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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Recadrage

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Dans les années 80 il y avait 3 messageries NMPP ,TP,MLP et 3000 DÉPOSITAIRES indépendants pour assurer la Distribution. Les réglages étaient assumés par ces Dépositaires soucieux de ne pas pénaliser leur réseau, qui était leur gagne pain.  A ce jour ce sont les NMPP qui tentent d'assoir leur position monopolistique, et le réglage des titres est bien imposé par les ÉDITEURS et la distribution est assurée par des plateformes (une 100) qui n?interagissent plus sur les réglages .La loi du marché existe dans notre profession on ne peut si opposer . 
L'AADP se bat pour pérenniser la profession en associant l'ensemble des Acteurs en faisant des propositions encourageant un modèle viable dans un contexte difficile pour toute la filière.

Nous avons toujours été ouvert à toutes discutions sans discrimination et toujours attentif aux réflexions de chacun , ne nous prêtez pas des intentions qui ne sont pas les nôtres.      

Dernière modification le lundi 02 Novembre 2015 à 11:14:40
Durand

Certes la loi du marché s'impose de plus en plus à la presse.

Mais faut il accélérer ce mouvement ou le retarder. Cette loi du marché à tuer 8 de mes concurrents les plus proches. Je devrai m'en réjouir  je le déplore! Ce n'est pas pour rien qu'apès la seconde guerre mondiale l'Etat avait décidé que la presse devait échapper à la loi du marché et avait légiféré dans ce sens.
La démarche de l'AADP qui avait décidé d'informer l'état sur la situation de la presse me donnait un espoir. Mais je constate que ce n'est pas pour apporter aux diffuseurs la protections des lois sur la presse. Mais pour collaborer à la destuction de ces lois
J'ai quitté l'undp car ilsouhaitait déja S'ADAPTER au marché. On voit les conséquences.
Comme Cassandre je ne serai pas écouter mais aller dans ce sens c'est donner la distribution de la presse au GS et à quelques FNAC bis (sans parler du portage et des abonnements).
Dans le marché libre les éditeurs n'ont pas besoin des marchands de presse sauf ceux qui peuvent devenir FNAC bis

Dernière modification le lundi 02 Novembre 2015 à 13:46:00

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Vous l'avez dit, la loi du marché s'impose.
Il n'est pas dans notre idée d'accélérer le phénomène mais simplement de l'accompagner, au mieux de nos intérêts. Ce sera certainement plus efficace que de refuser toute évolution en se retranchant derrière des textes datés qui ne sont déjà plus appliqués et ne seront pas défendus par les représentants de l'Etat.
En 1947 les éditeurs n'avaient quasiment pas d'autre possibilité que de passer par le réseau.
Ce n'est plus le cas et personne ne pourra les contraindre à ne pas exploiter les nouvelles possibilités qui s'offrent à eux aujourd'hui.
C'est un fait et il faut l'accepter.
Suivant notre capacité à nous adapter nous le ferons avec plus ou moins d'entrain et d'optimisme mais nous devrons le faire.
En participant activement à la définition des nouveaux contours nous avons plus de chances d'améliorer la condition de notre profession qu'en tentant de retarder l'évolution car l'Etat, placé en qualité d'arbitre sera plus à même de nous soutenir et nos propositions seront pour partie prises en considération.
En refusant cette adaptation nous nous discréditerions et serions contraints de subir tout ce que désirent les principaux éditeurs.
Mais nous ne le ferons pas par contrainte mais au contraire par volonté de progresser.
L'évolution de notre situation, même si elle peut sembler compromise à certains, attachés au passé, passe par notre capacité et notre désir d'adaptation. Non pas par la diversification que d'aucuns tentent de nous vendre comme la solution miracle alors qu'il ne s'agit là encore que de l'exploitation du réseau par les acolytes de ces mauvais conseillers. Mais par la prise en mains de notre périmètre commercial et de sa gestion, au mieux de nos intérêts.
Nous ne devons plus, comme par le passé, être qualifiés de diffuseurs, terme qui traduit la passivité dont on nous affuble, mais de marchands, autonomes et gestionnaires de leur portefeuille local.
Cela ne conviendra pas à tous effectivement.
Mais ceux qui le voudront seront autrement considérés et rémunérés.
il est temps de combler le retard social et commercial de notre filière.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Vous ne pensez tous qu'à l'avenir, mais en vous référant sur 1947 ou 1980 !!!
Et surtout en acceptant les structures de distribution de l'époque, qui ne s'adapte qu'à la marge.
Soit l'inverse de ce qu'il faut.
Car c'est seulement en cassant ce cadenas que les marchands pourront s'affirmer et sortir de la soumission. Le mot diffuseur, marchand, ou autre, n'a pas d'importance, car pas de sens sans changement complet du système piloté et complètement verrouillé.
On est maintenant durablement dans un marché de récession, plus la peine de regarder derrière ou de faire semblant. C'est maintenant qu'il faut que le réseau se libère du niveau 1, au moins pour la partie trop chère et inutile. Le reste n'est que tourner en rond.
Durand

Un jour arrivera ou gallimard et hachette ne livreront plus 123456 parce que ce n'est pas rentable. Comme il a un point de vente très bien placé il pourra faire franprix;
Descartes et 123456 je vous imagine bien en chef de rayon dans une GS ou une fnac bis...... J'espère que vous ne serez pas oblige de travailler chez Amazone....
Vive la loi du marché et le développement des plus gros. Faisons disparaitre la presse d'opinion, elle n'est pas rentable, cela à commencé avec la disparition récente du monde libertaire.......

Dernière modification le lundi 02 Novembre 2015 à 19:00:11

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Il y aura toujours un niveau 1.
Ce sont sa mission et sa qualité de service qui doivent être redéfinies et encadrées.
La régulation est en marche pour cela.
Cela a commencé par la reprise du contrôle des barèmes.
Cela se poursuivra inéluctablement car la filière ne peut se permettre plus longtemps d'être aussi peu performante dans sa distribution. Les aides n'ont été accordées et renouvelées que dans l'attente de cette amélioration. devant le peu de résultats, la reprise en mains est décidée.

Nous avons joué notre rôle en mettant en évidence les dysfonctionnements et leurs conséquences. Cela a contribué à accélérer la prise en compte politique.
Nous attendons désormais les mesures proposées en travaillant déjà sur l'avenir.
Ce sont le périmètre d'action future des marchands et les conditions attachées qui sont désormais les prochains sujets. D'où nos questionnements sur la définition du métier et notre volonté de faire évoluer les mentalités afin de constituer un groupe uni dans le désir de faire progresser la filière et, en même temps, notre condition.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
Durand

Descartes tu es plein d'illusion si tu acceptes le marché c'est toujours le plus fort qui gagne, il transformera le niveau 1 en coin presse avec du tabac des jeux et une armoire à boissons.....
Sauver la presse c'est augmenter la commission, permettre aux diffuseurs d'être rémunérés sur les invendus retournés et obtenir de l'état la disparition des subventions pour les éditeurs aidant l'abonnement et le portage

Dernière modification le lundi 02 Novembre 2015 à 19:14:50

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Durand, oeuvrer pour obtenir une reconnaissance de notre métier par sa professionnalisation devrait vous satisfaire et non vous inquiéter.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Mais que veut donc dire "accepter le marché" ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
Durand

Accepter le marché c'est accepter que l'on soit marchand de presse sans que la presse représente un %significatif du CA. Ce qui ouvre la porte au GS et au fnac bis......C'est accepter que la majorités des titres de presse ne soient pas dans un magasin( problème de l'assortiment et de la longueur des linéaires.... C'est accepter de donner une forte commision à des magasins qui font un gros CA avec un choix réduit. 
Pas besoin de zone de protection si les GS et les fnac Bis vendent la presse avec une commission de 50% inférieur au marchand de presse et que le portage et l'abonnement ne sont plus subventionnés
Je ne suis pas libraire car je n'accepte pas les offices donc j'ai une commission très faible......

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Bien, nous progressons car cela devient plus clair et je comprends un peu mieux vos réticences.
La question est bonne :
"l'activité presse doit elle représenter un pourcentage significatif du CA pour qu'un magasin soit autorisé à l'exercer ?"
(Notons que ce pourcentage ne serait pas nécessairement 50% mais devrait être défini.)
Elle mérite effectivement de trouver la bonne réponse.
Pour cela , voyons les conséquences des différentes réponses possibles à cette question.
Répondre non signifie effectivement, comme le dit Durand, donner la possibilité aux GMS et GSS de nous concurrencer.
Répondre oui signifie protéger notre marché en freinant l'accès de ces GMS et GSS à celui-ci.

Je parle en mon nom et n'exprime que ma propre réflexion, pour qu'il n'y ait pas de confusion.
Il est forcément tentant de répondre non.
Mais le pouvons-nous ?
Pouvons-nous interdire aux éditeurs de vendre par les réseaux qu'ils veulent ?
Non. D'une part ce serait une entrave à leur liberté commerciale. D'autre part nous n'en aurions pas les moyens. Enfin nous n'aurions pas le soutien de l'Etat.
En revanche, ce que nous pouvons et devons exiger de la part des éditeurs, c'est une équité de traitement. Là, l'Etat, désireux de préserver la pluralité, peut et va nous appuyer.
Il suffit de lire le compte rendu de la réunion de la commission de la culture à l'Assemblée hier pour comprendre cela.
Et encore cela demandera t'il de l'opiniâtreté car le SEPM a déjà réagi par un communiqué menaçant. Mais à mon sens ils ont déjà perdu. Les chiens aboient et la caravane passe. L'absence de Lagardère dans leurs rangs se fait sentir. Et Bertelsmann ou Agnelli/Berlusconi sont obligés de faire intervenir leurs gouvernements respectifs pour lesquels ces sujets ne constituent pas forcément une priorité.
Mais ce n'est qu'une opinion et je suis impatient de lire les avis des autres intervenants sur le blog.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Descartes, je suis assez d'accord avec votre dernière intervention.
Durand, ayant lu et relu les vôtres, pourquoi voyez vous la GMS plus belle qu'elle n'est ?
Vous avez le droit de préférer le commerce administré ou réglementé, que la loi du marché, mais alors de quoi vous plaigniez vous ? La distribution de la presse est ce qu'il y a de plus administré ! on est libre de rien, ça ne doit pas vous échapper.
Vous négligez trop le rôle du vendeur. Pour tous les biens vendus en magasins dans le commerce "libre", une part de la marge brute minimum de 30-40 % est réservée aux points de ventes. sauf pour le tabac, la presse et qq autres rares produits.
Ca ne vous choque pas que nous soyons le dernier wagon ? Perso, je trouve normal que les diffuseurs se libèrent de ce traitement. la presse récolte ce qu'elle sème, ce qu'elle mérite.
Pourquoi interdire à la GMS de vendre de la presse ? Plus aucun indépendant n'en veut...dans ces conditions.

Dernière modification le mardi 03 Novembre 2015 à 09:32:15

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Hors-ligne
Nous devons lutter contre le transfert de marché aux GMS à nos dépends.
Les risques sont importants pour nous et pour la démocratie. 

Pour autant, il n'est pas possible d'interdire aux éditeurs de vendre par ce biais.
Il faut donc limiter la chose.
L'obligation de présenter une offre large est dissuasive pour les GMS car elle réduit le rendement de leurs rayons.
A l'inverse c'est cette offre large qui fait la richesse de nos rayons et notre attractivité.
Nous devons donc défendre cette obligation de présenter une offre la plus large possible.
Cependant cela nécessite une régulation qui n'existe pas aujourd'hui.
Actuellement chaque éditeur produit selon ses désirs sans tenir compte de l'outil de distribution (messageries et rayons).
Par moment c'est même pire que cela puisqu'ils produisent en surcapacité de vente pour nuire à l'exposition de leurs concurrents.
La récession des ventes est venu tempérer ces ardeurs.
Mais l'imagination des éditeurs est sans limite et la profusion des parutions est croissante même s'il ne s'agit que de déclinaisons des mêmes titres sous des formes diverses (formats, couplages, plus produits, etc.)
Les moyens n'étant pas extensibles il faudra bien limiter cette expansion.

Si tu veux la paix, prépare la guerre.
Durand

Descartes il est impossible et hors de question de faire interdire la vente de la presse dans les GS, les tabacpmu et les fnacbis. Mais l'amélioration des commissions devrait être réservée au marchand de presse spécialisés qui défendent la diversification de la presse et la démocratie.
Les taux réduits pour les gs et..
Des taux majorés pour les marchands spécialisés qui ont un % significatifs de leur vente en presse et une diversification et un linéaire suffisant
Cela devrait nous permettre d'avoir une marge de 25%
Cela devrait permettre que les retours d'invendus supérieurs à un % raisonnables soient facturés à l'éditeur
Si l'état arrête ses subventions aux éditeurs pour le portage et les abonnements et je redeviendrai optimiste pour la presse

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Hors-ligne
durand
"Cela devrait permettre que les retours d'invendus supérieurs à un % raisonnables soient facturés à l'éditeur"
tu confirmes que tu paies les invendus !!!!!!!!et tu as raison
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts

29 appréciations
Hors-ligne
la définition d'un" marchand spécialiste" sur des critères matériels est difficile à donner
par contre la définition d'un "marchand spécialiste indépendant" peut permettre d'inclure l'obligation d'etre cotisant au RSI pour bénéficier de cette appellation et ainsi recentrer l'effort sur les marchands,cela a été fait par le passé pour l'aide ponctuelle de 1500e

946 appréciations
Hors-ligne
Je ne crois pas que ce soit une bonne idée car certains marchands sont en SARL et gérants minoritaires (parce qu'ils ont été aidés par des prêts familiaux, ou qu'ils ont souhaité garder leur statut salarié du fait de leur carrière antérieure, etc.).
Il n'y a aucune bonne raison de les priver de ce soutien.
Idem pour les PDG de SA.

Le statut juridique d'une entreprise n'est pas un critère qualifiant pour notre métier.
La gamme présentée et la part de marché détenue me paraissent plus révélateurs du professionnalisme.
Peut-être même devrait on corréler les deux.
Plus le CA est important plus le nombre de titres exposés doit l'être.
Inversement, moins le CA est important moins le nombre de titres obligatoires doit être grand, quoique la décision d'en rajouter revienne au marchand (de même que le choix des titres formant l'offre obligatoire). 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

29 appréciations
Hors-ligne
qui dit statut "indépendant" dit réseau indépendant de toute pression  nationale provenant de distributeurs ou d'industriels quant au SARL il est obligatoire d'etre majoritaire pour avoir l'agrément presse et cette majorité entraine le statut d'indépendant
Durand

Jackthe best ne déforme pas ma pensée Les messageries facturent le retour des invendus aux éditeurs. Je souhaite que les mardchands aient le droit de facturer les retours qu'ils préparent et dont ils ont supportés l'encombrement lorsque ce % d'invendus dépassent un seuil raisonnable à définir.
Concernant l'avance de trésorerie faites aux éditeurs par les diffuseurs c'est une arlésienne que j'entends depuis 30ans. J'ai toujours constaté le contraire dans ma comptabilité .... Mais il n'y a rien a faire contre une rumeur.

Dernière modification le mardi 03 Novembre 2015 à 17:40:37

71 appréciations
Hors-ligne
durand
j'ai compris .
tu veux leur faire payer le fait qu'ils ne respectent pas l'assortiment et le "je ne sais plus".

bonne continuation.
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts

946 appréciations
Hors-ligne
Il n'est nullement obligatoire d'être gérant majoritaire pour avoir l'agrément.
Cet agrément est nominatif mais n'implique pas cela, contrairement aux tabacs.
Il existe donc de nombreux gérants minoritaires marchands de presse.
Par ailleurs comme je le disais il y a aussi le cas des PDG de SA.

Il ne faut pas confondre l'indépendance au niveau du statut et l'indépendance réelle.
Regardez les cautionnements personnels exigés par les banques aux gérants de Sarl qui ne sont théoriquement responsables qu'à  hauteur de leurs apports.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

29 appréciations
Hors-ligne
si le statut"travailleur indépendant" devient un critère il appartient à chacun de choisir ou non de l'adopter 

946 appréciations
Hors-ligne
Je ne crois pas souhaitable d'imposer un statut limitatif pour exercer la profession.
Je n'en vois pas l'intérêt.
Encore une fois, il n'y a aucun lien entre le fait de cotiser au RSI et celui d'être réellement indépendant de toute pression. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

193 appréciations
Hors-ligne
Mon emploi du temps actuel ne me laisse pas le temps d'intervenir sur le blog et répondre des certains accusations fantaisistes.
Amha, des propositions exposées diviseraient la profession plutôt que de fédérer ses acteurs.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

51 appréciations
Hors-ligne
Durand,
Soyez précis et concret si vous voulez bien aller au bout de vos propos.
Dans votre dernier bilan, votre dette au dépositaire (une ligne doit figurer à part) était elle supérieure à votre consigne (stock) presse ramené en prix d'achat, ou pas ?

71 appréciations
Hors-ligne
on s'en fout puisque cela ne va plus exister .

Dernière modification le mercredi 04 Novembre 2015 à 11:52:05
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts

Je ne sais pas ce que tu appelles la consigne (stock) presse. Ce que je peux dire c'est qu'après le bilan, mon comptable me dit que je derai retourner plus de livres car les éditeurs me doivent trop d'argent. alors qu'il est étonné que les messageries me doivent de l'argent.
Je lui répond que j'ai moins de mal à gérer mon stock presse que mon stock librairie. J'ai d'ailleurs suppimé mes trois offices et je ne travaille plus qu'avec un grossiste pour résoudre mon problème livres du à des ventes insuffisantes.
Les " dernières fois que j'ai revendu mon affaires une fois le stock retourné les mlp m'ont fait un petit chèque mais à chaque fois j'ai fait un gros chèque au NMPP. Ce qui confirme les dires de mon comptable

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Hors-ligne
J'adore ce refus d'admettre la réalité.
Pour construire qqchose, pas besoin d'en dire plus.

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Hors-ligne
mort de rire

Dernière modification le mercredi 04 Novembre 2015 à 14:52:29
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
Durand

Apparemment après recherche 123456 pense comme moi La majorité des diffuseurs ne font pas d'avance de trésorerie au bénéfice des messagerie. Mais au contraire les diffuseurs beneficiait d'une avance de trésoreri à leur avantage. Je suppose que comme moi il pense que le paiement au fil de l'eau va nous faire perdre cette avantage.
Ci-dessous un florilège d'affirmation de 123456 que je partage:
<57 %...
Tout produit (presse ou pas) vendu ou encaissé avant son paiement, génère de la
trésorerie.
Conclusion : Plus la durée de mise en vente est longue, plus le taux d'invendu
augmente, mais aussi, les taux d'invendus maximum sont inférieurs à 45 %. Ca
comprend à la fois des titres à 100 % d'invendus, mais confondus à d'autres à 0
ou très faible % d'invendus qui rapportent...
Sachant que "parution Normale" recouvre certainement la quasi
totalité des livraisons de presse, qu'on m'explique où est l'avance globale de
trésorerie.>><physiquement présent à un moment précis) au prix d'achat avec l'ensemble du
comptant et du différé (ce qui est à payer au même moment précis) sur le relevé
le plus proche de cet inventaire. Pas compliqué, et surtout plus fiable que de trouver des liensentre paramètres, vitesses d'écoulement
............................................................. Dans les dépôts (mutations) et dans VOS propres bilans, ladémonstration ne va que dans un sens.Mais il est vrai qu'il est difficile de reconnaître s'êtretrompé.>><comptables, sur plusieurs situations différentes. Et en dépit de ce que les dépôts constataient tous, jamais undiffuseur n'a regagné de tréso après avoir mis les compteurs à 0. Et pourtant
non, je n'en avançais pas. Les chiffres concrets le montrent : il n'y a pas d'avance detréso, comment faut il vous le dire ? Refuser de voir le réel empêche toute crédibilité, c'estdommage.>>
Durand

Réecriture d'unmessage ecrit sur portable et mal rédigé
Je ne sais pas ce que tu appelles la consigne (stock) presse. Ce que je peux dire c'est qu'après le bilan, mon comptable me dit que je devrai retourner plus de livres car les éditeurs me doivent trop d'argent. alors qu'il est étonné que les messageries me doivent de l'argent.
Je lui répond que j'ai moins de mal à gérer mon stock presse que mon stock librairie. J'ai d'ailleurs suppimé mes trois offices et je ne travaille plus qu'avec un grossiste pour résoudre mon problème livres du à des ventes insuffisantes.
Les " dernières fois que j'ai revendu mon affaires une fois le stock retourné les mlp m'ont fait un petit chèque mais à chaque fois j'ai RECU un gros chèque des NMPP. Ce qui infirme les dires de mon comptable

Dernière modification le mercredi 04 Novembre 2015 à 22:49:45



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