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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Culture Presse défend qu'on avance pas de trésorerie !

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123456 est son ardent défenseur.
Il explique que, lors du solde des comptes, on ne constate pas de déséquilibre.
Et ça leur suffit.
Bien sûr, comme tout le monde ils ont payé un stock au départ, pour partie comptant et pour partie différée sur 8 semaines.
A l'arrivée la valeur de leur stock ne sert plus qu'à compenser les dettes.
Que s'est-il passé entretemps pour que la partie comptant soit réduite à néant ?
C'est assez simple.
La partie comptant s'est réduite au fil du temps parce que les quotidiens qui la composent pour l'essentiel ont vu leurs livraisons baisser.
La partie RD au contraire a considérablement augmenté.
Aujourd'hui 80% des flux sont des magazines. Ce n'était pas le cas il y a quelques années.

Ainsi, un stock que l'on a payé à l'origine n'a plus de valeur aujourd'hui.
Il ne sert plus qu'à compenser des dettes.
Dettes que nous n'avons pas souscrites mais qu'on nous a imposées.
Dans un contexte de ventes en baisse le stock devrait diminuer pour s'adapter. Mais pas dans la presse.
Les kiosquiers ont bien résumé la chose en disant : "Nous avons été assortis et recevons moins de titres mais le montant de nos factures n'a pas diminué".

Cet argent que l'on a investi au départ s'est volatilisé. Mais soyez en sûr, personne ne vous l'a pris.

Et puis, qu'importe que vous soyez payés de 30 à 40% de vos commissions avec 8 mois de retard en moyenne. On pourrait bien vous les payer dans deux ans cela n'aurait pas d'impact sur votre trésorerie non plus. Selon eux. 

Chacun jugera.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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donc d'après CULTURE PRESSE PRESSTALIS n'a aucun soucis à se faire puisque si nous pouvons rendre tout le stock au dépositaire , nous allons en plus devoir de l'argent , celui des ventes .je vous dis pas le pognon qu'ils vont rentrer 
moi à leur place je rappellerais tous les stocks le plus vite possible dans ces conditions 
mais bizarrement , ils freinent des deux pieds 
n'auraient ils pas compris non plus qu'ils ont une fortune au bout des doigts et qu'ils ne font rien pour la ramasser .
la peur doit changer de camp

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la réalité c'est que CULTURE-PRESSE est à la rue 
les dépositaires fermés , ils n'ont plus aucun moyen de pomper les comptes en banque des marchands et surtout les marchands ont réalise qu'il y avait quelque chose qui ne cadrait pas avec ce que CULTURE-PRESSE raconte .
la peur doit changer de camp

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Ce sujet fait penser aux défenseurs de la théorie de la Terre plate.
Il y a le ressenti, et la réalité, maintes fois vérifiée concrètement avec les mutations, et les statistiques pro. Pourquoi CP le dit ? Pourquoi je l'ai vécu ? Pourquoi ne comparez vous pas vos propres chiffres entre votre dette (relevés) et votre consigne ?
Les complotistes restent bloqués sur le ressenti, de bonne foi par naïveté ou de mauvaise.
Plus on vous montre votre erreur, plus vous déniez pour contourner le sujet. Il ne sert plus à rien de tenter de vous éclairer.
A défaut, vous perdriez non seulement la face, mais toute votre "théorie" et le reste.
La preuve, aujourd'hui, tout s'écroule, et le sujet principal est relégué !

Vous vous prenez la tête sur ce sujet que vous ne maîtrisez pas, alors que votre profession meurt. Etes vous conscient de ce qui va vous arriver, et de la hiérarchie des sujets ???

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statistiques pro faites par CULTURE-PRESSE .

NE VOUS FAITES PAS DE SOUCIS POUR NOUS 
nous ne nous prenons pas la tête du tout 
par contre VOUS ce n'est pas sans doute pas la même chanson 
comment allez vous pomper les adhésions des marchands à votre SYNDICAT BIDON ..
la peur doit changer de camp

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Je vous signale quand même que les marchands sont à l'arrêt , donc plus de recettes et voient les factures des RD débitées sur leurs comptes.
merci qui ?  
la peur doit changer de camp

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La CGT du livre, peut être..

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Je constate surtout que quand je reprends l'argumentation de 123456 (comme il l'a demandé) et y apporte des éléments expliquant en quoi elle est erronée, il ne tente même pas de la défendre et essaie de détourner le sujet. 

Je répète donc que nous n'avançons pas de trésorerie comme le soutient fermement CP et 123456 si et seulement si : 
- on ne tient pas compte de l'investissement initial
- on ne tient pas compte du délai de paiement des commissions complémentaires
- on ne tient pas compte des décalages de rappels
- etc.

Cela fait beaucoup de conditions, qui ne sont pas réalisées.
Nous avançons donc de la trésorerie.

C'est un vrai sujet, que CP ne devrait pas faire semblant d'ignorer, au motif qu'il y en a d'autres. L'AADP est capable de traiter celui-ci ET les autres (rémunération, approvisionnement, facturation, relations contractuelles, développement commercial, formation, couverture sociale, etc.)
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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d'après 123456 
le corona virus c'est à cause de la CGT DU LIVRE 
vous voyez le sérieux du clown de service chez CULTURE PRESSE .
la peur doit changer de camp

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Vous bottez encore en touche !
Les chiffres pro qui sortent des mutations sont la réalité. CP ne les reprendraient pas, ni moi.
Il est si facile de les décréter faux.
Faites concret et honnête : au lieu de dire qu'il y a avance de trésorerie sans donner aucun chiffre, précisez ici le montant de vos différés, plus celui du dernier prélèvement s'il n'est pas décaissé.
En comparant ce montant à la consigne en stock en prix d'achat, vous aurez la conclusion finale.
Et plus les régul. sont bien faites sur votre informatique, plus la démo sera juste.
Simple, factuel, et vous aurez exactement à l'euro près votre réponse pour vous perso.
Pourquoi avez vous toujours refuser d'y procéder ?
Pas assez concret, trop compliqué, calcul idéologue, peur du résultat et illusions perdues ?

Le seul truc vrai dans votre anaphore, c'est que si les surcoms étaient payées plus tôt, et si les rappels se faisaient sans décalage, vous seriez mieux en tréso. Ce qui ne remet pas en cause le sens du calcul.
Si votre dette est supérieure à votre consigne, c'est que ce montant reste à payer, vous êtes créditeur : il n'y a pas d'avance.




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Vous avez du mal à verbaliser correctement, il est question de dépot (cf contrat) pas de consigne.

Pour les saisonniers l'activité s'arrête, les compteurs sont remis à zéro.

D'après vous, qui fait le cheque à l'issue du bordereau de fermeture ?
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Et vous avez du mal à lire ce que j'écris.
Je ne dis pas que vous avez tort quand vous expliquez la réalité constatée lors des mutations.
Je dis que lors des mutations nous devrions repartir avec un chèque du montant de ce que nous avons investi à l'origine.  Si ce n'est pas le cas c'est que cet argent a disparu et son montant s'est transformé en dette. Dette que nous n'avons pas sollicitée et dont nous n'avions pas besoin.
Je note votre accord du bout des lèvres sur les deux autres points soulevés (retard des rappels et du paiement des commissions complémentaires) mais ne peux partager votre affirmation que cela n'inverse pas le résultat. En effet (en supposant que l'on ne tienne pas compte de l'apport initial qui a disparu), si l'on constate un équilibre lors des mutations, alors que nous sommes payés des commissions complémentaires avec 8 mois de décalage, c'est bien que nous avançons tout ce temps cette somme qui nous est due. 

Pour un diffuseur qui perçoit globalement 20% de commissions alors que la commission de base est de 13%, l'avance est donc de 7% des ventes, et ce pendant 240 jours.

Avec un taux d'invendus de 52%, ce qui vous en conviendrez est proche de la réalité, 
cela donne 48% x 7% = 3,36 % du montant des fournis pendant 240 jours.
Direz-vous que c'est un détail ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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0 | J'aime
| Il y a 12 heures
"Vous avez du mal à verbaliser correctement, il est question de dépot (cf contrat) pas de consigne

Pour les saisonniers l'activité s'arrête, les compteurs sont remis à zéro.

D'après vous, qui fait le cheque à l'issue du bordereau de fermeture ? "

la situation actuelle est la même que pour les saisonniers .
activité arrêtée , avec en plus les différés à payer qui sont une DETTE PERPETUELLE .et l'autre clown qui nous chante qu'il faut déduire le prix des poireaux à l'achat du prix des navets à la vente .
la peur doit changer de camp

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il va pouvoir repartir faire des stages pour CULTURE-PRESSE afin d'expliquer aux centaines de marchands qui sont au bord du précipice que c'est une illusion d'optique ,puisqu'ils sont hyper riches avec leurs milliers d'euros de CONSIGNE en stock.
la peur doit changer de camp

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Descartes,
Je suis content que la raison revienne dès qu'on gratte un peu.
Au sujet du paiement de la consigne de départ pour tout diffuseur entrant dans la profession, ce n'est pas compliqué non plus.

Exemple : suite à une mutation de diffuseur, la valeur totale physique de l'inventaire presse est de 10000 euros en prix de vente public. La dette du nouveau diffuseur sera de 10000 - 13 % cad 8700 euros à payer au dépôt. Cette somme est couramment fractionnée pour les délais de paiement.
Au bout de 2 mois, ou 3 pour faire large, tout ce qu'il y avait à l'inventaire a été soit vendu, soit retourné et crédité. Le nouveau diffuseur a payé ses 8700 euros, et l'équilibre est atteint entre ce qu'il doit et ses différés.
Le fameux calcul peut une fois de plus servir de preuve pour connaître la situation.
Quand ce diffuseur revendra, admettons que la valeur de la presse soit exactement la même qu'au début : 8700 euros en prix d'achat. Il se trouve que son relevé montre la valeur des différés. Comme par hasard, elle correspond de très près aux 8700 euros non décaissés.
Prenez tous vos différés, et rapprochez la valeur à celle de votre consigne, c'est pareil.
Au moment de la vente, il est absurde de vouloir encaisser une somme que vous n'avez pas décaissé. Il y aura une petite régul sur l'écart pour que tout soit soldé. Et c'est là que les mutations confirment que le partant (vendeur) doivent dans la très grande majorité des cas, remettre un peu.
Ou sont passés les 8700 euros ? C'est la valeur de la presse, en crédit, qui est cédée du vendeur à l'acheteur.
C'est ça qui était, entre autres, expliqué dans les stages... 
Avec cette explication, tout le monde est capable de comprendre. Sinon, c'est de mauvaise foi.

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Je ne partage tout de même pas votre point de vue. Et de loin.
Et pourtant je vous assure que ce n'est pas de la mauvaise foi.

Vous estimez normal de payer le stock en dépôt. Pas moi.
Pour le justifier vous le qualifiez de consigne. Ce n'est écrit nulle part. (contrairement au terme de dépôt couramment repris dans les documents contractuels et règlementaires).

Ce que vous expliquiez dans les stages n'est qu'un argumentaire pour tenter de faire accepter un système injuste au détriment des marchands. 

Que l'on garantisse la valeur de recomposition du stock serait normal.
Mais qu'on le paye ne l'est pas car il ne nous appartient pas. 

De plus nous garantissons (pour les plus récents d'entre nous) le risque d'impayé.
Ca c'est légitime. Mais pas quand cela s'ajoute au paiement préalable de tout ou partie du stock.

Enfin, tout ceci ne retire rien au fait que les commissions complémentaires également (comme la paiement d'avance d'une partie du stock)  sont une avancée de trésorerie et que les rappels tardifs y contribuent aussi. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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On aura du mal.
Vous payez le stock de taxable. Ca, vous êtes d'accord.
Mais à aucun moment, toute la presse est payée. Jamais. 
Ca serait vrai s'il n'y avait que du comptant, mais impossible ça tuerait le métier.
S'il existe des cas où le diffuseur entrant paie toute sa presse au comptant, c'est rare, il y a toujours un échéancier proposé par le dépositaire.
En fait, vous avez du mal à dire ce que vous voudriez : que la presse soit du dépôt-vente.
Pourquoi pas.
Mais à ce jour, il n'y a que la presse locale qui marche comme ça.
Le reste est de la consigne.
Et pourquoi parlez vous tant de tréso, alors que le vrai problème du métier est la NON RENTABILITE. En dehors de Presstalis.


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Effectivement on aura du mal car vous imaginez des choses que je n'ai pas dites.
Je n'ai jamais dit qu'on avait payé tout le stock.
J'ai bien exprimé le fait que l'on payait la partie comptant.

Et j'ai clairement exprimé la volonté de ne payer que ce que l'on doit dans le cadre du dépôt-vente car c'est bien celui qui est écrit dans nos contrats.
La notion de consigne n'est en revanche mentionnée nulle part et n'est pas compatible avec le cautionnement tel qu'il est pratiqué. 

Enfin si je parle trop de trésorerie à votre goût je le regrette, .... pour vous. 
Mais c'est un sujet important, quoique vous en pensiez (ou vouliez en faire penser).
La pratique actuelle nous est défavorable et elle est masquée par un système de facturation  opaque qu'il convient de remplacer par la facturation des ventes en sortie caisses, plus efficace et moins sujet aux interprétations et suspicions.

Notre métier a besoin de retrouver la confiance. La désertion de cette profession est autant liée à la perte de confiance qu'à la baisse de rentabilité. Nous devons tout faire pour réinstaurer des relations transparentes et plus efficaces (et regagner des marges perdues en améliorant notamment la productivité).
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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mon ami le clown oublie de dire que lorsqu'on a payé une facture , on nous oblige à prendre une autre livraison d'une valeur presque équivalente aussitôt  , c'est ainsi de semaine en semaine .
lorsque je dis que la valeur de notre stock c'est le CA du dépositaire c'est la stricte réalité .
d'ailleurs pourquoi ne veulent ils jamais diminuer les stocks à votre avis .!!!!!!!
 ce qui se passe aujourd'hui fait éclater la vérité au grand jour .
ce ne sont pas des mutations ou autres entourloupes , ce sont des dépôts de bilan .
quand vous rendez votre stock moins les ventes , ils ne peuvent pas vous facturer des livraisons qui n'existent pas pour éviter de vous rembourser 
le jeu de bonneteau vous connaissez ?
ils doivent vous recréditer le stock NON -VENDU .et c'est bien pour cela que ça coince .

Dernière modification le lundi 18 Mai 2020 à 17:43:49
la peur doit changer de camp

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133456,

D'après vous, qui fait le cheque à l'issue du bordereau de fermeture ?

Pas  de réponse ?
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Neiges 
il ne peut pas répondre 
la vérité va faire s'écrouler tout son baratin .
la peur doit changer de camp

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Quand j'ai soldé mes comptes avec le dépôt, j'en ai remis. Très peu, mais j'en ai remis, donc je n'avancais pas de tréso, même si j'en étais persuadé.
Les mutations montrent (comme le rapportent CP et les dépôts) que c'est aussi le diffuseur qui en remet pour solder.
Le seul cas de diffuseur qui ici il y a environ 2 ans avait donné ses chiffres pour savoir où il en était en tréso a voulu prouver qu'il en avançait.
Seulement, il comparait sa dette avec la valeur de sa presse en prix de vente public. 
Même Descartes avait reconnu qu'il faut comparer la dette avec le prix d'achat de la presse.
Et là, cet exemple concret montrait bien qu'il n'avançait pas de tréso...Où est le baratin ?

Si vous me posez cette question, c'est que vous avez un cas de fermeture où le diffuseur retrouve de la tréso ?
Pourquoi vous ou Descartes refusez de faire l'expérience avec vos chiffres, ça ne vous intéresse pas ?

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Ne pas avoir de réponse à cette question c'est bien mal connaître la profession, les saisonniers représentent 20 à 25% des marchands.

L'expérience je la vis et conteste vos propos.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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123456
donc si je t' écoute , tenir un magasin de presse c'est une affaire en OR , mais alors pourquoi avoir quitté la profession , alors qu'il y avait de l'argent a ramasser à la pelle .
pourquoi des centaines de marchands veulent ils diminuer les stocks ; ce qui est refusé par les dépôts .
sans doute parce qu'ils n'y comprennent rien 
seul CULTURE PRESSE et ses formateurs ont tout compris 

un petit détail quand même , ton dépositaire avait OUBLIE de te payer tes surcoms  et il faut lui faire confiance !!!!!!!!!

Dernière modification le mercredi 20 Mai 2020 à 18:05:31
la peur doit changer de camp

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j'avoue ne pas comprendre mon ami le clown 
moi qui suis retraité de la Marine Marchande  , ancien délégué syndical CGT , je suis pour la dématérialisation , le numérique , la digitalisation , le MONDE qui bouge comme disent les présentateurs LREM de BFM business 
par contre le clown qui crache sur la CGT   et vante la politique de notre bon président , préconise de surtout ne pas employer les nouvelles technologies et recommande l'achat massif de 'bouliers " afin de faire des factures à la carte en base 10 -13% .
la peur doit changer de camp

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Chacun ses compétences.

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en effet 
dois je te rappele le "clown" que la base d'une économie libérale , comme tu l'aimes , c'est l'équilibre entre "l'offre et la demande " avec un tampon au milieu pour réguler le tout et éviter des catastrophes "les stocks "

vous à l'UNDP vous faites fi de tout cela .
chez vous c'est l'offre , jusqu'à asphyxier les marchands et mettre les stocks au maximum , alors que la demande est à 30 %..

il faut dire que quand on ramasse la galette , on a du mal à appliquer les lois de l'économie , même les libérales .
la peur doit changer de camp

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