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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

C'est toujours la faute des autres.

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Ca me rappelle quand nous étions gosses : C'est pas moi , c'est lui !
Le SAEP (ou plus exactement son président qui n'a consulté que lui mais n'a pas jugé utile de solliciter l'avis des membres de son association, bureau compris), vient de communiquer en accusant France Messagerie de tous les maux.
Il relaie ainsi, sans discernement , les arguments du Président de MLP pour qui tout est bon pour n'admettre aucune responsabilité dans la situation dégradée actuelle de la filière et prévisible de son entreprise. C'est la faute des autres on vous dit !
Aucune remise en question du mode de fonctionnement inadapté à la tendance baissière du marché.
Aucune remise en question de la qualité de la prestation fournie et de l'absence d'amélioration de celle-ci. 
Tout est la faute de France Messagerie.
Peu importe si ce qu'on lui reproche a été décidé par le CSMP ou par l'Etat. 
Il faut un coupable et il est hors de question de se remettre en question.
Pourtant, il est bien évident que ce type de comportement n'a aucun avenir et ne changera rien à la réalité.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Éditeurs, syndicats d’éditeurs et messageries…tous interdépendants mais aussi divisés !
Et croyez vous toujours que tout ça soit propice à construire qq chose ?
Cherchez le maillon faible !

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Il n'y a pas à croire ou ne pas croire. Le changement est inéluctable.
Que certains tentent de jouer la montre n'y change rien.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Les éditeurs ont,par facilité, délégué la logistique et la relation commerciale aux messageries alors que celles ci étaient étaient, par le système coopératif sous la responsabilité des éditeurs
cette opacité voulue permettait de passer pour les" gentils" aux éditeurs,le systeme coopératif est juridiquement très clair, reste aux éditeurs la solution de se faire greffer des c....... mais pour ça il faut trouver un donneur et ils sont rares!

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C'est vrai. Comme souvent des constats mais pas de propositions.

il critique le système alors que lui et ses confrères éditeurs ont gagné deux ans et plus sur la réforme puisque qu'aucun n'a respecté l'article 5.3 

Dernière modification le mercredi 13 Octobre 2021 à 13:11:38

Le parallèle est un peu osé, et pourtant !
Voyez ce qui se passe dans l'industrie spatiale. Des opérateurs publics allaient tous mal financièrement. Même aux USA. 
La privatisation a été non seulement efficace, mais plus saine financièrement et d'une rapidité inimaginable quand il y a une dizaine d'années, Elon Musk a dit aux institutionnels qu'ils seraient tous morts qq années après.. On lui a ri au nez. Plus du tout aujourd'hui. Ca laisse des traces, et alors ? Finis les abus, les lourdeurs, les détournements d'objectifs.
A remettre évidemment à l'échelle du métier de la distribution de la presse...
Ce qu'il faut retenir n'est pas que le privé est la seule voie, mais que le logiciel doit être changé. Si c'est la seule solution pour que les politiques ne soient pas directement accusés d'être les fossoyeurs du métier, qu'ils prennent au moins UNE décision.
Or, tout montre qu'on repart pour les mêmes erreurs. Seuls les noms des équipes et des arbitres sont changés.

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C'est le sens de la modification de la Loi. 
Celle-ci n'est que transitoire.
Je vous invite à lire les documents de travail de l'Etat lors de la préparation de cette loi.
Ils sont clairs. Il n'est question que d'accompagner une transition.
Le seul sujet qui préoccupe l'Etat est la préservation des IPG.
Le sort des marchands est secondaire mais revêt toutefois un intérêt au niveau de la préservation d'activité locale. 
Les grands éditeurs l'ont bien compris. Leur volonté est maintenant (sans ordre de priorité) :
- d'étendre les IPG à leurs activités ("Elle" constitue une porte d'entrée)
- d'organiser leur propre distribution en dehors des contraintes passées (ouverture du marché en 2023)
- de multiplier les points d'accès en s'affranchissant des contraintes du réseau actuel.
C'est sur ce dernier point que l pour l'instant leur politique achoppe ainsi que sur la poursuite du financement des IPG.
La négociation nous échappe. Nous n'en sommes qu'une partie annexe. 
L'Etat se retire pour fiabiliser le système mais le fait de manière progressive sans tout lâcher pour ne pas tout casser. Le temps est son arme. C'est notre seule garantie. 
Comme pour le Tiers Etat lors de la convocation des Etats Généraux en 1789 : pour obtenir le maximum de changements positifs il n'est pas forcément souhaitable de pousser à des actions rapides. Le temps est notre meilleur ami. Si l'on sait le gérer. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Bizarre que vous disiez que le temps joue maintenant pour le réseau après avoir dit a juste titre le contraire.
Idem de trouver normal que l’Etat se retire pour « fiabiliser »…..alors que tout montre que les éditeurs ne veulent rien changer. 
Bizarre, c’est pour rester poli envers vous…

nous n'avons pas d'autre choix que d'attendre les décisions de l'ARCEP, si l'accord interprofessionnel est maintenu tel quel chaque marchand prendra la décision d'arreter ou pas le rayon presse Sous Sarkozy les états généraux de la presse n'avait rien fait avancer,cette fois
la modification de la loi Bichet qui recentre notre obligation d'exposer aux titres IPG change les règles, nous saurons rapidement si l'ARCEP roule pour les éditeurs ou pour les lecteurs et donc les marchands

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Surfy a entièrement raison.
Quant à ce qui vous paraît bizarre, 123456, c'est parce que vous ne prenez pas le recul nécessaire et conservez la certitude que rien n'est possible. 
Nous regrettons, pour les membres du réseau actuel, les lenteurs de la transformation qui les affectent. Mais nous sommes bien convaincus que ces lenteurs sont le gage de la réussite du changement.
Et, pour le retrait de l'Etat, nous sommes à la fois inquiets de ses conséquences et espérons malgré tout que l'Etat maintiendra une protection du réseau de distribution face à des éditeurs dont les préoccupations sont toutes autres.
Les décisions de l'ARCEP vont nous éclairer rapidement.
Et chacun reste responsable de ses propres décisions. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Si au contraire, j'ai plus de recul que vous, et aucun objectif syndical.
Rien ne sera possible en présence de ce mille feuilles professionnel, de trop d'intérêts antagonistes, et du double langage permanent de tous ces intervenants.

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Deux erreurs dans vos propos ci-dessus.
1/ Nous n'avons aucun objectif syndical. Nous nous contentons de défendre les intérêts des marchands. Nous sommes heureux d'être compris et éventuellement soutenus mais la recherche d'adhérents n'est pas notre motivation et celle de la représentativité non plus. Si CP faisait son travail, nous ne demanderions même pas à exister. C'est parce que CP ne défend pas les marchands et préfère défendre les grands éditeurs qui assurent son existence que nous sommes là.
2/ Bien des changements sont possibles même si vous n'y croyez pas. Et ils sont en cours mais vous refusez de l'admettre même si ils sont matérialisés par des faits. La Loi a changé. Elle tarde à s'appliquer mais cela vient. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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