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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

On ne pourra jamais bâtir sur des mensonges

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Pour être crédibles il ne faut pas pratiquer le mensonge permanent. 

On ne peut pas écrire que l'on a plus de 16.000 adhérents quand on en a probablement pas le 100ème (et encore je suis large : les adhérents à la carte Prisma sont seulement 86 et encore ne sont ils pas tous en phase avec leur direction). 

On ne peut pas prétendre qu'on est le seul interlocuteur des pouvoirs publics alors que ce n'est manifestement pas vrai.

On ne peut pas écrire qu'on a 500 responsables locaux quand plus de 50% des départements n'en ont pas.

On ne peut pas prétendre que le président est élu par ses pairs alors qu'un candidat unique est choisi par un Conseil d'administration fantôme et que le nombre d'adhérents et de votants n'est même pas déclaré.

On ne peut pas dire que l'on veut défendre les intérêts des marchands et tenter d'empêcher un accord permettant le paiement des commissions complémentaires au fil de l'eau.

On ne peut pas prétendre valoriser le métier en imposant des formations que l'on vend.

On ne peut pas concevoir son rôle comme celui d'une centrale de service signant des accords intéressés avec des partenaires.

On ne peut pas prétendre qu'on organise un salon professionnel dans l'intérêt des marchands et en retirer un bénéfice conséquent sans le redistribuer aux marchands.

On ne peut pas dire que l'on défend les marchands sans avoir émis une seule revendication et en se faisant le porte-parole des éditeurs avec lesquels on est censé négocier. 

On ne peut pas prôner la division plutôt que le rassemblement.

Etc.

Nous ne pourrons pas construire sur du vent. 

Tous ces mensonges sont dans la plaquette de présentation de Culture Presse. 
Il est temps de revenir aux fondamentaux et faire cesser l'affairisme et le carriérisme.

Nous avons beaucoup de retard à rattraper et de travail à faire. 
L'AADP l'a initié. Elle souhaite continuer à apporter sa contribution constructive et reste ouverte à tout changement permettant le rapprochement.
 






Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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La vérité n'est pas supportable par les actuels dirigeants de Culture Presse.
Ils ne la nient pas.
Ils tentent d'en empêcher la circulation. 
C'est pourquoi ils viennent d'interdire l'accès de leur page Twitter à des diffuseurs qui tentaient de la faire circuler. 
Ce qui peut s'entendre pour un particulier n'est pas admissible pour une organisation qui se veut représentant national. 
Si les éléments sont mensongers, il faut les démentir et au besoin faire intervenir la justice pour que son droit soit respecté. 
S'ils ne le sont pas, il n'est pas pensable d'en limiter la propagation.

Mais les dirigeants actuels de Culture Presse n'ont rien à faire des principes démocratiques. 
Et ils ont tout prévu pour se protéger. 
Lors de la création de l'AADP ils ont modifié leurs statuts pour y introduire l'article suivant intitulé "Article 15. Commission de discipline" :   

"Il est formé, au sein du Conseil d’administration, une Commission de discipline qui a pour tâche de qualifier les actes, paroles ou écrits pouvant porter atteinte aux intérêts moraux et matériels de l’UNDP et de proposer au Conseil d’administration le retrait de toute fonction représentative, ou la radiation de tout adhérent, lorsque de telles sanctions lui semblent justifiées.
La Commission est composée du Président national, du Secrétariat national, du Trésorier national ainsi que de trois Administrateurs.
Les modalités de fonctionnement de la Commission de discipline sont déterminées par le règlement intérieur."

Ainsi,  sans même qu'avec certitude cette commission ne soit réellement réunie, le Président peut décider d'exclure tout contradicteur et éviter toute remise en question. C'est dictatorial. 

La prochaine étape est la modification des statuts pour lui permettre de rester en fonction lorsqu'il ne remplira plus les conditions actuellement imposées (être diffuseur en activité par exemple). 

Ca rappelle un peu Napoléon non ? 
Au fait, Napoléon n'avait confiance en personne, pas même en ses généraux les plus proches qu'il condamnait, destituait ou expatriait très rapidement. Il ne rendait de compte à personne et ne s'estimait redevable envers qui que ce soit. Quels que soient les services rendus. 
Malheureusement si le comportement dictatorial (qui l'a perdu) est identique, le niveau intellectuel ne l'est pas. Il serait temps de s'en rendre compte. Le carriérisme et les affaires n'ont rien à voir avec la représentation syndicale.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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