www.marchandsdepresse.com

AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Facturation du stockage

946 appréciations
Hors-ligne
Savez-vous pourquoi les éditeurs préfèrent livrer la totalité de leur production aux points de vente que d'en garder une partie pour le réassort ?
Parce que les messageries leur font payer le stockage, ce qui est normal, alors que chez nous c'est gratuit, ce qui ne l'est pas. 
De leur côté les messageries ont tout intérêt à livrer la totalité car elles facturent immédiatement les dépositaires qui eux-mêmes n'ont d'autres solution que de nous répercuter cette facturation.
Résultat : réassort impossible.
Il faudra remédier à cette situation.
Nous réfléchissons en ce moment à intégrer ces coûts de stockage dont nous faisons les frais dans notre taux de commission. En fixant le taux de commission en fonction du nombre de titres que nous acceptons de recevoir cela peut s'imaginer. Mais est-ce vraiment la solution ? 
Vos avis sont les bienvenus sur ce sujet qui verra le jour dans quelques temps.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

1 appréciations
Hors-ligne
Votre blog est vraiment très intéressant car cela nous permet de confronter nos ressentis. Pour ma part, sincèrement, je n'avais vu la chose comme ça. J'ai toujours préféré laisser un delta de papier au pdv pour qu'il puisse servir les clients potentiels, plutôt que de demander un réassort parfois long à venir. Un delta raisonnable évidemment, mais ce delta est difficile à calculer pour les pdv faiblement ou irrégulièrement vendeurs. Je reçois régulièrement des appels de diffuseurs lassés d'attendre un réassort demandé à leur dépôt et non servi ou alors trop longtemps après, qu'on finit donc par servir en direct. Une fois de +, on revient toujours sur la problématique du réassort. S'il était efficace et rapide, nous pourrions réduire considérablement les invendus et leur stockage.

193 appréciations
Hors-ligne
Chrismee, 

On revient toujours sur la problématique de la "facturation" au fil de l'eau que les éditeurs ne veulent pas appliquer.

Lors d'un précédent échange j'écrivais

"Chrysmee,

Bonjour,

 Une, et une seule solution pour résoudre votre équation quantité/mise à zéro/présence sur nos linéaire, nous la proposons, la demandons avec insistance depuis des décennies.

Laquelle ?

La  "facturation" des ventes ni plus ,ni moins.

Que les éditeurs respectent le contrat qui nous lie Art.7 alinéa b) dudit contrat (personne n'est le banquier de personne)

Tout le reste n'est que balivernes.

Le paiement des ventes et uniquement des ventes apporte réponses et solutions à la majorité de toutes nos difficultés quelles soient économiques, commerciales ou financières
.

Echange resté sans commentaire.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

1 appréciations
Hors-ligne
Resté sans commentaires car je suis d'accord avec vous et je l'ai déjà écrit aussi.

946 appréciations
Hors-ligne
Merci Chrysmee de ce commentaire sympathique et constructif. 
Notre blog se veut en effet une alternative aux "instances interprofessionnelles" dans lesquelles ne sont pas débattus les sujets mais défendus des intérêts partisans. 
Il faut sortir de ces contraintes et échanger ouvertement sur les sujets pour comprendre les problématiques de chaque acteur et trouver une solution favorable à tous plutôt que d'adopter le point de vue intéressé de quelques acteurs influents. 

Pour le réassort vous dites bien, si j'ai bien compris, qu'il serait la solution mais, que faute d'existence réelle et efficace, vous palliez en majorant les quantités servies.
La question qui se pose alors est : pourquoi le réassort n'existe-t-il pas ? 
Avez-vous un avis sur cette question ?
Il serait intéressant de comparer, pour les éditeurs, les coûts des deux solutions (livraisons majorées/réassort) pour les éditeurs (achat de matières premières, production, transport vers messageries, distribution, récupération et recyclage des invendus).
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Pourquoi ne pas bombarder que le réseau DOIT être mieux rémunéré sur ses ventes ! Tout simplement. Comme le dit Neiges, le reste n'est que balivernes.
Se faire rémunérer du stockage me paraît fort contraire à l'objectif recherché, le dynamisme commercial.
Dans tous les commerces, il faut en avoir trop pour en avoir assez.
Souvenez vous de SARRA, le système de réassort automatique des NMPP...le dépôt gardait un talon pour le débloquer chez les diffuseurs informatisés se rapprochant de la rupture. Gros échec...car le magasin en avait un peu moins que prévu, et (ca a été mon cas) pouvait tomber en rupture avant le réassort automatique.... A la fin du compte, on pouvait en rendre au retour en ayant quand même eu des ruptures ! Le comble de l'histoire, c'est que les NMPP produisait un document qui informait le diffuseur de ce que SARRA avait évité en rupture ! Un non sens !
Par contre, il faut pénaliser les abus de livraisons à 90 % d'invendus...Un système existait, mais les messageries ne l'ont jamais appliqué, de peur de voir l'éditeur partir chez l'ennemi.
A voir s'il est toujours envisageable de vraiment pénaliser les profiteurs du système quantitatif.

1 appréciations
Hors-ligne
Pour ma part, je précise pour ma part, car j'ignore comment travaillent les autres éditeurs. J'ai une réserve stockée chez ma messagerie, <1% de la quantité servie. Cette quantité est déterminée selon la consommation moyenne des précédents stocks.  Quant aux pdv, je leur laisse une marge de papier, pour satisfaire l'acheteur irrégulier. Concrètement si j'ai un pdv sur un mensuel qui a vendu 3ex, 0ex, 2 ex, 0 ex, 1 ex, je vais avoir tendance à lui mettre 3ex, voire 4ex selon ses ventes sur la période homologue. Je fais une sorte de calcul de variance. Je ne pense pas abuser, mais je peux entendre que le diffuseur préférerait 3 voire 2ex, et recourir au réassort si besoin. Ce que je ne sais pas, c'est comment se passe le réassort du côté des diffuseurs.  Je suis toujours étonnée quand un pdv me dire avoir fait la demande il y a 2 semaines et n'avoir rien reçu alors que je peux constater que l'intégralité de ma réserve n'est pas partie. J'ignore quel est le cheminement de la demande, son délai de traitement. Idem quand un point de vente finit par m'appeler car il n'a pas pu avoir la mise en service qu'il a demandé, mais à qui, par quelle voie ?

Ne soyez pas étonnée qu'un magasin ne reçoive pas sa demande de réassort. Le système n'est pas conçu pour ça. Tout a été fait pour que tout soit mis en vente...plus ou moins bien du premier coup. C'est même la règle du métier. Selon le texte initial, un dépôt n'a pas le droit de garder un stock tampon. Heureusement, ça a été permis, mais sans assez de succès.
Trop d'intérets divergents parmi tous les niveaux de décision et trop de complications techniques ont empéché de penser un système unique de réassort viable.

163 appréciations
Hors-ligne
chrysmée bonjour

je suis un peu étonné de vous lire .
je suis diffuseur , j'ai une caisse informatique avec un logiciel PRESSE 
tous les soirs je remonte mes ventes journalières qui sont déduites sur mon stock presse de l'ordi .
question : vous n'avez pas ces infos ? 
mais alors à quoi sert l'ordinateur.? 
dans le même ordre d'idée un intervenant qui sait et connait tout n'a jamais voulu de la facture = uniquement les ventes - les commissions .
il voulait garder les facturations PAPIER , mais nous avons compris pourquoi 
cette époque est passée  .il est grand temps de régler cette question avant que les magasins  mettent la clé sous la porte , ceci en discutant et en tenant compte du moins en essayant de ne léser personne un accord GAGNANT -GAGNANT.
lorsque vous recevez , si vous les recevez les ventes d'un marchand sur l'ordi , pourquoi attendre qu'il vous demande du réassort .vous pourriez renvoyer +2 de stock automatiquement quand il lui reste +1 en stock .
c'est peut être compliqué à réaliser ,je n'en sais rien  , mais c'est une solution à étudier .
par contre ce qu'il faut éliminer ou alors réétudier ce sont les RD qui sont une dette PERPETUELLE pour le marchand.
la peur doit changer de camp

946 appréciations
Hors-ligne
Aujourd'hui le réassort ne fonctionne pas du fait de raisons techniques et de motivations opposées des messageries. Le système de réassort de MLP est devenu inopérant depuis la chute de Presstalis car l'informatique MLP n'est pas totalement compatible avec celle des dépositaires (Reseau plus) et nécessitait une transition par PRESSE 2000. J'ignore à ce jour quelle est la position de FM sur le réassort mais cela ne semble pas être une priorité. L'intérêt des messageries est de traiter les volumes les plus importants possibles et le réassort vise au contraire à rationaliser les flux physiques. Il est évident qu'il ne pourra fonctionner que si l'ARCEP l'impose.
Beaucoup d'éditeurs n'ont pas encore compris qu'ils peuvent produire moins en faisant plus de marge, la partie aléatoire des ventes étant particulièrement coûteuse venant réduire (par les coûts qu'elle engendre) la rentabilité des ventes assurées. 
C'est d'ailleurs la même chose pour les détaillants. 
Dans votre exemple (ventes = 3,0,2,0,1) la vente moyenne est de 6/5 = 1.20 exemplaire par parution. Si vous livrez 2 exemplaires à chaque fois vous assurez plus de 80% des ventes. Pour assurer la seule vente supplémentaire combien êtes vous prête à dépenser et combien allez vous nous faire dépenser à nous ? 
Si vous livrez 4 exemplaires à chaque fois nous aurons reçu 20 exemplaires pour seulement 5 ventes soit 75% d'invendus générant du travail inutile (aller et retour), des risques inutiles (perte, vol), une mobilisation d'espace inutile. Et pour l'éditeur des coûts de production inutiles (75%), de transport et distribution également. 
Si vous en livrez 3 ce sera encore 15 pour 5 soit les 2/3 d'improductif et coûteux pour 1/3 générateur de marge.
Donc pour assurer une vente vous générez entre 2/3 et 3/4 de frais supplémentaires. 
Ce n'est pas possible. Surtout avec des taux de commission de 13 à 20% pour les détaillants.
Mais ce n'est pas possible non plus pour les éditeurs pour qui les frais sont démesurés par rapport à la rentabilité. 
C'est cela qu'il faut changer. Multiplié par le nombre croissant de parutions ce n'est plus rentable pour les magasins. Même si les éditeurs peuvent encore supporter les frais de cette gabegie ils tuent leur réseau et de ce fait, réduisent leurs ventes (certaines celles-là). 

Quant à SARRA un projet mis en oeuvre par des acteurs aux intérêts opposés sous une gouvernance peu volontaire ne pouvait pas aboutir. Entretemps nous avons changé de gouvernance et le marché s'étant restreint rend naturellement à la rationalisation incontournable. Ce n'est pas parce que SARA n'a pas fonctionné qu'il n'est pas possible de mettre en place un réassort efficace. D'autres secteurs d'activité y arrivent très bien.  

 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

1 appréciations
Hors-ligne
Bonjour, pour ma part, je n'accède pas à vos ventes quotidiennes, au mieux je peux accéder à 3 remontées de vente en cours de vie d'un magazine, ce qui me permet de définir plus finement la mise en place du prochain n°. Peut-être que cela sert à votre dépôt, je l'ignore. Mais honnêtement, même si j'y accédais je n'aurai pas le temps matériel de pointer l'ensemble des pdv que je sers, mes assiettes de distribution se situant entre 8 000 et 10 500 pdv. A moins d'avoir un système d'alerte automatique pointant les pdv proches de la rupture. Mais je trouve bien que cela soit le pdv qui demande son réassort, car certains points de vente ont un "abonné kiosque" pour mes publications : en regardant son historique, que je lui mette 1 ou 2ex, il ne vend toujours qu'un ex, donc il n'a pas besoin d'un réassort.

946 appréciations
Hors-ligne
Aujourd'hui il n'est pas acceptable que vous n'ayez que des informations décennales alors que nous remontons les ventes deux fois par jour. Les messageries doivent être transparentes. Les données ne leur appartiennent pas. Elles sont à vous et nous mais certainement pas à elles. 

Si vous les aviez vous seriez en mesure d'automatiser aisément. Même dans la fabrication des pneumatiques, à base de caoutchouc, très sujet aux variations de nombreux paramètres tels que l'hygrométrie, la température, la pression, l'origine des produit de base, leur origine et ancienneté, etc.  cela fait plus de 40 ans qu'ils ont mis en place des outils de réglage de leur production en fonction de tous leurs paramètres. Il y a 40 ans les producteurs exécutants leur disaient que c'était impossible et que seule l'intervention d'humains expérimentés permettait d'obtenir des dosages efficaces. Notre sujet n'est pas plus compliqué et l'informatique a fait de grands progrès. L'intelligence artificielle gère aujourd'hui 2 heures à l'avance la charge prévisionnelle de certains hôpitaux et les besoins de personnel en découlant. Ne pensons pas que nous sommes différents et que notre sujet est plus compliqué. C'est juste une question de volonté et d'intérêt.
Votre rôle aujourd'hui ne doit plus être le réglage des parutions mais son automatisation (y compris le réassort)  et l'organisation du service client pour qu'il soit performant au service du consommateur (recherche de développement de couverture, incentive, etc). Si vous ne le faites pas d'autres s'en chargeront. C'est déjà commencé avec Direct éditeurs et Nap. 

Le réassort doit être automatisé mais, vous avez raison, c'est au détaillant de savoir si il faut valider la proposition qui lui est faite par son logiciel ou pas. C'est lui qui sait si il n'a qu'un seul client ou s'il peut éventuellement avoir un client occasionnel. C'est paramétrable dans nos logiciels de gestion de stock. c'est aussi ce que font tous les libraires tous les jours : surveiller leur stock, anticiper les ruptures, statuer sur l'intérêt de repasser des commandes en fonction du rythme de vente et d'autres paramètres indépendants du titre (sortie de nouveaux produits concurrents, éléments influents sur la vie du magasin ou sa fréquentation, etc.) Il faut responsabiliser les détaillants qui doivent gérer leur secteur. Une mauvaise gestion (jugée à l'aune des résultats d'autres magasins similaires) doit être assortie du risque de perte de la sécurité qu'offre une zone de chalandise attitrée garantissant un potentiel de ventes. Avertissement puis ouverture de la zone à la concurrence si besoin. Mais pour tous ceux qui font leur travail correctement, la garantie de ne pas voir implanter un nouveau rayon presse dans la zone attitrée. C'est de la simple gestion de réseau commercial. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Cette volonté d'adapter la production à la demande est légitime. Mais elle amène naturellement à enlever le pouvoir décisionnel aux messageries...
Au détriment de la filière, bien sûr, et de l'efficacité. 
A bons entendeurs.

946 appréciations
Hors-ligne
Enlever le pouvoir décisionnel au messageries se ferait au détriment de la filière et de l'efficacité ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Parce que vous croyez que les messageries vont laisser le pouvoir si facilement ?
C est ça qui est bancal aujourd’hui. Les pouvoirs publics savent qu’il faut les réformer, mais leur donnent la main pour rempiler. Et personne ne s’élève contre !

946 appréciations
Hors-ligne
Je crois surtout que l'absence de responsabilité est finie et que les pouvoirs publics vont les obliger à revenir à des réalités car il n'est plus possible de continuer à les ignorer en pensant que l'argent va tomber du ciel. L'Etat ne veut plus mettre la main à la poche pour un secteur en déclin. La rationalisation est obligatoire. Et les atermoiements de certains n'y feront rien. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Vous convenez qu’on n’est plus dans la réalité...mais on ne l’a jamais été si on considère qu’un tel système doit être viable économiquement. Et pour l’avenir avec tant d’éditeurs qui songent à d’auto-distribuer, bon courage.

193 appréciations
Hors-ligne
Cela à duré plusieurs décennies, les solutions à nos problèmes étaient simples seule manquait la vrai volonté de reformer(Cf nos représentant et les éditeurs)
Aujourd'hui, il semblerait que l'Etat via l'ARCEP ne veut plus ce "système".

Inutile  de monter une usine à gaz.
Un SI performant de GESTION du STOCK PRESSE en temps réel avec les remontées caisse ( Rien de difficile pour une équipe de développeurs compétents) et fini les discussions interminables sur les rassorts et le paiement des ventes.

Tout le reste est balivernes.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

163 appréciations
Hors-ligne
NEIGES 
c'est évident , un informaticien vous règle tous ces problèmes en une journée les algorithmes pensent et travaillent pour nous et même souvent CONTRE nous 
il faut donner à l'informaticien  les bonnes infos et bien expliquer ce que l'on veut faire 
le cahier des charges est très important
en ce qui me concerne je sais ce que je veux , mais n'ai pas la prétention de vouloir donner des renseignements sur tous les autres 
alors parlons , discutons nous allons trouver la bonne solution j'ai confiance 
la peur doit changer de camp

Neiges, vous auriez raison si 100 % du réseau était informatisé. Ce n'est pas le cas. Comment un système gérerait les qq milliers qui ne sont pas communiquants ?
A moins qu'il y ait 2 systèmes, mais ça redevient une usine à gaz.
Les solutions de mode de paiement sont un sujet qui ne concerne pas que le réseau.
Vous voulez être décaissés après vos ventes réelles, vos encaissements. OK, ça s'appelle du dépôt-vente, c'est d'ailleurs ce qui se fait pour la PQR.
Si un tel système voyait le jour, la trésorerie du réseau serait très positive, et nos chers fournisseurs en tiendraient compte pour diminuer les coms.
Or, la (trop faible) rentabilité pour les magasins est ce qu'il faut défendre en priorité. 
Attention, ne retrenez pas qu'il ne faut rien faire...mais attention aux fausses bonnes idées, et aux réactions sournoises de nos "partenaires".

176 appréciations
Hors-ligne
123456 vous n'avez pas de fièvre ?
Votre santé nous préoccupe soudainement... 
Depuis des années et des années vous nous soutenez que les marchands n'avancent pas de trésorerie, que nous comprenons rien à rien avec ou sans la formation cela serait pareil, etc.etc.
Et la, dans votre dernier post ci-dessus (je vous cite :

"...Si un tel système voyait le jour, la trésorerie du réseau serait très positive, et nos chers fournisseurs en tiendraient compte pour diminuer les coms."

Mais savons déjà à peu près tous quel argumentaire vous allez nous développer pour expliquer votre aveu.
Bon w.end

193 appréciations
Hors-ligne
Comment ça 100% du réseau n'est pas informatisé !!

Mais si, Messie… certains individus bien intentionnés ont viré les marchands, qui avaient néanmoins investi dans leur magasin, non informatisé de la profession.

Déjà dit et répété c'est une question de volonté.
 Zanini, "tu veux ou tu veux pas"
Or, jusqu'à présent c'est du "tu veux pas" 
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

Dommage qu’il y ait besoin de tout expliquer a qqn qui ne peut pas comprendre du 1 er coup...et qui refuse ensuite de reconnaître.
Trésorerie très positive, ce n’est ni négatif comme vous le pensez, ni proche du zéro ou légèrement positive comme les stats le montrent. Et comme vos bilans le montrent aussi entre votre dette au dépôt, et votre consigne en prix d’achat. 
Toujours pas compris ?

Reconnaissez vous au moins que vous êtes très positif concernant la PQR ?

176 appréciations
Hors-ligne
Eh paf dans le mille, pile poil l'argumentaire que l'on attendait tous... Encore merci de votre participation pour notre plus grand bien et encore une fois bon W end

Métaphore éculée pour l’un, manque d’arguments pour l’autre...vous seriez bien plus utiles et intéressants si vous oubliez votre rancoeur.
Votre argument de demander le dépôt vente n’est pas neuf, mais aurait incontestablement le mérite de rendre le métier moins contraignant en travail et avec une trésorerie très positive. Vous évoquez toujours la trésorerie mais jamais la rentabilité qui est le plus important. Ça me choque de la part de vous, encore acteurs, et de l’aadp qui est sensée faire le taf.

946 appréciations
Hors-ligne
L'amélioration de la rentabilité ne repose pas uniquement l'évolution des taux de commissions et l'obtentions d'aides. 
 Les axes d'amélioration de la rentabilité sont multiples : 
- moins de temps passé à traiter les erreurs et suivre les dossiers de litiges en cours,
- moins de temps et d'espace consacrés à des volumes inutiles
- moins de trésorerie consacrée à l'activité
- plus de ventes par l'amélioration du service rendu

Diminuons les charges d'exploitation par la rationalisation des flux et développons les ventes par l'amélioration de la qualité de service, nous améliorerons la rentabilité de nos exploitations.

L'AADP fait le travail que vous n'avez pas fait pendant des années. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Entre être conviés aux débats et que toutes les demandes soient acceptées, y’a un fossé que vous semblez dénier, le réseau n’est pas le seul concerné. Et à ce jeu, il n’a pas la main, loin de là.
Les commissions ont augmentées ne l’oubliez pas. Pas assez selon moi, et c’est pourquoi entre les deux hypothèses, je ne sentais pas la situation basculer du bon côté pour le réseau. Le présent le dit, et pour le futur, je vais rester prudent, on verra bientôt.

163 appréciations
Hors-ligne
les AMIS il ne sert à rien de discuter avec un âne .
vous perdez votre temps .
je l'ai déjà expliqué : il est dans la magouille jusqu'au cou.il ne peux pas dire aujourd'hui , je suis coupable d'avoir ramasse la galette en racontant des balivernes à des générations de diffuseurs 

il vaut mieux essayer de trouver LA bonne solution pour l'approvisionnement de nos magasins .

Dernière modification le samedi 06 Mars 2021 à 08:54:32
la peur doit changer de camp

946 appréciations
Hors-ligne
Nos demandes ne sont pas des souhaits corporatistes difficiles à justifier mais correspondent à  l'évolution de la situation. C'est pourquoi elles sont acceptées. Pas pour nous faire plaisir. Elles prennent en considération l'intérêt collectif. C'est difficilement compréhensible pour ceux qui ne pensent qu'en termes d'accords partisans.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Il n'y a qu'à ceux qui ne suivent pas de près le métier que vous ferez croire que vos demandes sont acceptées !
De telles affirmations pourraient se retourner contre vous si les choses ne s'améliorent pas. Et tout ne semble pas aller dans ce sens !



Répondre
Pseudo :
Adresse e-mail:


Se souvenir de mes infos ( pseudo et e-mail ) :
Cochez la case ci-contre :

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9933 autres membres