www.marchandsdepresse.com

AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

éditeur - nouvel inscrit

1 appréciations
Hors-ligne
Bonjour,
Je travaille pour un éditeur de plusieurs magazines dits de niche. Régulièrement je visitais ce forum pour comprendre un peu mieux vos problématiques. J'ai décidé de passer le pas et de m'inscrire pour dialoguer avec vous, si vous le voulez bien. J
e tairais le nom de la société où je travaille, car je ne sais pas si ma démarche serait ou non approuvée, mais en discutant avec vous, j'espère faire avancer la compréhension de part et d'autre et ainsi le répercuter sur la qualité de mes implantations et donc de vos ventes.
Dans tous les cas, mon approche est bienveillante, dès que je le peux, je vous appelle dans le cadre de mon métier, et l'accueil est quasiment toujours châleureux, merci. Maintenant je pense foncièrement que les dépôts sont le + gros point noir, ainsi que l'assortiment/plafonnement et j'aimerai beaucoup en parler avec vous sur ce forum.
Bonne journée,

176 appréciations
Hors-ligne
Bienvenu, je salue votre démarche et espère qu'elle suscitera de nombreux adeptes parmi les éditeurs. Seuls les échanges peuvent etre constructifs à la compréhension de nos difficultés reciproques.

35 appréciations
Hors-ligne

Ne me parlez pas de mon dépôt!!!! et encore moins de mon commercial!


59 appréciations
Hors-ligne
Les dépôts n'existent plus, maintenant ce sont les plateformes avec la qualité de service que noius connaissons depuis juin.

Restructuration ou destruction ?....

946 appréciations
Hors-ligne
Excellente démarche dont nous vous remercions.
Nous avons toujours pensé que le rapprochement éditeurs/marchands de presse était souhaitable pour les deux parties.
Nous échangeons déjà avec le SAEP sur différents sujets et sommes tout à fait ouverts à répondre à vos questions pour réduire l'incompréhension et favoriser la circulation de l'information.
Nos représentants sont tout disposés à vous recevoir pour discuter.
Il vous suffit de les contacter par le biais de notre adresse mail presse2012@sfr.fr en laissant vos coordonnées.
Bravo de faire ce premier pas.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

1 appréciations
Hors-ligne
Merci pour vos nobreuses réponses, j'aurai dû hésiter moins longtemps à m'inscrire !
Je prends bonne note de votre invitation cher Descartes, j'y viendrai certainement, pour l'heure j'en suis encore à découvrir le fonctionnement complexe de la distribution de la presse. Cogito ergo sum ! La réforme du niveau 2, indispensable d'après tout ce que j'ai compris, s'avère bien dur pour nous aussi. Je ne parle pas des éditeurs en général, mais bien de mon cas particulier avec des titres de niche. Mes magazines se perdent, vous sont livrés en retard, et donc sont mis en kiosque en retard, et donc des ventes en moins. D'ailleurs, j'ai une question : je viens de vivre récemment le cas d'une plateforme qui n'a pas livré mon magazine, je n'ai eu aucune remontée, ni des dépots ni des points de vente, je m'en suis aperçue moi-même en faisant l'implantation suivante. Cela m'amène à 2 questions pratiques :
- Avez-vous, vous points de vente, la possibilité de savoir quel magazine va vous être livré et à quelle date, ou bien c'est la surprise ?
-Au quotidien, quand vous avez des lecteurs qui vous réclament tel magazine que vous n'avez pas ou plus en linéaire, vous faîtes la demande au dépot ou à la messagerie ? Parfois certains d'entre vous m'appelle en désespoir de cause, ne voyant pas leur magazine arriver, j'y palie aussitôt mais en attendant le client a été mécontent, ce n'est pas agréable pour vous, et cela incite certains à aller voir ailleurs, donc moins de CA pour vous et des stats pour mes implantations encore plus compliquées.

35 appréciations
Hors-ligne

Surprise!!!!!!

176 appréciations
Hors-ligne
Dans mon cas personnel, n'ayant pas du tout de caisse informatisée je n'ai aucune visibilité sur les futures parutions.
Pour les réassorts, sur Paris je m'adresse aux messageries (MLP et mon dépôt est SPPS filiale de Presstalis) depuis la "grande restructuration", SPPS est "noyé" dans la plateforme Presstalis et depuis c'est le grand bo...el, les réassorts (entre autre) ne sont "pas ?" traités, au point que je vais de plus en plus faire appel directement aux éditeurs (pour exemple, ce lundi matin j'ai demandé un réassort de T. Loisirs, je l'attends toujours et suis en rupture depuis hier soir).
MLP : le réassort fonctionne bien par téléphone ou site OMEGA

Derni?re modification le 08-11-2013 ? 16:05:37

29 appréciations
Hors-ligne
Bonjour

Pour votre 1er question, nous ne savons jamais a l'avance ce que nous allons recevoir, ni les quantités, c'est noel tout les matins!!!
Ensuite, pour ma part je ne réclame plus rien a mon dépot qui est une SAD, si j'ai besoin de rien je fais appel a eux.
Et merci de nous considérer

1 appréciations
Hors-ligne
Merci GriGri, je comprends mieux. Et je comprends mieux aussi votre ras le bol. De mon côté je râlais car je ne comprenais pas pourquoi aucun pdv ne s'était inquiété de ne pas nous recevoir. Si je ne faisais pas moi-même avec mes petits doigts sur mon petit clavier mes mises en place, je n'aurai jamais été alertée et mon titre n'aurait pas été mis en vente.
Troisième point qui me titille : l'assortiment. Comment cela se passe de votre côté ?
De mon côté, étant sur un marché de niche, je cherche toujouss de nouveaux points de vente, donc au fur et à mesure je teste des nouveaux soit par régions, soit selon le ml développé, etc. Je suis toujours étonnée de voir que des pdv qui m'ont vendu, me sortent de l'assortiment alors que le test a été probant. D'autant que petit éditeur oblige, je ne teste pas avec 20 magazines, mais avec 3 au mieux.
Quelle est votre réflexion ? Quele est votre marge de manoeuvre ? Et j'oubliais j'ai aussi des pdv qui s'étonnent de ne plus me recevoir et après recherche, c'est parce qu'ils sont assortiment. Dans ce cas, ils regrettent de ne plus me recevoir, et c'est la galère pour revenir à la possibilité de les servir.

176 appréciations
Hors-ligne
Chrysmee
Je me permets d'être "indiscret", mais la question qui me taraude depuis des années est :
Qui règle les quantités servis à mon point de vente ?
Quand je demande un réglage aux éditeurs ceux-ci me répondent de voir avec les messageries, et vice et versa quand je demande aux messageries/dépôts... Ce qui fait bien entendu qu'aucuns réglages (tout du moins à la baisse) ne sont faits (à la hausse pas de problèmes en général;

Pour l'implantation de titre, perso j'en ai tellement "marre" que je fais (hélas) rarement de mise en service sauf pour un client qui souhaite "un abonnement en boutique" car parfois long pour avoir la mise en service et de plus je commence par recevoir 1 ex et cela finit rapidement par 3/4 ex...systématiquement.

Pour répondre à la question de l'assortiment, j'avais fais la demande à mon dépôt SPPS du temps de Chevilly/Bobigny et tout a été fait DANS MON DOS sans aucune concertation/consultation ! et manque de chance entre temps mon "animateur réseau" est parti en retraite avec la "grande restructuration" ce qui fait que je n'ai pas pu avoir de précisions et étant pas informatisé je n'ai pas pu comparer avec l'historique des mes implantations antérieures.

1 appréciations
Hors-ligne
Je vous/te réponds avec plaisir ! Une fois de +, ce n'est que ma méthode de travail, je ne sais pas comment font les autres groupes.
Mes titres sont chez MLP, je travaille donc sur Iris. Pour implanter un magazine, je pars généralement de la dernière implantation (sauf s'il y a une saisonnalité forte : congés, ponts, etc.) et ensuite je vais directement sur un écran dit de contrôle qui met en avant les anomalies majeures : quantité fournieDe mon côté, je vois quand le pdv demande telle ou telle quantité, mais ce n'est pas bloquant et comme je fonctionne souvent par groupes (par ex, max ventes depuis 1 mois =2 ex, je mets alors 3 exemplaires à tout le monde), cela annule votre souhait. En revanche, si vous m'appelez, alors je peux le saisir à un endroit qui ne sera pas modifié, même si je fonctionne par groupe.
J'espère que ma réponse est claire, car ce n'est simple à expliquer clairement. Je rêve de passer uen journée chez un pdv, et que l'inverse se fasse aussi pour que chacun y voit + clair, je crois que ça nous aiderait tous. J'ai la chance d'être salariée, donc je vous laisse et je reprendrai la conversation mardi avec grand plaisir !

176 appréciations
Hors-ligne
Merci et bon W End

59 appréciations
Hors-ligne
Pour un stage point de vente voir avec Hypso il a de bonne relation avec le Cefodip.

10 appréciations
Hors-ligne
en ce qui concerne les mises en vente nous avons pour les titres mlp les sorties du lendemain ce qui donne une indication sur les volumes à attendre sinon pour palier aux "oublis " des depots et autres plateformes le site direct reseau nous donne la liste totale des mises en vente du jour à nous de surveiller et ce n'est pas simple avec les décalages (2 jours avant 2 jours après) qui sont fréquents
je pense depuis longtemps que les éditeurs dits petits auraient intéret à se faire un panel de quelques diffuseurs pour les aider à faire leur mise en place, trop souvent j'appelle un éditeur pour un réassort ou des fournis abusifs et il tombe des nues : les chiffres par point de vente sont souvent inexacts
sophie

1 appréciations
Hors-ligne
Trop impatiente de lire vos réponses, je me connecte de la maison. Comment ça les chiffres ne sont pas exacts ? On a des remontées de vente fausses ?
Je suis assez d'accord que pour le fonctionnement actuel pénalise les petits éditeurs et aussi les diffuseurs. Etablir un lien direct serait formidable, mais me parait quasi impossible, vous êtes trop nombreux (et c'est tant mieux !!!). Je cherche donc un moyen de mieux faire, d'où cette inscription et ce début qui me plaît beaucoup. Je comprends mieux, mais je ne vois pas encore comment contourner les problèmes existants.Au fait, merci pour ta réponse Pingu, je vais voir avec mes RH si je peux faire un truc officiel ou sinon voir mon vendeur habituel de presse et lui demander de passer du temps avec lui.
Je vais continuer à réfléchir, j'aimerai trouver un moyen de communiquer + simplement : à l'heure actuelle je passe 1/2jourée au mieux, voire 2 jours à faire une implan, et ensuite théoriquement il faudrait que je revienne dessus pour lire les commentaires des dépôts, et donc remodifier, etc. C'est trop long, moi j'aimerai que ceux chez qui j'en mets trop ou pas assez, me le disent, qu'on fasse 1 point semestriel ou annuel et si besoin, qu'on modifie. Dans un 1er temps, j'envisage une campagne auprès des dépôts, vous en pensez quoi ? Feront-ils descendre et remonter l'info ? J'ai bien pensé à communiquer auprès de vous, mais combien me répondront et comment gérer ensuite le cas par cas de 25 000 points de vente ?

176 appréciations
Hors-ligne
Exact Sophie, mais je pense que chrysmee demandait si nous pouvions avoir une info quelques jours auparavant afin de nous permettre de réagir aux "oublis", demande de service ou ajustement quantité...

Je pense qu'en effet l'idée est bonne d'avoir un "planning de sortie" sur la semaine à venir des titres (hors IPG) afin de pouvoir ajuster le "tir" mais ceci n'est valable que dans le cas ou nous avons la main sur notre stock...
La grosse difficulté restant la quantité de titres !

Derni?re modification le 08-11-2013 ? 18:41:32

1 appréciations
Hors-ligne
Trop impatiente de lire vos réponses, je me connecte de la maison. Comment ça les chiffres ne sont pas exacts ? On a des remontées de vente fausses ?
Je suis assez d'accord que pour le fonctionnement actuel pénalise les petits éditeurs et aussi les diffuseurs. Etablir un lien direct serait formidable, mais me parait quasi impossible, vous êtes trop nombreux (et c'est tant mieux !!!). Je cherche donc un moyen de mieux faire, d'où cette inscription et ce début qui me plaît beaucoup. Je comprends mieux, mais je ne vois pas encore comment contourner les problèmes existants.Au fait, merci pour ta réponse Pingu, je vais voir avec mes RH si je peux faire un truc officiel ou sinon voir mon vendeur habituel de presse et lui demander de passer du temps avec lui.
Je vais continuer à réfléchir, j'aimerai trouver un moyen de communiquer + simplement : à l'heure actuelle je passe 1/2jourée au mieux, voire 2 jours à faire une implan, et ensuite théoriquement il faudrait que je revienne dessus pour lire les commentaires des dépôts, et donc remodifier, etc. C'est trop long, moi j'aimerai que ceux chez qui j'en mets trop ou pas assez, me le disent, qu'on fasse 1 point semestriel ou annuel et si besoin, qu'on modifie. Dans un 1er temps, j'envisage une campagne auprès des dépôts, vous en pensez quoi ? Feront-ils descendre et remonter l'info ? J'ai bien pensé à communiquer auprès de vous, mais combien me répondront et comment gérer ensuite le cas par cas de 25 000 points de vente ?

946 appréciations
Hors-ligne
Pour dégrossir rapidement les choses, je pense qu'un premier entretien serait la meilleure solution.
Vous pourriez y poser vos questions et avoir des réponses immédiates.

De mon côté j'ai aussi une première question à vous poser sur les quantités.
Comment, quand, par qui et sur quels critères est définie la quantité globale à produire ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

1 appréciations
Hors-ligne
Pour répondre sur la détermination des quantités, c'est dans mon cas relativement simple : l'objectif à atteindre étant les 40% de taux de vente, cela me donne une quantité globale à la louche selon les moyennes de vente, affinée ensuite selon la thématique. Certes, pour certains titres vraiment confidentiels, on est sur un tirage kiosque + aux environs de 35% de taux de vente afin de pouvoir être malgré tout présent chez au moins 7 à 8000 d'entre vous.
Quant à la question sur le niveau de décision, petit éditeur donc je suis la seule personne à gérer la diffusion : implantation, analyse, le tirage est déterminé selon les infos ci-dessus + analyse financière avec le service concerné.
Conseil retenu pour l'AADP. Merci !

946 appréciations
Hors-ligne
Si je comprends bien,
Vous partez donc des moyennes de ventes nationales : base 100
Vous appliquez un coefficient de majoration pour que celles-ci représentent 40% : 100/40% = 250
Puis vous affinez suivant la thématique.

Ne pensez vous pas qu'une analyse moins "globale" permettrait de limiter les invendus et notre travail ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

1 appréciations
Hors-ligne
Assurément, mais là on fonctionne en global. Ca donne le tirage général.
Maintenant dans mon cas, en moyenne un pdv vendeur vend 1 à 1.5 ex selon le titre, donc je vais avoir tendance à en mettre 2 ou 3 ex selon la saisonnalité, la thématique, etc. Vous voyez que dans ce cas on est très en-dessous du ratio général. En revanche ce delta de papier que j'aurai donc forcément, me sert à tester de nouveaux pdv. Parce que même sur des titres de niche, les clients ne vont pas toujours chez le même pdv, j'ai donc aussi beaucoup de pdv occasionnels qui peuvent vendre qu'une fois sur 4-5 voire même 6, je dois donc essayer d'être un peu partout. Et je trouve même que cela est de pire en pire, sans doute à cause d'une population qui bouge +, des plafonnements qui sont très dommageables pour nous. Quand vous vendez en moyenne 1 ex, et qu'on vous plafonne à 2 ou 3ex, la marge de manoeuvre est faible quand le sujet est hyper porteur. Le lecteur va donc voir ailleurs. Et puis il y a aussi les GMS, le public n'y est pas fidèle, ils font leurs courses ce jour là exceptionnellement et prennent le magazine à cet endroit.
Mais d'ailleurs, vous de votre côté, vous avez beaucoup d'éditeurs qui vous en mettent 10 ex pour n'en vendre en moyenne que 4, j'imagine que non, sauf des super gros.

946 appréciations
Hors-ligne
Notre problème est bien sûr lié aux quantités mais il faut s'entendre sur la définition de ce mot.
Par le passé, relativement récent, il s'agissait bien d'un nombre d'exemplaires pour une parution.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas.
Beaucoup d'éditeurs parmi les plus importants mais pas seulement, ont contourné la limitation du nombre d'exemplaires (qu'ils voyaient venir) par une démultiplication du nombre de parutions (numéros S et H, formats multiples, plus-produits variés, faux hors séries, offres couplées, et tous croisements possibles).
Le résultat est le même : rayons illisibles car surchargés, travail et invendus excessifs.
Nous ne disposons que d'un métrage linéaire fixe alors que nous devons accepter tout ce qui nous est livré sans discernement et qui est bien supérieur à nos capacités d'exposition et de vente.
Nous pourrions augmenter le linéaire que cela ne changerait rien au problème.
Nous serions seulement livrés encore plus.
Chaque éditeur voit son intérêt et ne se soucie pas de la gêne qu'il occasionne au système car il n'est pas taxé à la valeur des coûts inutiles qu'il induit.
Alors oui, 4 exemplaires au lieu de 2 (pour 1 vente moyenne), multiplié par 1500 ou 2500 titres qu'il faut majorer d'au moins 50% du fait des numéros spéciaux, des hors séries, des parutions livrées en avance sans rappel du numéro précédent etc, ça fait beaucoup. Trop pour nos rayons en tout cas.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

946 appréciations
Hors-ligne
J'oubliais de préciser qu'il existe en plus des éditeurs parasites (Robert Laffont, Trukolawski par exemple) qui profitent du système et nous inondent perpétuellement de n°1 de qualité très médiocre, au prix très élevé, dont les ventes sont quasiment nulles.
Contre ceux-là rien n'est fait dans la profession comme si cela arrangeait tout le monde.
Tout le monde sauf les diffuseurs s'entend.
Les messageries s'y retrouvent.
Les gros éditeurs aussi, probablement du fait des barèmes des messageries.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

946 appréciations
Hors-ligne
Un exemple traduit bien le problème. Un gros éditeur à qui je tentais d'expliquer notre point de vue l'autre jour concernant ces excès et leurs conséquences m'a répondu :
"Un numéro S c'est 8% de vente en plus. On ne vas certainement pas arrêter d'en faire un sur deux."

Analysons cette réponse.
8% de vente en plus pour l'éditeur qui ne paye pas plus.
100% d'occupation en plus pour le diffuseurs qui ne gagne que 8% de plus.

Voilà l'origine de nos problèmes.
L'éditeur travaille pour lui sans se soucier le moins du monde des problèmes qu'il crée.
Le diffuseur n'a aucun pouvoir de décision.
Le système ne régule pas.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

193 appréciations
Hors-ligne
Emmanuel,

La mise en reserve permet d'augmenter nos ventes par une meilleure lisibilité de notre lineaire, Cette pratique est indolore pour les editeurs, c'est une charge supplementaire pour le diffuseur et peut generer des oubliés.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

1 appréciations
Hors-ligne
Aujourd'hui j'ai lu le baromètre des ventes parus par les MLP, les chiffres de vente baissent de manière importante, je ne vous apprends rien, j'avoue que cela m'a mis un coup au moral avec l'impression de me battre contre des moulins à vent. Je suis certain que la presse est un média qui a encore de l'avenir, mais c'est difficile de savoir quelle ficelle tirer pour relever les ventes. Je lis avec attention vos remarques et je trouve que nos problèmes sont semblables : on vous livre des mag que vous ne voulez pas forcément ou alors pas dans ces quantités, j'ai de mon côté le sentiment d'affiner au mieux ma mise en place, retravaillée par les dépôts, pour la majorité avec sérieux honnêtement. Où le bas blesse t'il ? Trop de titres en kiosque pour des linéaires non extensibles ? Alors l'assortiment serait la solution, mais de mon côté de la lorgnette, il me prive de points de vente qui vendent peu mais qui vendent tout de même. 1ex par 100 pdv, c'est 100ex ! Quantité infime pour certains, importante à mon échelle. Idem pour le plafonnement qui ne laisse que peu de marge de développement.

946 appréciations
Hors-ligne
La solution passe par la relation, la communication et la transparence.
Le client doit être au centre du métier et non plus considéré comme un consommateur qui doit nécessairement prendre ce qu'on lui propose.
Les acteurs de la chaîne doivent être considérés comme apportant de la valeur ajoutée à la commercialisation et non plus comme des investissements à minimiser.
Il faut les associer aux ventes et les y intéresser financièrement autrement qu'avec un pourcentage dérisoire qui ne leur permet pas de vivre et de développe leur affaire.

Je vous suggère de vous investir dans un travail long et fastidieux mais nécessaire et oh combien rémunérateur en terme de ventes : la connaissance de votre réseau et de ses acteurs. Du reste, vous avez déjà fait le premier pas et c'est très bien. Maintenant il vous faut avancer et cesser de penser, comme on vous y invite traditionnellement ou par économie d'énergie, que vous pouvez traiter vos revendeurs globalement et mécaniquement.
Allez-y par étape. Apprenez à connaître les bons et les moins bons. Nous ne sommes pas tous égaux. Sympathisez avec eux, ils vous le rendront par la multiplication de vos ventes via une meilleure exposition.
Soyez à leur écoute pour le réassort. Et vous gagnerez, petit à petit, mais de manière certaine et pérenne, des parts de marché.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

176 appréciations
Hors-ligne
Exact Descartes, en quelques mots "développez votre commercialitude (attitude commerciale)"

1 appréciations
Hors-ligne
Ce matin, j'ai eu l'un d'entre vous, qui ne voulait plus de mon titre (assortiment), pourtant vendeur chez lui et servi sans abus (1 ex vendu à tous les coups, voire 2 par fois, service à hauteur de 2ex), vive l'assortiment ! J'ai aussi eu un lecteur qui ne me trouvait chez un pdv, il a demandé au vendeur s'il avait notre titre, il a répondu que non et pourtant il l'avait en stock. Tous les éditeurs ne sont pas parfaits, tous les points de vente non plus, mais je garde espoir que la majorité volontaire arrive à faire progresser les choses.
Je remercie chacun d'entre vous pour les lumières que vous m'avez apportées sur votre métier, j'espère avoir fait de même. Et comme il faut bien prendre le schmilblick par un bout, j'y vais de ce pas !

946 appréciations
Hors-ligne
Les diffuseurs sont loin d'être parfaits. Nous en convenons.
Mais pour les comprendre il faut se mettre à leur place.
D'énormes problèmes récurrents de stocks et d'approvisionnements.
Une absence totale et volontaire de communication.
Des décisions à sens unique prises à leur insu concernant leur quotidien.
Une rémunération insuffisante pour pérenniser leur entreprise malgré une quantité de labeur qu'aucun employé n'accepterait.
Le tout depuis des années.
Cela démotive.

C'est en faisant progresser la condition des diffuseurs que les éditeurs pourront faire progresser les ventes par le réseau.
Travailler dans son coin à la compréhension du système est une excellente démarche que nous félicitons.
Mais la compréhension de l'inefficacité du système ne suffit pas. Il faut la volonté de le faire bouger.
Nous y travaillons et serions heureux de pouvoir le faire avec votre aide.
C'est pour cela que nous vous avons proposé de nous rencontrer.
Aussi longtemps que l'on traitera le sujet avec distance nous n'avancerons pas.


Si tu veux la paix, prépare la guerre.


Vous ne disposez pas des permissions nécessaires pour répondre à un sujet de la catégorie Présentation.

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9933 autres membres