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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Décret du cahier des charges des SADP

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Nous vous communiquons, pour information le décret qui vient de paraître définissant le cahier des charges des Sociétés agrées de gestion (anciennement appelées messageries).

Vous constaterez à sa lecture qu'à partir d'octobre 2022 les marchands qui le souhaitent pourront n'être facturés que des ventes et non plus des fournis. Ce qui était soi-disant impossible est acté !

De plus, les SADP sont responsables de la conformité des livraisons à la loi... Les décisions d'approvisionnement des marchands devront être respectées. 

Décret du 13 avril 2021
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

ce décret révolutionne notre profession et nous couvre juridiquement, il recentre les messageries sur la logistique et les oblige à se réinventer après une décennie de laisser aller

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C'était dans nos objectifs. 
Reste que la mise en oeuvre risque d'être longue, comme toujours, si nous ne changeons pas d'interlocuteurs. Sauf à ce que l'ARCEP tape rapidement au porte-monnaie ou/et, que des marchands fassent valoir leurs droits en justice. Un simple référé suffirait pour faire condamner les contrevenants à l'article 5.3 de la loi qui prévoit que le marchand doit donner son accord préalablement à la livraison de tout produit non agréé par la CPPAP.
L'AADP ne peut pas agir à la place des marchands mais gérera le dossier juridique pour les éventuels volontaires.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

ce sera long si l'arcep ne joue pas son role de régulateur mais jusqu'à présent ils sont dans leur role, la réorganisation dépendra des compétences ou incompétences des cadres de direction des messageries, ils sont payés pour trouver des solutions pour déplacer du papier pas des vaccins

Connaissant les compétences des protagonistes, je n'imagine pas une seule seconde la  possibilité d'utiliser simultanément deux modes de facturation, selon le choix de chaque diffuseur.
Si la possibilité devient effective, quel diffuseur aurait la stupidité de vouloir rester quasi neutre en trésorerie comme actuellement, alors qu'en dépôt-vente, il y serait gagnant à 100 % ?

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Il ne serait gagnant que de la suppression de l'avance actuelle.
Utiliser la remontée des ventes accélérera la remontée des encaissements.
Ce sera bénéfique pour les éditeurs qui aujourd'hui attendent patiemment la fin de la reconnaissance des invendus pour toucher le produit de leurs ventes. 

Pour ce qui est des cadres des messageries je ne suis pas convaincu qu'il s'agisse de compétences. La messagerie principale a, de tous temps, quelle qu'elle soit, été inféodée au SEPM. La période présente n'échappe pas à la règle. Les positions abordées le montrent clairement. Pour satisfaire la clientèle afin de tenter de la conserver on est prêt à bien des compromis. C'est stupide car il ne s'agit pas d'avoir le plus gros chiffre d'affaire mais de trouver la meilleure rentabilité. Et augmenter son CA n'est pas toujours générateur de marge. Cela peut aussi être l'occasion de réduire sensiblement sa rentabilité pour pouvoir afficher une évolution de CA et paraître dominant. C'est l'histoire du colosse aux pieds d'argile. Développer le CA permet d'engranger de la trésorerie (sur le dos des marchands et des éditeurs) mais ne génère pas de marge suffisante. Remember Presstalis. Quand le rideau de fumée se lève il est trop tard. Espérons que les éditeurs concernés réagiront avant qu'il ne soit trop tard pour MLP comme cela a été le cas pour PRESSTALIS et que l'ARCEP interviendra rapidement.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Après une lecture rapide de ce décret, il semble apporter satisfaction sur des points fort pénalisants et demandes historiques toujours rejetées  notamment sur 
- sur les quantités livrées( il récupère, dès que possible, à la demande du diffuseur, les exemplaires fournis qui excèderaient l'accord du diffuseur)
- sur les mises en service( Le distributeur veille à ce que l'éditeur n'utilise la possibilité de première proposition de mise en service qu'une seule fois par titre et par point de vente.)
-  Si le distributeur propose un mécanisme de réapprovisionnement automatique, il recueille l'accord préalable du diffuseur (ou du représentant qu'il a désigné) et lui permet de quitter ce dispositif à tout moment

La récupération; la destruction des invendus sont facturées à l'éditeur.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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très bien , soyons vigilants .
je n'ai aucun doute que la grande majorité des marchands choisisse , facture = ventes - coms .maintenant il y a la question de ceux qui ne sont pas informatisés .ils vont devoir y passer parce que je le vois venir , c'est eux qui vont récupérer les stocks faramineux .
la peur doit changer de camp

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DESCARTES 
on ne peut que te féliciter pour le travail fourni pour TOUS les marchands de presse , ce qui nous change du syndicat d'avant
la peur doit changer de camp

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Merci Hypso. Ca fait plaisir.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

A vous lire, ça donne l'impression que c'est gagné, que les choses changent réellement !
Oui, les noms de Sté changent. Mais pour les habitudes et l'inertie du métier, c'est couru d'avance qu'il faille comme d'habitude, attendre. Je prends le pari.
Gagner du temps a toujours été la seule chose réussie pour éviter d'aborder le vrai sujet. Ensuite, le débat sera relancé. Puis la mesure sera dénaturée ou annulée tout simplement. Toujours pour "plein" de bonnes raisons.
Pour moi, ce changement de mode de facturation -si elle arrive- est la plus belle entourloupe professionnelle. Car tout ça aura pris du temps qui aurait dû être consacré au seul sujet important du métier, l'augmentation de la rémunération des diffuseurs.

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Les paroles s'envolent. Les actes restent. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

baisse de la diffusion, fermetures de pdv, dépot de bilan de presstalis, je pense que l'arcep ne tolèrera pas la mauvaise foi pour la mise en place de cette réforme La direction et les chefs de service des messageries ont du pain sur la planche et ils sont payés pour ça !Descartes et le bureau leur ont débroussaillé le chemin bénévolement ils peuvent faire leur part du boulot maintenant, nous les marchands pousseront au cul pour que ça avance, compté sur nous les gars on vous doit bien ça!

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je suis presque sur et certain que cette réforme va relancer l'attractivité pour l'achat des commerces de vente de presse 
une personne qui veut acheter un fonds de marchand de presse le fait pour gagner de l'argent , pas pour engraisser la mafia .
maintenant c'est certain aussi qu'il va y avoir des réticents style SHELDON , mais ils auront la possibilité de ne pas demander l'application de ce décret 
chacun vit sa vie 
la peur doit changer de camp

J'aime bien le "presque" ! Quelle naïveté assurée.
Depuis toutes ces années, le réseau fait balader, piétiner, on lui promet tant de trucs. Moi même y ai cru comme vous, jusqu'à comprendre que le gros des éditeurs préférera se saborder, plutôt que consolider son réseau de vente et les intermédiaires qu'ils y agrègent toujours.
Ils n'ont aucune raison de le faire maintenant. Ils gagnent juste du temps pour anticiper sans les verrous actuels, et vous ne vous en apercevez même pas !

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"Ils" n'ont pas décidé mais sont contraints. Comme pour l'augmentation de la rémunération. "Ils" ne le voulaient pas mais la ministre de l'époque, qu'elle en soit remerciée (et nous l'avons fait), l'a imposée au CSMP qui jouait la montre.

Le gros des éditeurs est peu conscient de la réalité de la distribution et de ses acteurs. 
Seuls quelques leaders, moins dépendants du réseau que les autres, prenaient les décisions, selon leur seul intérêt, dans le but d'éviter des dépenses et d'asseoir leur domination; tout en s'organisant pour faire disparaître leurs concurrents de taille plus petite en les contraignants à payer cher leur distribution pour compenser la faiblesse des prix payés par les majors.

Mais ces acteurs, hier de premier plan, sont aujourd'hui d'autant plus discrédités qu'ils se sont crus en capacité d'imposer leurs vues à tout le monde de manière indifférenciée. Et ce n'est pas la même chose d'imposer ses décisions à des diffuseurs sans défense que d'imposer sa loi à l'Etat. Nous avons fait appel à l'Etat parce que nous n'étions pas en capacité de nous opposer à ces groupes à forte influence et aux moyens importants. Il ne nous a pas suivis pour ce que nous représentons mais parce qu'il a trouvé son intérêt à exploiter nos informations et que celles-ci, après vérifications, s'avéraient fondées. Le marché s'est retourné. Il n'est pas possible de faire comme si de rien n'était. Il faut mettre en place un système adapté à la réduction du marché dans le temps si l'on ne veut pas que l'économie générée par ce marché s'arrête prématurément. C'est le sens de la réforme.
Celle-ci est mise en oeuvre par l'ARCEP selon un planning fixé par le rapport Schwartz qui a servi à choisir les options. 
Après avoir essoré PRESSTALIS (pour tenter de faire plier le gouvernement), le SEPM s'est replié sur MLP qu'il utilise maintenant comme nouvel outil pour défendre ses intérêts. Il envoie le Président de MLP au front pour défendre l'indéfendable : la suppression de la péréquation. (Aucune chance que cela n'arrive.) Il l'utilise pour freiner autant que faire se peut la mise en place de la réforme. Tout comme il le faisait avec le CSMP et PRESSTALIS. En faisant cela il nuit aux intérêts des éditeurs de MLP et de la messagerie qui feront les frais de cette nouvelle tentative d'obstruction. Peut-être même la messagerie déposera-t-elle le bilan à cause de cette politique d'arrière-garde soumise. Pour l'instant son Président resplendit d'une gloire qui ne lui appartient pas. Ce n'est pas lui qui a fait devenir MLP la première messagerie de France. C'est le SEPM qui l'a décidé. Et il ne l'a pas fait pour rien. Les autres éditeurs de MLP vont s'en rendre compte. Les écarts de prix payés pour la distribution flambent. Et malgré cela la messagerie ne dégage rien de plus qu'avant l'arrivée des majors. Elle ne vit que sur la trésorerie qu'elle retient des flux financiers entre marchands et éditeurs. Alors elle multiplie les livraisons, pour facturer plus, bien que le marché soit baissier. Cela ne peut pas durer. C'est d'ailleurs ce qui conduit à la fermeture de quantité de points de vente. Or plus le réseau s'amenuise, plus les ventes des éditeurs se réduisent. Cette fuite en avant est mortifère et ne saurait durer longtemps. 

L'Etat déroule sa réforme pour l'empêcher. Les menaces qui lui ont été adressées ne l'effraient pas. Elles ne font que l'inciter à renforcer son action en réduisant la concertation. Je ne serais pas surpris que l'appel à contribution pour les quantités, initialement prévu en février, ait été purement et simplement supprimé. Et qu'une décision globale sur l'approvisionnement des points de ventes voie le jour à la seule initiative de l'ARCEP très bientôt. Cette décision devait intervenir, dans le calendrier initial, avant fin juin. Curieusement, après des mois de silence, nous venons de recevoir une convocation pour la prochaine session du Cocodip pour le 23 juin.

Vous avez bien lu. C'est une convocation. Nous ne sommes plus dans les invitations ou dans des propositions de dates multiples. C'est comme ça et pas autrement. Si vous n'êtes pas disponible, faites venir votre suppléant. Et il n'est plus proposé de soumettre des sujets à l'ordre du jour. Il est déjà arrêté et n'a probablement pas vocation à être modifié. Le ton a changé. Le rapport de forces s'intensifie. Et, au vu de la rédaction du décret sur le cahier des charges des SADP, je ne suis pas convaincu que le vent souffle en faveur des opposants à la réforme.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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….. Je prends le pari. 

Quel pari ?
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

....que contrairement à ce que vous gobez, ça ne bougera pas comme vous l'espérez.
Imaginer possible 2 systèmes de facturation au bon vouloir de chaque diffuseur, c'est compliquer le travail des dépôts et messageries.
Déja  qu'ils ne savent pas faire vite et correctement des trucs simples !
Il y aurait beaucoup plus de chances pour que la facturation passe en dépôt-vente pour tout le réseau, mais ça me semble pas admissible par tous d'entre eux.
Eventuellement, en baissant les tx de com...
Tout ce qui a été obtenu a toujours été conditionné à autre chose !

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Parce qu'ils étaient seuls à décider. Ce qui n'est plus le cas.
Vous ne devriez pas négliger l'Etat.
Certains pensent encore, comme vous, qu'ils pourront se soustraire à leurs obligations.
Non seulement ils ont tort mais ils sont nuisibles. Ils évolueront ou disparaîtront.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Paradoxe.
Ils étaient seuls à décider, mais n'étaient jamais autonomes. Toujours sous perfusion financière.
Je ne crois pas en l'Etat souverain qui serait plus respecté qu'avant. Pas du tout. Vous êtes naïfs. Ce métier a une culture d'assistanat, pas d'autonomie.
Comment pouvez vous imaginer un système performant avec les structures d'hier, simplement rebaptisées, et avec plus de la moitié du métier anti-Réforme ?

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il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.
A votre niveau cela s'appelle du déni. 
Peut-être avez-vous de bonnes raisons pour cela. 

Ils n'étaient jamais autonomes mais, le marché était en développement et justifiait le soutien politique.
Entretemps trois choses ont changé : 
- leur influence a diminué avec internet
- l'entreprise française qui vendait de l'armement n'est plus dans le jeu
- le marché est maintenant baissier durablement. 

La limite de l'assistanat c'est l'intérêt que suscite celui qui le demande. Cet intérêt s'est nettement réduit. Les magazines ont profité des avantages des quotidiens. Mais les quotidiens n'existeront bientôt quasiment plus que sur le net. Les magazines sont désormais seuls et n'offrent pas l'intérêt des quotidiens. Non seulement ils vont devoir s'assumer mais en plus ils vont être obligés de continuer à financer les quotidiens pendant quelques temps, voire plus. 
Le prochain cheval de bataille du SEPM sera la péréquation et il enverra le président de MLP au front pour tenter de la faire supprimer. Il n'y arrivera pas et risque de faire payer les pots cassés aux éditeurs de sa messageries. Les petits s'entend. Les autres retomberont toujours sur leurs pieds, quitte à partir chez Interforum ou créer une autre société de distribution. 

Pas besoin d'être devin pour savoir qu'il ne fait pas bon être petit éditeur distribué par MLP aujourd'hui avec l'allégeance du président de la messagerie aux grands.

Tout ceci n'empêchera pas la réforme de se poursuivre car elle est indispensable.
Vous ne pouvez l'admettre, de par votre vécu, et peut-être vos regrets tel Zangra.
N'en faites pas une affaire personnelle, ceci nous dépasse vous, moi, les marchands et les éditeurs eux-mêmes. L'important est de comprendre et de s'adapter aux mouvements. Le mieux étant de les anticiper pour pouvoir, à la marge, y apporter sa propre touche. 
C'est ce que fait l'AADP, avec un certain succès, matérialisé par les nouveaux textes régissant la distribution de la presse. Et ce n'est pas fini. Il nous reste quelques chantiers en cours et à venir. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

la presse a toujours été sous perfusion c'est une façon pour le pouvoir de la tenir tout comme
les industriels détiennent des titres pour tenir le pouvoir politique MAIS aucun gouvernement n'a eut le courage de les affronter jusqu'à présent malgré les divers rapports, etats généraux etc ...
aujourd'hui la presse a perdu de son pouvoir d'influence et cela ouvre une fenetre de tir pour remettre de l'ordre dans cette mafia Ce décret s'appliquera car nul n'est au dessus des lois

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lesAMIS 

petite remarque 
vous avez constaté que SHELDON est certain que les dépositaires ne vont pas respecter LA LOI 
cela n'a rien d'étonnant puisqu'il a passé sa vie a expliquer aux futurs marchands , comment "gober " les fausses factures 
quand on fait parti d'une mafia , on ne change pas sa façon de faire 
la peur doit changer de camp

Descartes, 
Qui est dans le déni, pour ne pas voir qu'il n'y a pour l'instant, et longtemps peut être, que des annonces, et aucun consensus professionnel ?
De plus, vos 3 exemples montrant que le poids du marché de la presse écrite baisse n'incite pas à une restauration d'un système qui est épuisé, et à l'avenir plus qu'incertain.
Une réforme de fond aurait été indispensable. C'est un leurre qu'on nous propose, un gain de temps.
On ne sera d'accord que sur une chose que je ne cesse de dire ici. Ne faites confiance qu'à vous. Sachez vous adapter pour sauver vos commerces. 
Sauver la presse n'est pas de notre ressort. Il paraît qu'il y a des instances qui opèrent depuis des années.

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Prenez du recul.
La situation est très simple.
Le SEPM s'est replié sur MLP pour s'opposer à la réforme.
Mais si MLP ne rentre pas dans le rang, dans 6 mois elle n'aura pas son agrément et c'est FM qui récupérera toute la distribution de la presse. 
Ce sera plus facile pour la péréquation et plus facile à contrôler.
 
Le destin des MLP est entre les mains des petits éditeurs.
Soit ils reprennent le contrôle et accompagnent la réforme (ce qu'ils ont intérêt à faire), soit ils vont payer leur manque d'implication et la soumission de leur président actuel au SEPM (comme les marchands ont payé la soumission de l'équipe dirigeante de CP au même acteur depuis des années).
Dans les deux cas la réforme se fera.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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SHELDON 
c'est bizarre tu parles comme COY président de la confédération des buralistes , qui annonce 
le métier de buraliste est mort 
il écoute MACRON qui déclare en 2030 ce sera une génération SANS tabac 
donc ça va être sans tabac et sans presse !!!!!!!!!!!!!!.
je te signale que j'habite à 1 h de l'ESPAGNE et que LE PRETHUS qui est le plus grand centre de trafic de DROGUE et de TABAC du SUD de l'EUROPE est plein à craquer du matin au soir 365 jours par an , alors pour 2030 année sans tabac il repassera MACRON 
il en sera de même pour la presse .
les ventes baissent , oui , mais de la à tout fermer , je doute 
la peur doit changer de camp

Une fois de plus, tout est devans nos yeux.
Le métier focalise sur une entité qui est le niveau 1 à qui le Pouvoir est et sera encore donné. 
Dans aucun autre métier, un simple intermédiare fait la loi, fut il logisticien ou décideur pour le compte de ses fournisseurs et clients.
Pas besoin d'aller plus loin pour admettre qu'ici EST le problème. La raison d'être du niveau 1 en 1945 n'est plus celle d'aujourd'hui. Mais comme l'Etat lui même n'ose changer la culture professionnelle, on ne peut que subir. Les bonnes volontés sont assourdies par la meute. Voyez les freins qui s'élèvent dès le moindre espoir de changement.
Ce qui est sûr, c'est qu'il se passera quelquechose, car la fuite en avant continue, comme celle de la courbe des ventes.

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D'une part l'intermédiaire ne fait justement plus la loi grâce au modifications apportées par la réforme.
D'autre part ce n'est l'intermédiaire qui dirige et décide. 
Presstalis a été aux ordres du SEPM. C'est aujourd'hui le tour de MLP.
Ce n'est pas pour rien que l'Etat a mis fin à l'autogestion via le CSMP et l'a remplacé par l'ARCEP.
Ce qu'il se passera est déjà écrit. 
MLP adhérera à la réforme ou disparaîtra.
Et les majors auront le choix d'accepter les tarifs proposés par FM ou de voler de leur propres ailes.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Si "l'intermédiaire" ne fait plus la loi pro, si les ventes baisses, si les décisions sont toujours le conpromis des luttes de pouvoirs, si si, si...
Y'en a-t-il bien besoin ?
NMPP-Presstalis n'a jamais été bon. Mais les MLP, c'est pire. Voyez leurs taux d'invendus. Qu'en pensez vous, vous qui dites pourtant que les messageries vivent plus des flux que des ventes ! 
Pourquoi personne n'ose imaginer un métier sans ces intermédiaires qui veulent absolument diriger pour les autres ?

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Ce ne sont pas des "si" mais des faits avérés.
Les ventes baissent : on le constate par les chiffres tous les jours et tous les ans, et l'on en connait la raison.
L'intermédiaire ne fait plus la loi : c'est le nouveau régulateur qui la fait. cf. décret et loi.

Les taux d'invendus des messageries dépendent de leur portefeuille de titres.
La messagerie qui traite les plus petits titres aura toujours un taux d'invendus supérieur à l'autre. Depuis l'arrivée des majors chez MLP sont taux d'invendus moyen a mécaniquement baissé. C'est évident. 

L'imagination c'est bien. Le réalisme c'est mieux. 
Je ne dis pas qu'il ne faut pas remettre en question la longueur de la chaîne mais que ce n'est pas réaliste aujourd'hui. C'est totalement impossible sans l'adhésion des éditeurs. Or ils ne le veulent pas. Cela viendra dès qu'ils vont être contraints d'assumer leurs coûts de distribution. C'est eux-mêmes qui vont l'exiger. Jusqu'à présent, tant que l'Etat comblait les pertes ... 
 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

effectivement 123456 sur le papier la suppression du niveau 1 semble la solution pour récupérer des points à redistribuer aux éditeurs et aux marchands cela se fera si les dépositaires répondent au cahier des charges (cf décret) pour l'instant les messageries sont les premières concernées par ce décret et l'avenir nous dira rapidement, contrairement à ce que tu penses, quel choix feront les éditeurs Reste à traiter un point crucial LA REMUNERATION



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