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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Définition des critères qualité des SADP

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Les SADP vont être tenues de publier sur leur site des informations concernant leur qualité de service (logistique et financière). 

Nous sommes conviés à une réunion le 7 novembre pour choisir quelles seront ces informations.

Nous vous invitons à nous faire connaître les critères que vous aimeriez voir retenus.

Cela peut concerner la qualité des livraisons, le respect des horaires mais aussi le respect des procédures (et notamment la livraison de produits non désirés) ou des litiges sur retours, ou même des litiges liés à la facturation, etc.

Nous attendons vos suggestions au plus vite. Merci.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Bonjour,

Le respect des délais de versement des "surcom"

Bonne journée

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Bonjour, quelles fournissent aux dépôts un "talon" des meilleures ventes pour assurer un réassort plus rapide.

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Pour Paris , l’insupportable gestion  des livraisons , des titres Mlp par France M  qui ne sont pas toujours facturées sur le BL de la même journée des Mlp , l’on doit garder les coiffes pour vérifier le lendemain voire 2 jours après , le week-end encore mieux pour les mag télé qui certains sont livrés le lundi d’autres le samedi sans bdx de livraisons pour les uns , parce encore livrés par France M le samedi et bien évidemment le week-end pas de retour d’invendus , donc pas de bordereau pour même d’avancer da le travail et préparer nos invendus , non tout doit  se faire le lundi, il est anormal de nous laisser 3 jours d’invendus et encore moins sans éditer les bdx de marchandises livrées , encore un changement dans l’année dont les marchands n’ont pas été consultés, ils imposent ? Eux sont en week-end donc rien ne fonctionne, j’estime qu’éditer les bordereaux le vendredi pour le Week end n’est sûrement pas insurmontable avant le week-end, nous nous pourrions nous débarrasser du travail et des marchandises dans nos sas , je ne sais pas si en province les sads fonctionnent comme cela ? J’ai aussi constaté que certains mensuels ne sont rappelés qu’un mois plus tard alors qu’ils ne sont ni S ni H ? Ils ont encore prit des libertés sur la réglementation ! 
si d’autres sujets me reviennent, je reviens vous en parlez 

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Les services des deux SADP sauf sur Paris passent essentiellement par des prestataires que sont les dépositaires. 

- Ces indicateurs doivent-ils évaluer les  SADP et ou les dépositaires ? 

- Bien sûr le contrôle des invendus qui est souvent parole contre parole.

 -le délai de réapprovisionnement et notamment des encyclopédies et collections.
- Qui sait que le feu vert indique que le titre est commandable et non en stock chez FM

- Le système des tickets est certainement pratique mais impersonnel et souvent incompréhensible à moins de parler le "Zendesk"

- Un indicateur sur la relation ou le manque de relations avec le ou les commerciaux des dépôts  
 

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Bonjour, il semblerait que les livraisons de MLP par France Messagerie se terminent en juin , donc ce sujet n’en sera plus un , par contre Decartes , leur système de rectif contrôle qui consiste à nous débiter des titres de nos invendus après contrôle , parfois 1 à 2 semaines après les retours d’invendus est un scandale, je ne sais si cette pratique a bénéficié d’un accord culture presse ou bien si tout simplement France Messagerie change elle même ses pratiques, mais j'affirme  qu’il y a un gros problème sur ce point , nous renvoyons bien toutes les marchandises et pourtant elles sont dans un second temps re débitées , les sommes peuvent être importantes mais ils affirment qu’elles n’y étaient pas et que cela justifie les débits , il n’est pas possible d’accepter ces pratiques , lors de destockages c’est encore pire , pour avoir assisté par trois fois à Coligo à l’époque à des contrôles sur place de nos invendus , oui les erreurs de scannes existent, puisque sur 2 destockages dont le miens de 38000,00 euros, il y avait un écart d’une cinquantaine d’euros en ma défaveur , que bien entendu ils ont crédité parce que j’étais sur place , un code barre qui ne fonctionne pas , surtout les étrangers, un code barre qui ne s’enregistre pas exactement quand nous cela peut arriver que notre scanne n’enregistre pas une vente parce que cela arrive , un mauvais réseau internet où l’on présente mal le code barre devant le scanne aussi par exemple et la personne ne fait pas attention et passe au revues suivantes et il vous manque des crédits , ce n’est pas acceptable, des marchands aujourd’hui ne peuvent être débités régulièrement de sommes importantes à ce point , sinon ils travaillent gratuitement voire la presse va même coûter de l’argent à qui voudra faire ce métier de spécialiste que sont ex les kiosquiers qui déjà ont de grandes difficultés à payer leurs factures RGH et qui sont aujourd’hui 87% subventionnés source aujourd’hui de la Maire de Paris , c’est dire si ce métier est attractif ? Je pense que c’est un vrai sujet nous ne pouvons pas faire entière confiance au système de contrôle des invendus même informatisé, j’estime que nous ne pouvons pas systématiquement faire des réclamations en apportant la preuve que sur nos caisses nous pouvons verifier le stock restant et tenter au moins de justifier nos retours , parce que la réponse est cela n’est pas une preuve que ce sont bien les quantités qui vous restaient que vous avez forcément mis dans vos invendus , donc l’on marche sur la tête ? 

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Juridiquement ils n'ont pas le droit de le faire.
Ils le font quand même car ils savent que le marchand devrait aller en justice pour récupérer son dû et ne le fera pas. 
C'est non seulement illégal mais malhonnête et inacceptable.
Inutile d'en parler à l'ARCEP dans sa composition actuelle car cette "Autorité" ne fera rien.
Il vaut mieux renoncer à faire ce métier. 
Le plus vite sera le mieux. 
Il serait possible d'obtenir gain de cause par un procès mais nous n'avons pas intérêt à nous battre contre des malhonnêtes disposant de plus de moyens que nous.
S'ils veulent des marchands ils doivent respecter leurs droits. 
S'ils ne le font pas, il ne faut pas discuter. Il faut arrêter. 
Les marchands ne sont plus protégés par les institutions et sont exploités par les éditeurs et leurs sous-traitants. Les institutions leur disent d'aller en justice pour faire valoir leur droit au lieu de remplir leur mission de protection. Personne n'a d'intérêt à contracter avec des gens dont on sait qu'il faudra aller en justice pour faire respecter ses droits. Il vaut mieux ne pas contracter avec ces malhonnêtes. 
Quand il n'y aura plus de marchands de presse en France les éditeurs feront ce qu'ils veulent. 
La grande distribution les attend.
A ce moment ils pleureront auprès de l'Etat pour qu'il les protège. 
Et l'Etat le fera, peut-être, pour que ses représentants restent dans leurs bonnes grâces.

En attendant il n'y a plus qu'une solution pour ne pas faire les frais de ces "partenaires" irrespectueux du droit. 

La situation ne peut que dégénérer. Quand le droit n'est plus respecté sur un point, il ne l'est rapidement plus sur beaucoup d'autres car celui qui abuse ne voit pas pourquoi il lui faudrait se limiter. En l'absence de contre-pouvoir pour faire respecter le droit, il fera tout ce qui lui profite, au détriment de ses "partenaires". Surtout quand, comme dans le cas de éditeurs et des marchands, il existe un grand déséquilibre de puissance. 

La seule solution était de constituer un contre-pouvoir en instaurant une réelle représentativité des marchands. Au lieu de cela les pouvoirs publics ont préservé une représentation qu'ils savent factice et sous contrôle (CP). Ils lui ont adjoint, pour leur information, d'autres représentants (l'AADP), mais à aucun moment ils n'ont remis en question l'indépendance de CP que les éditeurs ont choisi comme interlocuteur unique en sachant qu'ils le contrôlent par l'argent (financement de son activité) et la menace (condamnation antérieure suspensive sous conditions). L'introduction de l'AADP dans le système est identique à celle de l'ARDP en son temps. Les deux sont insuffisantes sans une volonté de l'Etat de mettre un terme aux agissements malhonnêtes des éditeurs et de leurs sous-traitants à l'égard des marchands. de même qu'en l'absence de capacité de l'Etat de mettre fin aux exigences des entreprises de presse, qui coûtent si cher aux contribuables. La sécurité des carrières et des partis a un prix : c'est le sacrifice des marchands aux exigences de leurs "partenaires". 

Les marchands ne sont pas tenus de faire les frais du système. Il vaut mieux renoncer à ce métier que de continuer à se laisser de plus en plus exploiter.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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