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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

De l'intérêt du dépositaire ?

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Pour CP, "De ce point de vue, et quelle que soit la solution retenue par les éditeurs, ils (adhérents de CP) insistent sur la nécessité de s'appuyer sur les dépositaires, indispensable relais de terrain commercial comme de consolidation des flux physiques, informationnels et financiers."

Je ne vois pas pourquoi garder le dépositaire, à part qu'il prend une commission et comme il ne fait pas le travail dans l'intérêt du client... ??

Dans le livre, il n'y a pas d'intermédiaire et ça marche nettement mieux !

Pourquoi faut-il garder le dépositaire ?

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Pourquoi ?
L'attitude historique des dépositaires... pas tous, mais en général, est de prendre "son" réseau pour son pré carré. Combien ont reçu leurs nouveaux diffuseurs arrivants avec condescendance ou paternité ? Combien refusent toute demande de baisse de mètres linéaires ?
A côté de ça, ils sont plus honnêtes que de nombreux diffuseurs qui ne remontent que les manquants....
Cependant, prenons le problème à l'envers. Sans dépositaire, de moins en moins proches des magasins, qui va mettre un visage sur une réclamation et humaniser les échanges, qui va connaître l'environnement proche en sachant lequel est ouvert ou fermé tel jour en tenant compte des imprévus, et adapter ? Qui va facturer ?
C'est pas gagné non plus, alors que j'ai pu avoir de bons rapports avec certains, mais pas tous...en réponse à ce que m'a reproché ici il y a qq semaines l'un d'entre eux.

entre les éditeurs et les marchands un seul  logisticien, digne de ce nom ,est amplement suffisant
c'est aux éditeurs de choisir entre le niveau 1 ou le niveau 2 
le SNDP est aux dépositaires ce que l'UNDP est aux marchands et les représentants de ce syndicat ont par le passé défendu leur intéret personnel avant l'intéret général en bénéficiant des restructurations du réseau de dépositaires et se sont donc rendu dépendant de presstalis
il leur est donc difficile d'etre une alternative crédible à la défaillance du niveau 1

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On sera d'accord sur la nécessité de réduire un intermédiaire entre l'éditeur et le lecteur.
Pour ma part, c'est surtout ce qu'est devenu le niveau 1, cad les messageries, qui est à supprimer.
Ensuite, je vous laisse seul le risque de remettre en cause les syndicats pros.
Parler de dépendance à Presstalis... tout remonte à la reconstruction de la distribution de la presse en 1945. Dire que le métier s'en est rendu dépendant...non, c'est la règle depuis le début. Sans ça, l'essor de la presse n'aurait pas pu se faire pour arriver à son apogée. C'était très positif, au début. C'est ensuite que le rôle de chef d'orchestre des NMPP a été détourné. Des erreurs de gestion ont été faites par omission et par collusion, des concessions syndicales dès le début, et les blocages quasi systématiques n'ont pas permis au métier de s'adapter. Advint alors un écart de plus en plus important entre les moyens attribués, et le service rendu.
Normal que la fuite en avant arrive bientôt là où ça devait arriver.

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Supprimer le niveau 1 est certainement dans le tuyau et cela se fera dans une deuxième temps, lorsque les dépositaires seront agrées. Pour cela, les dépositaires devront montrer leurs capacités à gérer une zone. 
Pour le moment certains font un peu ce qu'ils veulent et se prennent pour des shérifs.

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il faut espérer que dans l'agrément :
- la durée de l'agrément initial soit limitée dans le temps
- qu'il puisse y avoir reconduction suivant cahier des charges
car le monopole de fait n'amène aucune évolution positive au profit du client.
surfy

La France est le seul pays d'Europe a fonctionné avec 2 niveaux entre l'éditeur et le marchand
le niveau 1 a montré son incapacité à distribuer en région(sad) et la solution des publications est de répéter cette erreur avec les MLP alors que la distribution va etre libéralisée en 2023
Une logistique assurée par des grossistes régionaux directement livrés par les éditeurs serait plus cohérent Ces grossistes libérés du niveau1 et rémunérés sur les ventes seraient plus à l'écoute de leurs clients en ce qui me concerne mon dépositaire fait son bouleau en respectant les règles absurdes fixées par le cadre actuel Le livre,le médicament,le frais sont des exemples à suivre et l'ARCEP devra à un moment imposer aux éditeurs un schéma de distribution

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Oui, content de voir que d'autres diffuseurs l'ont compris, et le disent ouvertement.
Comme pour la librairie, où il y a soit 0 d'intermédiaire pour les grosses enseignes, un dans le cas général (grossiste), et deux pour de toutes petites. Mais ça marche... alors !
Parler de 2023, c'est de la science fiction, personne ne sait ce qui sera encore là dans un mois.
Mais essayer, avec la volonté du dépositaire, de gérer au mieux en autonomie la distribution locale est une idée très intéressante ! 
Quel modèle si ça pouvait motiver tout le monde. Mai il faut savoir que la règle actuelle de tout mettre à disposition le même jour sur le territoire, serait morte.
Dans la situation actuelle, ne serait-ce pas le moindre mal ?
Enfin on verrait la différence entre :
- un grossiste efficace, ou simple manutentionnaire aux ordres, pour le dépôt.
- un bon commerçant, ou magasinier contraint aux quantités imposées, pour le magasin.

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