long !
Et vous voyez, CP soutient ce projet. 
Plus exactement, le Président de CP et le DG sans lequel il ne serait rien.
Le reste de CP n'est au courant de rien.
Ils ne sont pas consultés et n'ont pas voix au chapitre.
Tout se fait dans leur dos. 
Ils diront "on ne savait pas". Comme les allemands en 1946.
Mais ils devraient savoir. C'est leur rôle de représentant. 
Ils ne doivent pas ignorer les sujets et laisser faire n'importe quoi par des dirigeants sans exiger d'être informés, consultés et écoutés.
Leur passivité est fautive, même si elle l'est moins que celle des dirigeants dont les motivations restent à éclaircir.  

Mais ce n'est pas le chant du cygne. C'est un plan construit. 
Soit l'ARCEP valide et le réseau disparaît : objectif atteint. Possibilité de reconstruire sur des bases neuves, de détenir les clés du réseau, et d'évacuer les petits éditeurs concurrents. 
Soit l'ARCEP refuse et rend sa propre décision (ce qui est le plus probable) et le SEPM sacrifiera les messageries sur l'autel de l'ouverture à la concurrence dès 2023. 
Et là je nous nous rejoignons enfin : c'est les messageries ou nous.
Et pour nous, ce sera nous qui resterons car nous avons une utilité sociale et représentons plus d'emplois (non délocalisables).
Les messageries sont des logisticiens ayant trop longtemps bénéficié de privilèges.
L'ouverture à la concurrence va faire tomber ces privilèges.
Elles vont devoir, soit rentrer dans le rang et devenir performantes en termes de qualité de service, soit disparaître.
Pour l'instant elles sont soutenues par le SEPM, le temps qui les sépare de l'ouverture du marché. Ca ne durera pas.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Plan construit, non. Plutôt subi par la baisse des ventes. Ils sont paumés professionnellement mais assurent le nombre de trimestres nécessaires pour une retraite supérieure à la moyenne. C’est tellement affligeant que ça ne peut être que ça. Pour eux, l’avenir du métier et l’intérêt général passe après. Ne comptez que sur vous dans vos magasins. Surtout pas d’eux.

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Nous ne partageons pas cette vision étriquée de nos opposants.
Ils défendent leurs intérêts mais sont loin d'être incapables de prévoir.
Au contraire. 
Ce n'est pas parce qu'ils ne font pas ce que l'on est en droit d'attendre d'eux que leur action est non maîtrisée.
Ils ont un coup d'avance car ils sont déjà en train de négocier, pour leur compte, avec de nouveaux acteurs. 
Pour info/rappel : 
Amber Capital va vendre ses parts (18%) dans Lagardère à Vivendi qui lance immédiatement une OPA sur LAGARDERE.
M. Bolloré détient d'ores et déjà 45.1% des parts et 35% des droits de vote.
Or il possède aussi Interforum.
Dont la PDG est ... M. BENBUNAN ex PDG de PRESSTALIS, ex HACHETTE Livre.
Et il possède également PRISMA et envisage d'autres acquisitions dans le secteur. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Quel rapport entre CP et les tractations entre ces multinationales ?
N’avez vous pas l’impression d’en faire un peu trop sur CP ? Reposez vous un peu, un bon bol d’air ne fait pas de mal ! 

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Ne ramenez pas tout à CP. Le sujet était clos puisque vous avez compris que sa prise de position, en soutenant ce projet, était contraire à l'intérêt des marchands. 
Nous parlions maintenant de nos opposants.
CP n'était plus le sujet et n'est à nos yeux qu'une organisation détournée de son rôle par des dirigeants malsains abusant de leur pouvoir et agissant sans contrôle interne.
Sur le plan de ce que nous traitons - l'intérêt des marchands et de la filière- ce n'est qu'un pion satellite, parmi d'autres, du SEPM qui constitue notre réel opposant.
Il constitue un handicap en validant des décisions contraires à l'intérêt des marchands comme celle que nous venons de voir, et en servant ainsi de caution à nos opposants vis-à-vis de l'administration. La DGMic, dans un rôle de conciliateur avec les éditeurs, ferme les yeux pour satisfaire le SEPM et éviter des vagues.
L'ARCEP, dans un rôle de gendarme, est moins conciliante et plus pragmatique. C'est pourquoi d'autres approches, dont celle de l'AADP mais pas uniquement (même si actuellement l'AADP constitue la plus visible), sont évaluées.

Pour revenir sur cet accord, outre cet article 20 qui est inacceptable, bien d'autres points sont contraires non seulement aux intérêts des marchands mais également à la Loi. Nous ne les détaillerons pas ici maintenant. Mais nous les avons listés et explicités dans notre contribution qui sera publiée sur ce blog dès la clôture du délai de réponse de l'appel à contributions (30 septembre 2021). Ce projet est émis pour ne rien modifier et contourner la Loi Bichet modifiée. Il ne peut être validé sans démentir la Loi et la réforme engagée. Nous en doutons.
Toute la difficulté du régulateur sera de contraindre les acteurs à accepter de changer de ligne de conduite. Il est évident que ce ne sont pas les éditeurs du SEPM qui vont en faire les frais et qu'ils vont sacrifier leurs fusibles. Il est regrettable que le président de la principale messagerie (à l'heure actuelle) ait choisi, comme les dirigeants de CP dont il déplore l'action, de satisfaire les exigences du SEPM au lieu de soutenir l'action de l'Etat. Il aurait pu sauver son entreprise en adoptant le parti de la réforme. Il est en train de la sacrifier en pensant satisfaire des commanditaires qui n'auront aucune reconnaissance et le laisseront tomber dès 2023. Vous voyez, nous sommes bien loin de CP.
Cet épisode ne fait que retarder l'échéance. Ca laisse le temps au SEPM de s'organiser. 
Mais à terme le nouveau profil de la distribution ne fait aucun doute.
Elle sera plus rationnelle, plus performante, plus qualitative, et moins coûteuse.
Vous voyez que nous nous rejoignons là.
Mais ce n'est qu'à terme, après avoir nettoyé les écuries d'Augias.
Et l'ARCEP n'est pas Hercule mais un service de l'Etat.
Cela ne se fera donc pas en un jour. 
L'essentiel est que cela se fasse et cela en prend bien le chemin.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Ce discours est séduisant. Mais ça ne reste que votre position, votre attente.
Car je pense que la grande majorité de l'amont ne cherche comme toujours, qu'à gagner du temps, en espérant que rien ne change. Cette technique a toujours marché, et a de fortes chances de continuer encore qq années, pour accompagner la baisse des ventes qui mécaniquement ne sera plus supportable pour une structure pareille.
Pour changer ça, il faut une volonté commune, ce qui n'est absolument pas le cas pour ces gens qui ont plus à gagner en jouant la montre.

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Vous évoquez la nécessité de l'existence d'une volonté commune.
Cette volonté n'existe pas mais elle n'a jamais existé.
La représentation n'est qu'un leurre, de tous côtés.
Côté éditeurs 80% au moins des éditeurs ne sont ni représentés ni impliqués.
Côté marchands, idem.
Ca a toujours été et, cela restera comme ça car la majorité de ces acteurs refuse de s'impliquer dans la gestion de l'avenir. Ils préfèrent s'en remettre à d'autres et s'adapter à ce qui leur est imposé.
Ce qui est nouveau, et ce pourquoi nous avons travaillé depuis des années, c'est la remise en question de l'équilibre des forces. 
Auparavant, l'autogestion permettait une exploitation orientée uniquement dans l'intérêt de quelques groupes puissants. Ils devaient certes composer à la marge avec des acteurs de second rang mais, ils faisaient globalement ce qu'ils voulaient. 
Dorénavant, l'externalisation de la régulation conditionne les décisions à l'intérêt collectif.
Ce n'est naturellement pas une garantie d'un équilibre parfait mais c'est le gage d'un rééquilibrage moins défavorable. 
Nous n'avons pas été "suivis" par l'Etat. Nous l'avons alimenté avec des éléments factuels indéniables et utiles pour lui. 
La situation, telle qu'elle était, ne permettait pas la nécessaire adaptation à l'évolution prévisible du marché. Poursuivre sans changement entraînerait inéluctablement une privatisation de l'information imprimée sans aucun contrôle possible. Lâcher de l'argent est toujours possible. Reste à savoir dans quelle mesure. L'Etat a jugé qu'il était temps de limiter les exigences, voire de les réduire. Il faut dire qu'il est aidé par l'amoindrissement de sa dépendance du fait de l'apparition de canaux de communication concurrents. Il faut aussi se souvenir qu'il a gagné en indépendance dans ce secteur depuis l'abandon de celui-ci par le groupe Lagardère dont les autres activités justifiaient une grande mansuétude. 
Bref, aujourd'hui, ce n'est plus qu'une discussion, une négociation, un peu tendue, entre des acteurs économiques influents (mais moins que leurs prédécesseurs) et l'Etat. Rien de bien difficile pour le locataire de l'Elysée. 

Côté marchands maintenant.
 
Si la situation s'enlise il faudra en tirer les conséquences et tirer sa révérence. 
Mais il y a peu de chance que cela arrive car le rapport de force est maintenant très favorable à l'Etat qui a toutes les cartes dans sa main (besoin d'aide des éditeurs face aux GAFA, agrément du SEPM+FNPS en qualité de représentant de branche professionnelle indépendante ou rattachement à une autre branche, agrément des titres par la CPPAP conditionnant l'accès aux aides financières, etc.) Même si M. Bolloré reprend le groupe Lagardère il n'aura jamais l'influence du père Lagardère, dirigeant d'EADS. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il ne se positionne pas en soutien des politiciens traditionnels pour le moment. Il aura plus d'influence auprès de politiciens moins attachés aux structures traditionnelles. Cela peut se comprendre mais c'est un jeu dangereux et ceux aux pouvoir ne le laisseront pas faire sans réagir (ex. récente décision du CSA).

Ainsi donc, si comme nous le prévoyons la situation ne s'enlise pas, la réforme va avancer. 
Certainement pas aussi vite que pourraient le souhaiter les attentistes, toujours prêts à demander la lune par manque de réalisme.
Mais elle va avancer au rythme de la négociation, l'Etat laissant le temps au éditeurs de se réorganiser mais imposant cette réorganisation. 
Seuls les intermédiaires, non indispensables et remplaçables, feront les frais de l'accord trouvé entre l'Etat et les éditeurs. 
Les marchands eux, conservant leur utilité, retrouveront un peu plus d'autonomie et de bien-être.
Nous y travaillons.  
 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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