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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Edito Pannetto

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Avez-vous lu l'édito du dirigeant de CP ce mois-ci ? 
Il y exprime clairement ses priorités, dans leur ordre d'importance, à ses yeux.
Sans surprise la rémunération n'est pas la priorité numéro 1.
C'est le retour de la formation contrainte qui l'intéresse.
Faire rentrer des sous pour pouvoir se payer plus, en faisant payer les marchands de presse et les dépositaires est certainement plus important que d'améliorer la rémunération des marchands.
Et pour être certain que vous ne pourrez pas y échapper il veut faire rentrer cette obligation dans de nouveaux contrats dépositaire/diffuseur qu'il est en train d'écrire selon les seuls intérêts de l'organisation qu'il dirige. 
Charité bien ordonnée commence par soi-même.
Si nous le laissons faire, sans intervenir auprès de l'ARCEP pour tenter d'empêcher cette nouvelle exploitation des marchands, nul doute que cela verra le jour.
Cela vous est-il égal ou souhaitez-vous que nous intervenions encore ?
Vos adhésions ou renouvellements d'adhésion dicteront la conduite que nous devons tenir.
A vous de prendre votre avenir en mains.

Si tu veux la paix, prépare la guerre.
surfy

Rendre la formation obligatoire serait rajouter une contrainte à une activité contraignante
et ne se justifie pas tant l'activité presse devient dérisoire 

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Ces Edito sont fantastiques extrait du dernier

"En cumul sur onze mois, notre activité presse affiche une diminution de 5,9% par rapport à la période homologue de 2021.
Malgré tout, les consommateurs retrouvent le chemin de nos points de vente. La fréquentation moyenne (mesurée par le nombre de tickets de caisse) continue à progresser (+1,1%) : un rythme lent mais régulier qui est une bonne nouvelle pour notre réseau. En cumul, la fréquentation des onze premiers mois affiche ainsi une hausse de +0,9% par rapport à 2022
."

L'activité est en baisse mais tout va bien nos magasins sont plus(+) fréquentés…

Je vous souhaite bien du plaisir à poursuivre votre activité presse.
Mais qu'attendez vous pour le virer !
Révoltez-vous !
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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C'est bien le seul pour la fréquentation importe plus que les ventes.
Comme le dirigeant de MLP est bien le seul à affirmer que la marge augmente avec le développement du chiffre d'affaire (en omettant la croissance des charges plus rapide que celle de la marge retirée).

Ces gens sont des exploiteurs.

Le premier ne cherche qu'à augmenter le revenu de son organisation, pour mieux se payer, au détriment des marchands.
Le second ne cherche qu'à développer son activité, quitte à ce que les marchands ne puissent plus exercer faute de rentabilité.
Si personne ne les arrête ils continueront.

L'AADP les a freiné ces dernières années.
Elle peut encore le faire car elle a su faire admettre l'utilité de sa présence au sein des instances décisionnaires.
Elle est reconnue légitime mais manque de membres actifs.
Les marchands de presse ne participent pas suffisamment.
Leur passivité les condamne à être exploités, pour le plus grand bonheur de ces prédateurs.
Le pire est qu'il y ait encore des marchands pour servir de caution à l'action du dirigeant de CP et de son acolyte.
Ils ne sont plus que quelques-uns mais font un tort considérable aux marchands. 
Un désaveu de leur part est nécessaire pour finir le travail entamé par l'AADP pour retirer le pouvoir de nuisance de ces prédateurs.
Mais, même si certains en interne disent le souhaiter, personne ne veut l'initier. 

Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Ce n'est pas l'édito de Mr Touvabien mais d'un de ses amis.

Cet édito s'intitule "Les besoins en compétences et en formation de notre réseau"

300 Marchands on été sondé sur 20 232marchands (Source CP/Correspondance de la Presse)
soit 1,48% , si je ne m'abuse, de la profession…Waouh !
Echantillonnage représentatif…...
300 Marchands, c'est peut-être, finalement, le nombre d'adhérents de CP 


Chère consœur, cher confrère,
Nous avons mené ces derniers mois, avec l’appui et le financement du CDNA et de l’OpCommerce, une étude nationale pour connaître les besoins en compétences et en formation des marchands et de leurs salariés.
A cette occasion, plus de 300 commerçants de presse et de jeux ont été interrogés sur la façon dont ils envisagent leurs activités piliers (presse, jeux, tabac) et leur diversification. Nous remercions les consœurs et confrères qui ont accordé de leur temps pour la réalisation de cette étude dont voici quelques enseignements.
82% des marchands interrogés ont pu observer divers changements sur leur marché ayant impacté leur activité. Parmi ces changements, citons : la digitalisation de la presse écrite ; la baisse du panier moyen des consommateurs ; une clientèle plus jeune, plus digitalisée, plus économe et plus occasionnelle par rapport à la clientèle senior ; la baisse de la consommation de tabac traditionnel au profit de la cigarette électronique, et la hausse des jeux de hasard et des paris sportifs.
S’agissant des besoins en compétences, les commerçants orientés « presse » identifient comme leviers la mise en valeur (merchandising) et l’élargissement de l’offre presse/librairie, tandis que les commerçants orientés « tabac » jugent nécessaire un renforcement de leur connaissance technique en produits Vape, en liquides et matériels associés, et de leur capacité à proposer et vendre des articles et accessoires additionnels.
Plus de 80% des commerçants s’estiment compétents sur les fondamentaux de la relation client et de la gestion logistique de la presse. 30% déclarent communiquer sur leurs activités via les réseaux sociaux, et 34% considèrent la capacité à communiquer sur les réseaux comme un enjeu important.
En matière de formation, 75% des commerçants y ont eu recours, principalement pour de la formation réglementaire (FDJ, tabac). 40% ont fait appel à un organisme de formation externe.
Enfin, le recours à l’alternance semble récent et limité : 16% des commerçants ont accueilli un alternant. Ce recours limité s’explique par la structure de l’entreprise jugée trop petite (55%), le manque de temps pour prendre en charge l’alternant (25%) ou la crainte d’un manque de maturité des alternants (9%
)
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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