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Nous avons été contactés il y a peu pour intégrer les concepts Maison de la Presse.
Ce sujet à pour but d'avoir votre avis sur ce concept.
Merci par avance pour vos réponses.

Emplacement N°1
Surface mini 100m2
Adhésion annuelle mini environ 1500?
Par contre en retour selon le programme affichage pub intérieur magasin arrété : rétrocession de commissions semestrielles qui couvrent maxi environ 75% du cout d'adhésion
3 à 4 opérations commerciales dans l'année (SEDDIF ou éditeur non rénumérées)
Catalogue de fournisseurs "réseau" divers (aucune obligation de passer par eux)
Obligation de prendre la charte graphique du concept (différent entre mag presse et maison de la presse)
==> refaire le magasin, enseigne et mobilier selon les deux fournisseurs "patentés" et aide à l'implantation merchandising après avec dépositaire
Site de cde tout nouveau Shop store : pas mal pour dépannage en tout (papeterie, divers, jouets etc...)
Sinon à part cela pas grand chose de plus à attendre (tout du moins en mag presse, peut etre plus en maison de la presse ==> avis d'autres confrères-concept ?) et aussi peut etre selon l'animateur commercial du secteur, moi sur Paris rien pu obtenir par son intermédiaire lorsque j'avais solliciter son "aide" il y a trois ans auprès de SPPS pour de gros problèmes tresoreries...
Avantage aussi de faire partie d'un chaine connue et reconnue sut toute la France qui est la garantie pour le client de trouver partout le même accueil sympathique et souriant (même si nous sommes dans la m...e), le choix large de titre et la quantité suffisante (parfois trop ou pas du tout), la qualité d'écoute et de conseil, etc...car cela n'est pas donné à tout le monde (entrer dans le réseau SEDDIF c'est faire partie de la crème des diffuseurs ;+))
Ah j'oubliais, TRES TRES GROSSE SOLIDARITE entre nous, demain 1800 adhérents (des 2 réseaux) près à bloquer la France si il le faut pour se soutenir =====> I have a dream !
Bonne réflexion




Derni?re modification le 09-11-2013 ? 09:02:18

Comme tous les concepts, il faut y réfléchir avant de faire le pas.

Il faut voir si cela vaut la peine. dernièrement pas mal de magasinS hors concepts mais avec le nom "Maison de la Presse" ont préféré décrocher le panneau pour mettre "Librairie-Presse".
Chaque cas est un cas particulier, il faut voir ou l'on se trouve. cela est très différent si l'on est en région ou en périphérie de grandes agglomérations.

En a t-on vraiment besoin; ce qu'il apporte, peux t-on s'en passer.
Certes la notoriété de l'enseigne renforce le magasin si l'on est gros vendeur de presse dans sa ville. Pour cela il faut être le n°1 en Presse.
Faire au contraire beaucoup de librairie-papeterie et prendre aujourd'hui l'enseigne MDP. est-ce un bon choix ? Personnellement j'estime que le nom "Maison de la Presse" est très réducteur voir..... ringard.

C'est surtout une belle affaire pour l'opérateur qui vous vend du mobilier fort cher .

Le concept ne s'est pas renouvelé, l'enseigne communique peu et sur quoi de la librairie et du cadeau, du hors presse.

Et puis il faut aussi s'interroger sur qui est la Seddif. Presstalis n'a t-il pas vendu des parts de la Seddif à Dif'Press.

C'est surtout une belle affaire pour l'opérateur qui vous vend du mobilier fort cher. Pour l'heure la coquille est vide.

Comme l'indique Gri-Gri cela crée aussi une force... surtout à l'heure ou bonnets rouges et bonnets verts sont à mode ... BIENTOT nous pourrions aussi voir des bonnets à plumes jaunes.

Derni?re modification le 09-11-2013 ? 09:34:24

Bonjour GAMMA
J'ai crains un instant que tu parles de "bonnet d'ânes" !

Etant Maison de la presse, je te conseille de contacter des membres du comité d'adhérents, je connais celui qui est à Etain dans le 55: M. Bertolini. Une chose est sûre, il y a du mouvement (du positif pour l'avenir) dans l'air sur cette marque. un élément juste comme ça, le réseau Seddif pèse 14% de la vente presse en france, avec seulement environ 5.5% des points de ventes...

Est ce valable ou pas, il n'y a pas de réponse uniforme pour tous.
C'est 100 % valable pour l'image qu'on veut donner à son magasin de spécialiste de la presse. Pour en avoir visité pas mal, certains ne sont pas tout à fait à la hauteur de ce qu'ils devraient être, aussi bien pour la tenue du magasin, l'accueil et les services rendus. Certains magasins "non concepts" sont plus attirants et efficaces, tout n'est pas "dans la déco".
Il ne faut pas oublier que la presse baisse, qu'on ne sait pas où l'on sera dans qq années. S'afficher spécialiste de la presse est du quitte ou double. Si le magasin développe son attractivité, ce sera gagnant. La centrale d'achat suit l'évolution qui va partout vers le hors presse. A voir ce que devient celle des tabacs avec beaucoup plus de points de ventes, la Seddif a intérêt de faire bien mieux.
Que Dif presse prenne des parts dans la Seddif... qui sait de qui il faut le plus se méfier ?
La Seddif a besoin d'augmenter le nombre de ses adhérents. Attention de ne pas mettre la charrue avant les boeufs. La décision doit venir du diffuseur, pas de la persuasion "amicale" de la Seddif.

Il fut un temps lointain (1995/2000) où j'avais envisagé de monter une franchise basée sur 4 produits : librairie papeterie presse et cadeaux/carterie.
Ma réflexion était déjà, à l'époque, que la part des autres produits que la la presse devait être prépondérante dans la marge dégagée, ce que ne permettait pas la franchise Maison de la Presse/Mag Presse/Point Presse.
J'avais rencontré différents dirigeants commerciaux des grands distributeurs de librairie (Hachette, Interforum) qui étaient très enthousiastes et prêts à participer étant d'accord avec mon analyse sur le décalage de l'orientation de la SEDIFF en matière de marketing-mix.
Ceux-ci m'invitèrent toutefois à discuter préalablement avec le dirigeant de la SEDIFF ce que je fis.
Surprise : incompétence, aucune ambition, aucune idée, seul le besion de placer des concepts (mobilier) et des opérations publicitaires l'intéressait car il devait rendre des comptes sur le nombre d'ouvertures dans l'année.
Question ?
Papeterie : acheter chez un grossiste n'est il pas un peu cher pour pouvoir se placer sur le marché ? N'auriez-vous pas intérêt à vous rapprocher d'une centrale type MAJUSCULE ou SPICERS ou PLEIN CIEL (à l'époque) ?
Réponse : ce n'est pas notre coeur d'activité et de toute façon nous sommes trop petits pour intéresser ces gens là.
(A l'époque, moi-même plus petit qu'eux j'étais déjà adhérent d'une de ces centrales).

Voilà ! L'esprit n'était pas là et la compétence et la motivation non plus.
C'était rassurant pour mon projet mais je ne l'ai malgré pas mené au bout.
Parce que la rentabilité de tels commerces est faible et que trouver des gérants qui acceptent d'investir et de s'investir autant n'est pas chose aisée.

Ma conclusion est la suivante : investir dans une franchise n'a d'intérêt que si elle apporte quelque chose ce qui est rarement le cas, surtout pour des initiés. Des débutants manquant de repères, parfois. Les propriétaires de la franchise doivent avoir un intérêt commun avec les franchisés pour que cela fonctionne ce qui n'est pas le cas ici. Oubliez vite ce projet.

En revanche, je reste persuadé que nous avons intérêt à unir nos capacités d'achat au sein d'un groupement associatif à constituer si le coeur vous en dit.

Bonne remarque de 123456.
Toujours se méfier de ceux qui viennent pour votre bien.

NB : La Seddif ne propose pas de contrat de franchise. Son ancien patron Dominique Gautier s'offusquait à chaque fois que le magazine "Franchise Mag" placait la Seddif dans les franchiseurs.
Avec la Seddif, sauf changement, il s'agit de concession d'enseigne, cousin de la franchise, mais sans en être.
Le seul contrat de franchise existant dans la presse est proposé par MLP.

Je confirme 123456, juste une adhésion annuelle, somme toute assez "modeste", et pas de royalties sur le CA et totale indépendance (hors presse of course) dans le choix des fournissseurs

très complexe de mettre sous un même nom "maison de la presse" plusieurs activités la presse, librairie, la papeterie, le carterie, la bimbeloterie, les cartes à gratter, le tabac, etc, etc....

le fait même qu'on ait une totale indépendance veut dire que l'on paye pour l'emballage et non le contenu du magasin, d'où des dérives ou des magasins mal tenus.

Et pourtant mon PDV est Mag'presse depuis plus de 9 ans (avant ma reprise) et les clients disent TOUJOURS je vais ou je suis "chez mon libraire" ! Enfin tant qu'ils ne disent pas le "bazar du coin"...

Oui c'est vrai le client, ne sais toujours pas faire la différence entre nos différentes activités, combien me disent je vais en librairie alors qu'ils sont dans le rayon livres !!

il aussi vrai que chez nos collègues Belges, les diffuseurs sont appelés: Libraires;

Bien sur je ne pense pas que les mag presse sont les bazars, mais certains diffuseurs sous l'?il bienveillant de la Seddif ont complétement dénaturés le point de vente et se servent uniquement de l'enseigne pour sa notoriété. d'où souvent des magasins dits "concepts" mais qui sont en fait devenus très disparates du fait de la diversification et deviennent de fait, des "Conveniences Stores" ou comme on dit au Québec: des Dépanneurs.

Derni?re modification le 09-11-2013 ? 12:09:18

Exact, ce n'est pas une franchise.
Cela aurait de l'intérêt si l'adhésion permettait de rentabiliser les investissements liés.
Amélioration des prix d'achat par exemple.
Là, je ne vois pas.

Eric, le fait de peser 14% avec seulement 5.5% des points de vente ne met en évidence qu'une chose : beaucoup de diffuseurs qui ne font pas partie de ce groupement sont des points de vente pour lesquels l'activité presse n'est pas la plus importante.
Sur la nécessité de distinguer les professionnels du métier des autres, nous sommes d'accord.

Décision n° 06-D-16 du 20 juin 2006
relative à des pratiques mises en oeuvre par les Nouvelles
Messageries de la Presse Parisienne (NMPP) sur le marché de la
distribution de la presse pour la vente au numéro et des marchés
d?activités connexes

Page 17 paragraphe 99

[b]Cette
adhésion, qui s?apparente sous certains aspects à une franchise, s?effectue sur la base du
volontariatb]

[lien]

Descartes,
Meme ceux qui font partie de groupement ne sont pas des points de vente pour lequels l'activité presse est la plus importante. C'est ce qu'il me semble d'après les indications communiquées par Eric dans un autre fil de discussion..

C'était le but

Eric : Quel était le but ?
Neiges : d'accord pas la plus importante mais importante

Seddif, filiale de Presstalis, développe et anime depuis 1990 le premier réseau français de commerçants indépendants, spécialistes de la presse, sous deux enseignes nationales complémentaires : Maison de la Presse (700 magasins) et Mag Presse (1100 magasins).
*

1700 Points de vente qui représente un CA important de presse et qui devrait etre un levier important pour des révendications anciennes et justifiés mais rien, pas de mots d'ordres ou de "greves" SURPRENANT.... ou alors, des conditions bien particulières ..???



En 2014, nous devrions avoir certainement un nouveau président à la tête de notre syndicat serat-il un " seddif ", qu'elle position inconfortable face à la Seddiif filiale de Presstalis (Coopératives regroupant les éditeurs (depuis le 01 juillet 2011): 100 %) .....

Derni?re modification le 09-11-2013 ? 15:22:29

Existe-il une association ou une organisation regroupant des diffuseurs Seddif ?

Selon ses statuts, et étant une filiale de Presstalis, la Seddif est une organisation commerciale qui peut se comprendre, mais qui ne peut être syndicale par nature. La Seddif ne s'est jamais présentée comme telle, ni ouvertement, ni sournoisement. Il n'y a pas tromperie.
J'ai souvent entendu des adhérents Seddif, regretter ne pas pouvoir émettre des revendications d'ordre syndicale. Sans aucun doute, les revendication des magasins concernés auraient eu comme but de ne mieux traiter et mieux rémunérer QUE les adhérents, excluant de fait le reste du réseau. Exclusion que n'a jamais voulu l'undp, car si ça s'était fait, ça n'aurait été qu'au détriment des magasins non concepts.
Certains éditeurs disent en réunion Seddif, vouloir mieux rémunérer les concepts. Tous évidemment ne sont pas d'accord. De plus le risque de créer des discriminations entre magasins -concept ou pas- de taille ou de potentiels identique est trop fort pour le permettre.
Statutairement, tout diffuseur physique (Seddif, Jardiland, PVC et GMS) peut être adhérent undp et donc Président s'il est élu . Rien de plus normal, pas plus de conflit dintérêt que pour un diffuseur classique.

Certainement 123456, qu'il peut être élu, même si son magasin n'est pas représentatif de la profession du moment qu'il vend de la presse et qu'il satisfasse aux "barons de la presse ..." .



Pourquoi les rémunérés mieux parce que certain sont mal tenus et qu'ils sont besoin d'une enseigne pour vendre de la presse ? Les éditeurs connaissent bien mal le réseau et profitent largement de notre passivité....

Si vous êtes Seddif, êtes-vous mieux livrés par Presstalis? NON
Si vous êtes Seddif, êtes-vous rémunérés pour mettre en place de la PLV? NON
Si vous êtes Seddif, recevez-vous des magazines sans abonnements? NON
Si vous êtes Seddif, recevez-vous des produits en double réseau? OUI


il serait souhaitable pour tous de repositionner notre proféssion sur un réseau VISIBLE & LISIBLE...


PLUS 2 presse

Derni?re modification le 09-11-2013 ? 17:14:00

Bonjour,
Le mot d'ordre des éditeurs est "les concepts".
Bref, si votre mag est tradionnel, vos linéaires sont surchargés!
si vous ètes concept, vous ètes SURSURSURSURSURCHARGE!

Nous avons déjà mesuré les effets de la dépendance sans vouloir en rajouter.

Alors je suis en pourparler avec le SEDDIF pour passer Magpresse, sous condition que cela ne me coute pas un bras en meuble, cela tombe bien les couleurs de l'actuel sont très proches du concept...

Cela mis à part le nouveau représentant en Ile de France m'a vanté leur nouvelle centrale d'achat doté d'un acheteur ayant une forte expérience et quand je lui ai demandé ce qu'il en était du SEDDIF comme poids de négociation il m'a dit qu'en lui même il n'en avait pas mais... qu'un certains nombres de membres allaient se réunir sous un statut d'association à priori afin de pouvoir peser avec les pouvoirs publics, tout comme l'AADP a pu le faire et éventuellement faire des actions.

Il m'a également dit, peut être à vérifier, que le nouveau patron à la tête du SEDDIF est totalement indépendant de Presstalis car il bénéficierait d'un mandat lui permettant cette indépendance.

Hormis ces éléments, pour ma part je pense que les concepts et autres franchises vont continuer d'uniformiser le paysage commercial. D'ailleurs si j'arrive à sortir de la profession dans de bonnes conditions un jour je me tournerai vers une franchise à coup sûr.

Est-ce vous qui êtes allé les chercher ou bien eux qui sont venus vous proposer de passer Magpresse ?
L'intérêt est toujours du côté de celui qui fait le premier pas.
Ne pas prendre ceci au sérieux revient à coup sûr à faire trop tard des découvertes désagréables.
Et là, il devient difficile d'en sortir.

SEDDIF = 70% Presstalis + 30% Dif'presse

Descartes, faire une offre de service à SEDDIF pour intégrer notre association et créer une synergie !

Derni?re modification le 14-11-2013 ? 18:32:18

Pour savoir à qui vous nous avons à faire :

[lien]

C'est nous qui les avons contacté Descartes.

En effet le portrait de M. Bourdin ne correspond pas vraiment à ce que m'en a dit leur représentant. Je mets cela sous le coude pour le ressortir lors de notre prochain rdv avec l'agenceur.

Ensuite j'ai bien précisé que ce sont des membres du groupement Seddif, donc des diffuseurs comme nous, qui veulent s'organiser.

Ce qui m'étonne quand même c'est que Dif'presse fait de la distribution de produits hors presse dans le circuit presse... et le Seddif vient de lancer sa centrale d'achat pour faire la même chose en somme... Donc se faire concurrence.

Dif'presse balance sa camelote à tout va
Shop Store c'est le diffuseur qui choisit la camelote qu'il veut recevoir dans un catalogue en ligne :
"...La synergie des compétences NAP / Seddif
Seddif Store est un vrai projet d?entreprise qui a mobilisé tous les collaborateurs de l?entreprise et qui a été mené main dans la main avec NAP Investissement, désormais actionnaire de Seddif, et maison mère de Dif?Presse, société spécialisée dans la commercialisation de produits de diversification sur le réseau presse..."

As tu plus de renseignements sur ce "groupement de diffuseurs-concept" car je ne suis au courant de rien et pourtant mag'presse ?

Dernière modification le 15-11-2013 à 12:37:57

Derni?re modification le 15-11-2013 ? 12:52:43

Non GriGri, pas plus d'information. On en a parlé quelques minutes, suite à ma question. Il m'a dit qu'aujourd'hui, ou bien demain, il n'y aurait plus la séparation qu'il y avait entre mag'presse et maison de la presse, à priori notamment avec les assemblées. Ensuite si je rassemble mes souvenirs, le plus précis dont je me souvienne c'est que des diffuseurs étaient en train de s'organiser afin de peser auprès des pouvoirs publics. Il m'a bien dit auprès d'eux et non pas auprès des éditeurs ou bien des messageries! Et que la forme serait une association ou un autre organisme capable d'être reconnu comme interlocuteur.

Je lui demanderai des précisions la prochaine fois que l'on se voit, à la fin du mois.