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Certains acteurs (les deux messageries, l'AADP, le SAEP, des marchands indépendants, ...) ont rendu leurs contributions publiques. 
D'autres (SEPM, SPQN, Culture Presse) préfèrent ne pas le faire.

Il est intéressant de s'interroger sur les raisons qui conduisent les uns à s'ouvrir et les autres à se cacher.

La volonté d'user d'influence pour défendre des intérêts propres l'emporte, pour les seconds, sur le souhait de trouver des solutions favorables à l'ensemble de la filière.

Ceux-ci n'ont toujours pas compris, et ne comprendront jamais, que l'intérêt commun est le seul moyen de sauver la filière. Ils préfèrent encore tenter de tirer avantage du système que d'en permettre la survie.
Espérons que l' organisateur de la consultation fasse la part des choses et organise le débat plutôt que d'adopter une position de juge arbitre sous couvert d'une procédure respectée.

Peut être que certains favorables au maintien du système qui leur est profitable n'ont aucune crainte à dire ce qu'ils pensent. Ou rien à perdre.
Les autres ancrés dans le métier, savent que la réforme est loin d'être acquise, restent prudents sans se montrer ouvertement anti-système. Je le sens bien comme ça.
L'intérêt commun est une belle idée, mais dans le business et surtout ici dans l'environnement de la presse, on connaît la chanson, ce sont les uns OU les autres...

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cela je l'ai compris depuis longtemps , mais dans ces conditions on ne prétend pas être le syndicat majoritaire qui défend les intérêts de tous les marchands 
c'est une question d'honnêteté intellectuelle 
ce qui vous échappe ,ce que j'ai aussi compris depuis longtemps .

Descartes
Presstalis est disparu des écrans radar sur Twitter .
de même que la boss de l'entreprise !!!!!!!!!!!