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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Le temps de la manipulation est terminé. Décryptage.

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"Entre amis."
L'un fait passer un message complaisant. L'autre prétend lui assurer une crédibilité.

A l'occasion du congrès de CP un éditeur renommé a cru bon d'adresser un message aux "cher Partenaire" que sont les marchands de presse selon lui.
Notez le P majuscule pour renforcer l'idée du partenariat.  

Et Culture Presse a jugé utile de soutenir son propos.
Nous allons démontrer ici que tout ceci n'est qu'une tentative éhontée de manipulation des marchands de presse par ces deux acteurs.

A tout seigneur tout honneur. L'éditeur n'est pas n'importe qui. Il est habile et reconnu, depuis des années. Et ses titres sont de qualité. Nous lui sommes reconnaissants pour cela. Mais son discours présent présente les stigmates de l'ancien régime. Et pour un professionnel aguerri de la communication, ce ne peut pas être le fait du hasard.

Il commence par valoriser l'action des marchands de presse. 
L'éditeur, immensément chanceux, tire un bénéfice unique au monde, du réseau des marchands de presse. Il sait ce qu'il doit à ces marchands : le succès de ses magazines.

Et il enchaîne naturellement sur une demande pour satisfaire son besoin d'aujourd'hui des marchands de presse. 

Après quoi il évoque ses investissements importants et sa prise de risque. 
Ses investissements sont toutefois limités à l'aspect éditorial comme il l'indique.
Et la notion de risque semble être limitée à son activité, les marchands n'en prenant aucun et ne faisant aucun investissement certainement.

Il assure qu'il croit dans le réseau et que c'est pour cela qu'il investit 1M€ dans la promotion. 
C'est certainement plus rentable que d'investir dans le réseau. 

Il précise que le réseau est fort pour attirer de nouveaux lecteurs.
C'est selon lui sa fonction : faire découvrir ses titres au public pour pouvoir vendre ensuite ces titres en direct par abonnement sans plus penser aux marchands.
 
Il mentionne ensuite le soutien des dépositaires et de CP.
Il ne faut en effet jamais omettre de faire la promotion de ses amis et en prime cela peut donner un semblant de caractère "officiel" à la démarche.

Il reprend enfin les notions de solidarité (partenaires, même combat, Ensemble) et d'engagement.
Mais son engagement envers les marchands se limite "à vous proposer de très belles références". 

Et il conclut sur le bénéfice que pourront en tirer les marchands de presse en écrivant que vous pouvez compter sur sa détermination.
C'est bien la seule chose sur laquelle vous pouvez compter. Ne pensez pas compter d'argent. Ca c'est réservé à la promotion. 
_________________________________________________________
Nous ne lui en voulons pas. 
C'est un bon professionnel.
Dans les circonstances où il était il a répondu à la demande de CP (d'une communication conjointe) tout en assurant la promotion de ses titres. 
Mais il l'a fait d'une manière obsolète. 
La transition est longue à venir et le soutien maintenu aux traditions est malvenu dans un temps de réforme. 
Le rôle de l'éditeur ne se limite plus à la conception.
Il doit aujourd'hui englober la commercialisation.
Et pour être crédible il faut être cohérent. 
On ne peut prétendre soutenir le réseau et brader les abonnements avec 70% de remise.
________________________________________________________
Le rôle joué par CP est plus répréhensible. 
Les marchands ont une obligation légale d'équité envers les titres. Ils n'ont pas le droit de soutenir un titre ou un éditeur plus q'un autre. Cela s'appelle de la discrimination et c'est interdit. En prenant le parti de favoriser un éditeur cette organisation n'est plus dans son rôle et invite les marchands de presse de ne pas respecter la Loi. Pourquoi donc ? 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Difficile de rajouter quoique ce soit à cet excellent argumentaire.

J' ai également reçu ce courrier aujourd'hui, nous demander du soutien sans nous donner les moyens est soit de l'incompétence soit du mépris Par contre il montre bien le role que les éditeurs nous attribuent en profitant de nos linéaires pour communiquer, ce courrier doit etre transmis à l' ARCEP pour information

Difficile d'en rajouter...la preuve que non :
C'est quasiment une habitude de flatter ses clients, pas que dans la presse et pas qu'en France.
Il en va de même dans combien de grosses boites qui lors de réunions reboostent leurs troupes. Vous, à une autre échelle, ne flattez jamais vos clients ou votre personnel ?
Parler de réseau "unique au monde" est une figure de style évidemment, mais au premier degré, c'est vrai.....mais l'anomalie est chez nous. C'est en France que l'offre de publication est aussi large, car elle est subventionnée sous différentes formes depuis toujours. Cherchez l'erreur.
Ne déniez pas les investissements faits par les éditeurs. De notre côté, combien d'entre  vous ne vivent que de la presse : personne. Tout oblige, et de plus en plus, à diversifier. Le réseau dit spécialiste est une belle vitrine qui ne leur coûte pas cher, mais c'est ce réseau qui est le plus fragile.
Rien n'a changé depuis des années. Il faut être sourd pour ne pas avoir déja entendu ces propos d'éditeurs mille fois.
Pour l'équité envers les titres, c'est pareil. Il en existe plus de 2000 différents. En recevez vous tous autant ? Si vous dites non, il y a déja discrimination...Et alors ?
Et si on vous laisse le choix de ne prendre que ce que vous voulez, oseriez vous encore parler de discrimination si elle vient de vous ?
Tout sujet est bon pour vous pour taper sur CP. Ca s'appelle du populisme professionnel. De la jalousie aussi. 
Essayer de flinguer vos ennemis ne vous donne pas pour autant de crédit. Il n'y a là que critique, aucune idée constructive, alors qu'il y a de quoi faire !

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123456
c'est un menteur , qui vous parle , il connait le sujet , il a embobiné des centaines de futurs marchands pour le compte des éditeurs 
la peur doit changer de camp

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Nous entendons effectivement ce discours depuis des années. Et cela suffit car c'est ce discours négativiste qui est la cause des difficultés de la filière. A ne regarder que leur intérêt les éditeurs nous détruisent. Ils nous disent être nos meilleurs soutiens mais ne voient en nous que des rabatteurs qu'ils peuvent court-circuiter dès que ça les arrange. Ils sont schizophrènes et profitent allègrement de leur position et du manque de réaction des marchands. 
Et vous, 123456, qui revendiquez l'impossibilité de faire évoluer le système, vous les soutenez encore dans ce discours éculé et mortifère.

Les propositions constructives sont faites. La réforme est mise en oeuvre. A eux de l'admettre au lieu de rester dans leur conservatisme confortable mais suicidaire. Plus tôt ils changeront d'état d'esprit plus la filière a de chances de s'en sortir. Au lieu de cela ils jouent la montre et continuent comme si de rien n'était. 
C'est regrettable mais cela ne changera rien au final, si ce n'est qu'ils auront gâché des possibilités de redresser la barre plus tôt et d'ainsi sauver des points de vente qui vont encore disparaître, par leur faute.
Ils s'en moquent. C'est un fait. Mais il leur sera bien plus difficile et coûteux de recréer que de rebâtir sur une base existante.
Il est temps que le régulateur affirme la volonté de l'Etat en adoptant un ton moins conciliant et en étant plus directif.
Nous pourrions le constater avant la fin de l'année.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

On décrypte ce qui est bien caché. Or, vous prenez un cas banal, un exemple type.
Pour ceux qui connaissent le métier et qui ne se laissent pas dépasser par leur ressentiment, ou par du fabulisme, y'à pas de quoi se prendre la tête. 
On accepte de jouer ou on passe son tour, car imaginer du changement fortement favorable, c'est très bien, mais il faut rester un minimum lucide...

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123456
connait tellement bien le métier qu'après avoir embobiné des centaines de futurs marchands pour le compte des éditeurs , il s'est fait BAISER par ces éditeurs .c'est à mourir de rire 
la peur doit changer de camp

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Il n'y a pas que le choix entre se soumettre ou démissionner.
Il existe aussi la possibilité de faire évoluer.
C'est ce que nous avons choisi.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Si, malheureusement, il faut soit accepter ce qu'il y a déja, réduire son linéaire, ou faire autrechose. 
Dans le contexte actuel professionnel (hors covid) on est beaucoup plus près de l'abandon que de la construction.
En affirmant que ça va changer suffisamment, et que les diffuseurs pourront exploiter de ce métier, c'est un peu votre rôle, mais c'est surtout de la tromperie.

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C'est votre vision des choses. Celle-ci vous permet de vous conforter dans votre décision d'abandon de l'activité. Vous en viendriez même à regretter que la situation puisse s'améliorer pour ceux qui la pratiquent encore.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Concentrez vous à donner de bonnes infos sur votre métier à ceux qui ne le connaissent pas bien....en leur épargnant votre aveuglement.
Pour ma part, je n'ai pas besoin de votre ressenti, tellement loin du nécessaire.

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Nous vous invitons à un peu plus d'ouverture d'esprit et d'acceptation de l'expression d'idées que vous ne partagez pas.
Nous avons souhaité que vous puissiez exprimer votre point de vue bien qu'il soit contraire au notre. Nous l'avons démenti, avec nos arguments mais nous tâchons de rester factuels. Evitez donc de nous taxer d'aveuglement et de parler de notre ressenti car vous vous écartez du sujet en devenant subjectif. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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les médias télé et radio nous informent depuis hier que le prix du papier va prendre 30% de hausse 
on peut espérer que la presse écrite , les éditeurs , se rendent enfin compte que fabriquer 10000 numéros d'une publication pour en vendre 1000 ,c'est fini .
il est impossible de travailler à flux tendu avec la presse , mais sortir des quantités débiles pour faire cracher de la trésorerie aux marchands va prendre fin 
les éditeurs vont devoir travailler avec les marchands s'ils ne veulent pas disparaitre .
la peur doit changer de camp

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30 % Est intéressant

il faudrait aux marchands
- 30 de commission comme Relay
- 30% de numéros en moins dans les rayons. Actuellement Air et Cosmos est revenu à 5/6 numéros en vente et Lire avec ses hors séries et deux remises en vente "succès presse" doit être à 5 numéros dans le linéaire.
- 30% de volume en moins.

il va y avoir des baisses dans les mises en place en 2022 à cause du coût du papier. Les éditeurs vont y venir car contraints. Il ne faudrait pas non plus que cela soit pour eux un argument face à l'Arcep.

Dernière modification le mardi 26 Octobre 2021 à 12:12:12

268 appréciations
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Concernant le sujet de ce post :

l'éditeur avait déjà fait une OP avec Culture Presse lors de son congrès de 2019. Comme nous ne vivons pas dans le monde des Bisournous on peut penser que cet "échange " n'est pas gratuit.

 Il ne précise pas comment il va répartir ce million de publicité pour les différents titres du groupe. Est-ce entre les titres, est-ce sur internet, est-ce pour favoriser les abonnements, est-ce de la PLV car aujourd’hui il ne donne rien au marchands pour mettre sont titre en avant.
On peut aussi faire l’hypothèse que dans ce million soit pris en charge une partie des frais du congrès.  Mme Benbunan présidente Presstalis n'avait t-elle pas offert un déjeuner aux congressistes de CP alors que les finances de la messagerie étaient au plus mal

Malgré tout le soutien moral qu'il  veut nous apporter, Il ne propose surtout rien et apparemment ne veut pas s'engager pour améliorer la rémunération des marchands.  Pour cela il compte certainement sur le président de CP qui serait selon des éditeurs "le meilleur représentant des éditeurs" lit-on sur les réseaux sociaux.

Concernant sa demande de mettre son titre en pile, je ne suis pas sûr que tous les diffuseurs puissent le faire au vu du nombre exemplaires qu'ils reçoivent. Personnellement Challenges est bien placé à coté du l'Obs (titre qu'il connaît bien et d'autres news magazines en tête de gondole. Si je devais suivre sa prescription  "en pile" il serait bien moins exposé.

Tout éditeur qui investit, espère que la filière accompagnera la mise en avant de son magazine.
Il est donc tout à fait permis d'imaginer que ses clients mettront son magazine en avant, plutôt qu'un autre. 
Certes, il faut avoir la capacité d'investir, et n'est ce pas rassurant pour vous de voir des éditeurs qui y croient ?
Pour Presstalis qui invite ses clients, c'est pareil. Même dans la mouise, que se serait-il dit si le "pilote" du métier n'avait plus pu maintenir "son train de vie habituel ?
La messagerie a toujours vécu à crédit, tutelle aidant. Pour les éditeurs qui bénéficient d'aides, on n'est pas loin non plus.
J'admire votre confiance en l'avenir, en espérant pour vous, que vous aurez gain de cause.

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Les petits éditeurs estiment que leur travail se limite au financement de la conception et de la production. Pour eux la commercialisation est un monde inconnu dont il ne veulent pas s'occuper, sauf pour quelques ventes en direct, et encore. 
Les grands éditeurs considèrent que nous sommes des rabatteurs qui vivent à leurs crochets.
L'ensemble des éditeurs pense que nous leurs sommes redevables de notre existence et que nous sommes dépendants d'eux.
Ils ont tous du mal à comprendre que la sous-rémunération couplée à la baisse des ventes a forcé les marchands à une diversification d'activité pour survivre, et que cela a entraîné une minoration de la dépendance, voire pour certains une voie vers l'abandon total de la distribution de la presse. Les petits ne le comprennent pas et les grands ne veulent pas l'admettre parce qu'ils sont persuadés de pouvoir toujours trouver des candidats à l'exercice de cette activité aux conditions qu'ils imposent.  
Aucun ne nous considère comme des clients et c'est bien là qu'ils font erreur. 
Au lieu de s'appuyer sur le réseau et de développer sa commercialité ils préfèrent fermer les yeux ou favoriser les ventes par abonnement.
Ils n'investissent pas dans le réseau. Ils investissent dans la promotion et se moquent bien du devenir du réseau. 
Alors soit l'Etat considère nécessaire de conserver le réseau pour diverses raisons déjà évoquées et organise sa protection, soit celui-ci disparaîtra totalement pour renaître sous une autre forme (accord entre grande distribution et quelques grands éditeurs, nouveau réseau style PQR ). Dans ce deuxième cas, de très nombreux petits éditeurs feront comme les marchands les frais du changement, réduisant d'autant la pluralité. 
Pour le moment les orientations prises vont vers la première solution. 
Mais nous ne sommes pas au bout et des renversements d'orientation sont toujours possibles.
Nous le saurons très certainement avant la fin de l'année avec la décision sur l'approvisionnement des points de vente. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Les éditeurs -presse et livres confondus- ont un discours qui vante leur réseau de vente....évidemment, rien de bien surprenant.
Pour ceux de la presse, sachant ce qui leur est obligatoirement ponctionné par le niveau intermédiaire, ils n'ont quasiment aucune ressource pour le réseau. Ceux qui gagnent de l'argent le doivent à la pub ou aux aides...
En librairie, ils ont une autre vision sur leur réseau et peuvent répartir une partie de la valeur ajoutée vers les libraires.
Chacun d'eux a pourtant les mêmes contraintes de fabrication, de logistique, de commercialisation, de retours, de référencement de leur production...
Vous ne voyez toujours pas d'où vient le blocage ?

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La différence de fonctionnement est due à la différence de cadre législatif.
Et c'est justement ce qui est en train d'être modifié, et ce à quoi vos amis s'opposent alors que nous y apportons notre soutien, à notre niveau.
Les éditeurs de livres ont conscience de l'importance de la commercialisation, et de ce fait, des acteurs qui la réalisent, parce que leurs revenus en dépendent. 
Les éditeurs de presse n'en ont cure parce que :
- leur rentabilité repose beaucoup moins sur les ventes, et,
- ils sont déresponsabilisés de la commercialisation par le cadre législatif qui leur impose de passer par les messageries, et encore, 
- la distribution constitue pour eux un champ de bataille, entre eux.

La modification de la Loi a introduit une phase de transition vers le même système que le livre. 
Les opposants font tout pour en retarder la mise en oeuvre mais ils vont se heurter au rouleau compresseur de l'Etat. 
 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Au lieu de faire part de votre jugement de valeur sur vos "ennemis", il serait plus utile de donner clairement votre position au sujet du niveau 1.
Aussi clairement que possible, si vous en avez vraiment une.
Pour simplifier, voulez vous aller vers un système sans les verrous de NMPP/Presstalis/FM, ou leur spectre rémanent ?
Dans le système "presse" c'est la perte d'initiative, diluée par un nombre trop important d'intervenants aux intérêts divergents qui l'a rendu inefficace et inadaptable.
Quand on sait que pas mal d'éditeurs de presse le sont aussi en librairie, et que les autres savent au moins peser le pour et le contre, il est assez facile de comprendre pourquoi les choses ne basculent pas plus facilement vers un système qui marche !
N'oubliez pas qu'en face de votre rouleau compresseur de l'Etat (qui n'a jamais pu dicter sa loi...) il y a celui des syndicats hyper radicaux qui jouent contre tous les intervenants, eux mis à part.

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Hors-ligne
Pourquoi parler d'"ennemis" ? il n'est pas utile de susciter la discorde. 
Nous parlons d'intérêts divergents. 

Vous nous demandez ce que nous voulons, comme si nous, ou vous, étions décideurs.
Ce n'est pas le cas. Nous défendons une amélioration de la situation des marchands. Nous ne prétendons pas diriger et décider des orientations. Seulement défendre nos intérêts et ceux de la filière dont la vie influe sur nos conditions. 

Ainsi, même si notre avis nous est demandé sur ces sujets, nous savons qu'il est simplement consultatif. 

Il y a déjà suffisamment d'un acteur qui prétend être à l'origine de tout sans avoir réellement participé à rien, voire en ayant pris des positions contraires aux décisions qu'il revendique comme étant les siennes. Aucun intérêt. 

Tout ce que nous pouvons dire c'est que la distribution va se rationaliser entraînant une réduction des intermédiaires et une amélioration de la notion de service. Le premier point est celui dont vous faites depuis longtemps votre unique nécessité. C'est une conséquence et non un objectif. Le second point est un de nos objectifs essentiels, un autre étant l'amélioration de la rentabilité. Mais cela va de pair (sans constituer pour autant une condition suffisante). En mathématiques on parle de condition "nécessaire et suffisante".  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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vu ce matin le 02/11/2021 un reportage sur le  prix du papier .
il va bien falloir  à un moment que les éditeurs se rendent compte que produire des centaines de tonnes de magazines pour en vendre 10% pose un sérieux problème .ils vont droit dans le mur .wait and see 

Dernière modification le mardi 02 Novembre 2021 à 15:34:36
la peur doit changer de camp

Avec tout ce que vous leur balancez depuis toujours, et sur quel ton ! Si ce ne sont pas des ennemis -entre guillemets- ça y ressemble beaucoup. Allez au moins au bout de vos pensées.

Il ne fait aucun doute que vous voulez faire changer les choses en faveur du réseau, mais à trop vouloir ménager toute la filière, y compris les vampires, que demandez vous concrètement ?
Bien sûr, vous n'êtes pas décisionnaires, comme CP. Mais ça aurait été à vous de mettre les pieds dans le plat pour secouer les pré-retraités, les ronds de cuir du métier.
Vous n'auriez rien eu à perdre. L'Etat aurait peut être pu se servir de propos émanant de diffuseurs, dans un style bien différent de celui de CP. Dommage.

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je suis aussi buraliste 
la confédération des buralistes se conduit exactement comme CULTURE-PRESSE .c'est une mafia qui par son patron COY a signé un accord avec le gvt en la personne de DARMANIN .
Le patron des buralistes nous dit aujourd'hui , il ne doit plus y avoir de fumeurs en 2030.
les buralistes ne sont plus que 24000 , j'ai connu une époque à plus de 30000 .si les buralistes disparaissent la presse est elle aussi morte .tout est lié .
il faut se diversifier , c'est le slogan de COY 
POUR INFO 
Je suis allé deux jours en Espagne .
1- autoroute gratuite 
2- le litre de gasoil à 1 euro 26
3-les hotels, les resto fermés la semaine .on ne nous dit pas comme à la télé Française , le commerce tourne à 200 % .
4-pas de pass sanitaire mais le masque OBLIGATOIRE dans tous les commerces 
5-Escudero à la Junquera plein à bloc , que des Français 
les deux clients devant moi à la caisse pour payer le premier 510 euros de bouteilles d'alcool payés en liquide , le suivant 350 euros d'alcool en liquide aussi .
si vous n'avez pas compris 
NON il n'y a pas de ventes transfrontalières nous chante le gvt.
à mourir de rire 
la peur doit changer de camp

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Constater des intérêts divergents est factuel. Traiter d'"ennemis" ceux qui n'ont pas les mêmes intérêts est déplacé et maladroit. Déplacé car chacun a légitimement le droit de défendre ses intérêts. Maladroit car ce n'est qu'ensemble que nous pouvons aboutir à un accord constructif.
Pour y arriver il faut dire les choses, afin que nul n'ignore ou ne fasse mine d'ignorer la réalité. Mais il n'est pas nécessaire de dénigrer. 

Le SEPM défend ses propres intérêts. C'est légitime. 
Nous avons les nôtres, qui ne le sont pas moins. 
Notre rôle ne consiste pas à traiter le SEPM en "ennemi" mais à dénoncer ses manoeuvres, de sorte que les décisions soient prises dans l'intérêt collectif plutôt que dans le sien seulement.
Nous mettons de la même manière en évidence le manque d'implication des autres éditeurs, qui refusent de s'engager pour des raisons diverses qui leurs sont propres et laissent le champ libre. 

Notre parole est entendue et n'a rien de similaire avec celle de CP.
Tout le monde en est conscient et s'inquiète de ce que nous pourrions dire.
Notre action aura au moins eu ce mérite de limiter la désinformation et les actions contraires aux intérêts des marchands. C'était le rôle de CP mais cet organisme privilégie d'autres intérêts.   
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Vous ne dénigrez jamais !!! Chaque post se dresse plus contre CP que n'importe qui d'autre.
Et la phrase qui signe tous vos posts, même prise au second degré, c'est juste pour le décor ?
Comme dans vos propos, il y a un décalage entre la raison nécessaire et le ressenti populiste, bien que s'adressant à si peu de monde.

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Hors-ligne
Si CP faisait honnêtement son devoir nous n'existerions pas.
Ce n'est pas du dénigrement mais un fait fondateur.

Si, nos propos tenaient du ressenti populiste nous aurions été écartés.
Au lieu de cela nous sommes écoutés et entendus.

Quoiqu'il en soit, il serait souhaitable de rester sur le sujet.     
D'ici la fin de l'année nous saurons où nous allons.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Hors-ligne
si nos propos s'adressent à SI PEU de monde , je me demande pourquoi il répond le "Sheldon " .il a peur de quoi ? 
la peur doit changer de camp

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