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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Insupportable

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M. Panetto agit comme une vedette de cinéma. Dès qu'il peut approcher une personnalité il se fait prendre en photo à ses côtés en espérant accroître sa crédibilité. En cette rentrée c'est avec la nouvelle ministre de la Culture. Il l'a croisée en marge d'on ne sait trop quelle réunion et prétend en avoir profité pour "attirer son attention sur les attentes des marchands". Quelle plaisanterie. 

Si la réunion avait porté sur le sujet la Ministre aurait eu toutes les raisons d'être attentive. Mais ce n'était pas le cas et l'opportunisme prétendu n'est qu'un mensonge d plus. 

De plus, si ce monsieur prétend vouloir satisfaire les attentes des marchands, pourquoi n'a t-il pas fait publier depuis la publication de la loi en octobre 2019 dans son outil de communication (Union Presse) la liste des titres indiquant s'ils sont agréés par la CPPAP ou non ? 

En réalité il ne cherche aucunement à satisfaire les attentes des marchands mais juste à profiter de sa fonction.

L'AADP a réclamé la publication de cette liste aux SADP et ne l'a bien évidemment pas obtenue car il n'est pas dans leur intérêt que les marchands sachent les titres qu'ils sont en droit de refuser. Toutefois elles sont obligées par la loi de se plier à cette communication qui commence à voir le jour sur leurs sites respectifs. Désormais les marchands, peuvent aller chercher cette information à défaut de la recevoir. Cela ne facilite pas le travail mais il est possible. 

Quant à la starlette, n'en attendez que de la communication et vous ne serez jamais déçus.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Bonjour à tous

La liste des titres CPPAP sont consultable s ur le site du ministère de la culture.

https://data.culture.gouv.fr/explore/dataset/liste-des-publications-de-presse/information/

La prochaine cession se déroulera en octobre il me semble...
Restons aux aguets en attendant la date du 1er octobre où les règles de l'ARCEP devront être suivies par toutes la profession sans exception. Là aussi je pense que le combat n'estpas fini.

Quant aux chiffres que nous dévoile Mr Panetto dans son résumé de rentrée, j'aimerais bien connaitre ses sources...

Geoffroy

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Comme vous dites , ne nous attendons pas de culture presse de la communication ainsi que La Défense des intérêts des marchands et nous ne serons pas déçus, merci pour le lien des titres que les marchands pourront refuser . Cordialement 
surfy

la loi date d'octobre 2019, le législateur a laissé 3 ans aux SADP pour s'adapter
le blablabla c'est terminé, la loi s'applique point barre

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Nous craignons que ce ne soit pas aussi simple que cela.
Les dépositaires continueront à refuser de reprendre la marchandise (même s'ils sont dans leur tort) s'ils sont pris en étau entre les SADP et les marchands. Ils n'accepteront de la reprendre et de la créditer que si ils sont eux mêmes en capacité de la faire reprendre et créditer par les SADP. Or nous ne savons pas quel est le contenu du contrat qui les lient aux SADP. Celui-ci a été rédigé par les SADP et n'est certainement pas favorable à la reprise et au crédit. 
donc, qu'il soient de mauvaise foi ou mal informés, voire manipulés, les dépositaires feront ce que les SADP voudront. Jusqu'à ce que l'un d'entre eux se prenne un procès qui lui coûte suffisamment cher pour qu'il accepte d'arrêter d'entraver la loi ou que l'ARCEP agisse efficacement auprès des SADP. Mais cette dernière solution pourrait être longue.

La solution, pourrait être, au conditionnel, de ne payer que ce que nous devons réellement et de mettre de côté tout ce qui n'aurait pas dû nous être livré. En le gardant à disposition de ceux qui ont livré de force, à tort, et sans plus se préoccuper des dates de relève de ces titres qui ne nous concernent pas. Pour cela il faut passer à la facturation des ventes, qui devrait légalement voir le jour le 1er octobre 2022 et ne payer que par virement ou chèque.

Quoiqu'il en soit nous allons très vite être renseignés. Le dernier trimestre 2022 va être déterminant. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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La solution intermédiaire peut être s’ils ne respectent pas la loi , c’est de rendre la marchandise aux Mlp et se déduire les sommes des factures en envoyant un mail , ça va mettre une pagaille dans leurs comptes , à eux ensuite de faire des procès aux marchands qu’ils perdront puisqu’ils devraient nous les reprendre et nous les rembourser ? 

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1120 titres agréés CPPAP c'est relativement peu, un nombre important de revues syndicales sont répertoriées dans cette liste.

Union Presse n'est pas CPPAP.

Moto Revue, Moto Journal, Montagnes Magazine qui excellent, comme bien d'autres, dans la mise en vente concomitante de multiples n° S et HS ne sont pas CPPAP pour le moment.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Nous pouvons être sûrs que la liste CPPAP va progressivement s'allonger. Les éditeurs vont mettre la pression pour obtenir l'agrément de leurs titres et cela leur sera accordé mais pas tous en même temps. Les plus grands d'abord probablement, à quelques exceptions prêt pour que ce ne soit pas exclusif et ne puisse pas être remis juridiquement en question. 

Cela ne règlera toutefois pas les deux problèmes qui existent. Ni celui des éditeurs ni celui des marchands. 

C'est au marchand de définir le nombre de titres qu'il accepte de présenter. Certains, soutenus par Culture Presse défendent l'idée contraire. Ils prétendent imposer au marchand un travail qu'il ne veut pas faire et pour lequel il n'est pas correctement rémunéré. Ils se trompent. En effet, si ils imposent un nombre excessif de titres, par le biais d'un ratio élevé de titres par mètre linéaire, les marchands diminueront leur rayon. Cela ne fera que retarder un peu, pas longtemps, la réduction du nombre de titres présents en rayon. L'agrément des titres n'est pas corrélé à l'intérêt des marchands. En augmenter le nombre ne développera pas les rayons. Seul l'accroissement de l'intérêt des marchands peut permettre l'expansion des rayons. Le temps de la gestion par la contrainte est terminé.

Dans ce nouveau contexte il y aura différents types de réaction des marchands. C'est là que va clairement apparaître la distinction entre marchands et diffuseurs. Les premiers vont se battre pour gérer leur rayon selon leur intérêt. Les seconds vont sous-traiter cette gestion aux dépositaires en espérant que ces derniers ne les chargent pas trop. S'ils le font d'ailleurs, ils verront le nombre de points de vente diminuer significativement. Aux dépositaires donc de trouver la bonne moyenne entre la charge des rayons et la conservation des points de vente. Sous réserve qu'ils en aient le pouvoir et que les SADP ne les mettent pas dans l'incapacité de gérer cet équilibre. Or cela en prend la tournure. On peut donc s'attendre à ce que l'hémorragie se poursuive. C'est exactement l'exemple du magasin modèle des NMPP. Celui qui était dans leurs locaux. L'intérêt en amont étant supérieur à l'intérêt du magasin, celui-ci n'était pas viable et changeait fréquemment de gérant. On prétendait le gérant partant incapable mais on ne disait pas qu'on lui avait promis une liberté de gestion qu'on lui refusait dans la réalité. 

Pour ceux qui vont vouloir gérer leur linéaire le combat sera rude. Il faudra d'abord passer une phase pendant laquelle les dépositaires refuseront d'appliquer la loi. Toutefois ils y seront contraints, d'une manière ou d'une autre même si cela demande du temps. Ensuite il faudra répondre aux menaces et défendre son droit à être servi, correctement. Là, tout dépendra de l'intérêt du point de vente aux yeux de son dépositaire. Rien de bien neuf en somme. Sauf que cette fois ce sera le marchand qui décidera de ce qu'il accepte. Et ça c'est nouveau.

Bref nous sommes sur la bonne voie mais pas au bout du chemin. Et il reste bien des combats à mener encore. Ne serait-ce que celui de la rédaction du contrat qui nous lie à nos fournisseurs.

Dans l'immédiat, sur le terrain, il faut s'en tenir à la loi et exiger son application au quotidien. Refuser de payer des livraisons forcées illégales. Exiger la reprise. Informer l'ARCEP de toute irrégularité ou toute tentative de pression, avec des documents écrits. 

Bon courage à tous. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Pourquoi ce président communique si mal ? Il a le culte du secret et cela lui permet de nous imposer sa vision qui est bien en accord avec ses partenaires à notre détriment. 
C’est louche. Ça ne sonne pas juste. 
Nous sommes plusieurs commerçants à avoir été choqués par la phrase « le réseau doit se professionnaliser » mais sait il que nous ne sommes pas des enfants ? C’est pas un homme de valeur et il n’a pas bonne presse partout y compris à Paris organisation 
Pourquoi insiste il si lourdement sur le linéaire et qu’on ne doit pas le baisser ? Il joue pour les éditeurs ? 

Je suis d’accord avec vous il fait sa starlette et ça nous sommes nombreux à le penser 

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Comment voulez-vous qu'une organisation choisie par les éditeurs pour représenter leurs opposants, et ce comme unique interlocuteur, ne soit pas favorable à ceux qui l'ont choisie et la font vivre ? C'est impossible. 
Son dirigeant en vit, bien mieux que ce que chacun imagine, et en plus, fait plaisir à son égo.
Il cultive la notoriété en pensant atteindre la gloire (comme une starlette).
Mais il fait beaucoup de mal aux marchands qu'il prétend représenter alors qu'il ne travaille que pour lui et un tout petit nombre de très proches. Peut-être même un seul, son conseiller, qui est bien plus capable que lui-même, et est le vrai organisateur du fonctionnement de l'organisation. 

Mais "être nombreux à le penser" est une chose. C'est le constat que nous faisons depuis des années. C'est ce qui a donné naissance à l'AADP. Cela ne supprime pas le problème car il est protégé par ceux là même avec lesquels il devrait négocier pour le compte des marchands. Et contre ceux-là, qui sont influents dans les hautes sphères politiques, nous ne pouvons pas grand chose. Nous avons toutefois réussi, et c'est déjà un grand pas, en obtenant le remplacement de la régulation par les éditeurs par celle par l'ARCEP, à diminuer considérablement son pouvoir de nuisance. Aujourd'hui il ne peut plus signer d'accord engageant les marchands sans un contrôle de l'ARCEP qui veille à ce que l'intérêt des marchands ne soit pas bafoué. C'est un premier pas. Et un grand. 

Il sera difficile de l'éradiquer par le manque de moyens. Même si il n'a plus, depuis longtemps, beaucoup de cotisants, ses ressources principales ne viennent pas des cotisations. Nous avons obtenu la suppression des formations obligatoires qui participaient à l'enrichissement de son organisation sur le dos des marchands. Bien que ce soit illégal cette organisation continue à utiliser les autorisations de prélèvement données par les marchands aux dépositaires pour prélever des cotisations. Tous les dépositaires ne le font pas. Nous avons réussi à réduire cette source aussi mais pas à la supprimer totalement pour le moment. 

Il est impossible d'obtenir du changement en interne car les statuts ont étés modifiés pour l'empêcher.

La seule manière d'en sortir est de convaincre les éditeurs de deux choses :

1/ le partenariat entre marchands et éditeurs sera plus générateur de résultats pour eux que la poursuite de l'exploitation des premiers par les seconds

2/ cette organisation est un boulet coûteux et inutile qui ne peut plus leur apporter la sécurité qu'elle leur garantissait avant. 

L'AADP travaille d'une manière constructive sur ces deux points.
Le temps, sur ce plan, joue en notre faveur. 
En revanche, ce même temps, est trop long pour tous ceux qui subissent le quotidien. 
Nous en sommes conscients et ne pouvons que le regretter.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Il serait bien que le président s’informe de ce que les gens pensent vraiment de lui et même dans son entourage professionnel proche, un homme fourbe et secret. Il serait bien qu’il apprenne à s’exprimer de manière claire et sans tout ramener à lui. Il serait bien qu’il laisse sa place à quelqu’un de plus vertueux. Il serait bien qu’il arrête de se comporter comme un monarque. En fait, c’est pire qu’une starlette, sa motivation dans la vie est d’aller traîner dans toutes les réceptions pour se faire voir. C’est ça qui l’occupe en permanence. C’est vrai que j’ai déjà entendu que c’était son conseiller qui se tapait tout le travail pendant que lui passer son temps à se ballader dans les événements. 
Sa technique est simple il joue les modérés avec les éditeurs, il critique les marchands qui ne sont pas d’accord avec lui
Je ne pense pas qu’il soit un escroc mais il a de gros problème pour s’exprimer et coupe les têtes à ses contradicteurs.

Pourquoi dites vous qu’il en vit mieux que ce qu’on imagine ?

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Ce n'est pas de l'escroquerie mais de l'exploitation du système à son avantage au détriment de ceux qu'il prétend représenter. 
Quant aux têtes qu'il coupe, elles se laissent bien trop gentiment faire.
Quand on est membre d'une organisation il est possible d'exiger qu'elle fonctionne démocratiquement et d'obtenir des données permettant de mettre en évidence un fonctionnement qui soulèverait des questions auxquelles il serait probablement difficile de répondre. Mais jamais aucun adhérent ne l'a fait ni n'a cherché d'aide pour le faire. Ils ont tous préféré démissionner. 
Exiger les statuts, le règlement intérieur, et des comptes détaillés est un minimum. De ces éléments (et des versions précédentes de ceux-ci, qu'il est aisé de trouver) il est possible de mettre en évidence des points soulevant des questions.
 
La question de l'origine des ressources par exemple est certainement un point difficile à expliquer.
La baisse du nombre d'adhérents payant des cotisations (et du nombre de points de vente en France) ne concorde pas avec la hausse des ressources. Cela montre de manière évidente que les ressources proviennent très majoritairement d'autres sources que les cotisations. Lesquelles ? Les adhérents de CP peuvent poser la question et tenter d'obtenir des réponses crédibles et réalistes (vérifiables).  S'ils n'en obtiennent pas c'est que l'on ne veut pas leur dire la vérité et cela n'est pas acceptable. Si la direction refuse la transparence elle ne peut plus mériter la confiance et doit quitter son poste. Les congrès sont là pour ça. Mais personne n'a jamais exigé publiquement que les statuts soient respectés lors des congrès. Jamais il n'y a eu une présentation claire et détaillée des comptes et de leur évolution. Et jamais personne n'a pu poser publiquement de question et obtenir de réponse. Si les adhérents acceptent ça, on peut rien pour eux.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Les adhérents curieux, qui ont cherché à savoir le pourquoi du comment, qui ont posé les questions, ont été marginalisé.
Si ils ne partaient pas d'eux même par lassitude et tentaient de bousculer l'establishment le renouvellement leur adhésion était refusé.
Michel, parcourrez les fils de discussions (bon, il faut remonter dans le temps), vous trouverez, par exemple, le montant de la rémunération qu'il perçoit au titre de président de CP.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

Pourquoi ne pas communiquer ce message auprès des adhérents ?

Quel est ce montant ?

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Nous avons tenté d'alerter sur ce point mais personne n'a jamais suivi au sein de l'organisation.
Le montant n'est naturellement pas communiqué mais peut être estimé.
Il ne s'agit pas d'une seule rétribution mais de nombreuses qui se cumulent du fait de la multiplication des fonctions qu'il obtient.
Au départ de son prédécesseur celui-ci touchait paraît-il deux smic pour sa fonction de Président de l'UNDP, plus défraiement (déplacements, repas, hôtels, etc.)
A ceci il faut possiblement ajouter : 
une fonction de dirigeant salarié d'Union Presse,
un mandat de dirigeant d'Union Presse en qualité d'administrateur,
une fonction de dirigeant et/ou un mandat d'administrateur de la société de formation 
une fonction de dirigeant et/ou un mandat d'administrateur de la société comptable
une fonction de dirigeant et/ou un mandat d'administrateur de la Tribune de la vente
quelques émoluments pour participer à des réunions 
et possiblement encore quelques autres dont nous n'avons pas connaissance (gestion de SCI ?, participations dans des entreprises "partenaires" ?, etc.)

Les possibilités sont nombreuses et cela mériterait de la transparence (déclaration annuelle de patrimoine et des sources de rémunération). Mais ce n'est certainement pas lui qui va l'imposer.
Cela aurait pu être inscrit dans les statuts mais, ça ne l'est pas.  

Si vous arrivez à avoir des précisions...

Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Je ne crois pas que le président touche de l’argent pour toutes ces fonctions. Rien dit qu’il touche des commissions. Évitons les fausses rumeurs. Regardez comme il est mal sapé avec ces costumes bon marché.
On aimerait un président avec plus d’allure. 
Ce qui est navrant chez lui c’est son totalitarisme et je sais qu’il n’est pas apprécié par tout le monde à culture presse et que parfois ce qu’il dit passe mal car il manque de finesse dans ce qu’il dit.
Je tiens l’info de quelqu’un de l’organisation qui ne l’aime pas. Mais ils sont nombreux à ne pas l’aimer
il a la réputation d’être à la botte des partenaires. Ses partenaires le siffle et lui accourt. Parfois c’est bien d’être représenté mais lui c’est l’archétype du pick assiette. Ça dessert la profession. 
Je pense qu’il est trop usé pour aller au delà de son mandat en cours.
il brasse du vent et insulte les marchands. Il veut nous imposer ses  idées ou les idées de ceux qui se servent de lui. 



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Rumeur, l'AADP ne connait pas  ce mot.

Les PV des délibérations d'AG des sociétés sont déposés au TC dont dépend la société, ces PV sont la source d'infos parfois surprenantes.
La SARL Union Presse dépend du TC de Paris.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Croire, ne pas croire, c'est l'affaire de chacun. 
Nous parlons de l'intérêt de tous et non de croyances.
Il est aisé de vérifier comme l'écrit Neiges.
Mais à la limite vous avez raison, peu importe s'il touche de l'argent en quantité, à condition qu'il fasse le job que les marchands attendent de lui et non celui que les éditeurs lui commandent.

Il présente mal, c'est question d'opinion. Nous partageons ce point de vue.
Sa culture est très limitée, c'est évident et cela dessert les marchands car ça le met en situation d'infériorité face à ses interlocuteurs. 
Sa volonté de paraître fait sourire tout le monde et masque mal le complexe d'infériorité qu'il tente de compenser par un égo  surdimensionné.
Son totalitarisme est l'aveu même de son incapacité à diriger en convainquant ses administrés.
A défaut de pouvoir les convaincre il les baillonne.  
Il a effectivement un féroce appétit de réussite, et pour lui ce mot se traduit par "être adoubé" par le pouvoir en place. Il est de ce fait, toléré et exploité. son manque de finesse ne lui permet pas de voir qu'il est possible, de par sa fonction, en l'exerçant différemment, de se faire reconnaître comme légitime. Il aurait pu, de par cette fonction, en étant incontournable comme il l'était initialement, imposer le respect des éditeurs. Il a préféré la soumission plus facile et certainement plus avantageuse pour lui.

Bref ce n'est pas l'homme de la situation. il n'est pas à la hauteur de la fonction. Et n'est pas digne de confiance.

Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Je ne suis pas ok avec vous, c’est important quand même de savoir s’il touche de l’argent en quantité, de plus il nous doit la transparence. Mais je ne pense pas que ce soit un escroc c’est juste un homme intéressé, a ce qu’on dit. Il est secret et cachotier et autoritaire sans intelligence suffisante 

C’est un homme qui manque de culture, on dit. C’est vrai qu’il n’a pas le sens de la formule, qu’il est soporifique quand il parle.  

Oui pour ce qui est de son apparence, chacun pense ce qu’il veut mais avouons que beaucoup d’adhérents pensent qu’il a un look monoprix. Alors qu’un président doit en imposer pour être pris au sérieux surtout qu’il adore se montrer et prendre des photos comme une groupie. 

je lui reproche vraiment ces problèmes de communication, et je me demande ce que ça cache, trop à la botte des éditeurs et des partenaires. Je ne suis pas ok avec sa politique d’assortiment et plafonnement. C’est flou donc il y a un loup. 

Descartes, vous avez l’air de le connaître personnellement ?

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Nous sommes bien d'accord sur la nécessité de la transparence.
Il ne nous paraît pas anormal que cette fonction, primordiale pour les marchands, si elle est bien exécutée, soit également bien rémunérée, dans des limites connues.
Comme déjà dit c'est loin d'être le cas.

Pour le look, cela peut déplaire mais ce n'est pas essentiel. C'est en tout cas moins important que l'incompétence et la soumission. 

Et pour répondre à votre dernière question, les représentants de l'AADP le croisent régulièrement depuis une douzaine d'années. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Son look va avec le reste.  
je ne sais pas s’il a conscience de son manque de popularité auprès des adhérents ou il est tellement aveuglé par ses intérêts qu’il s’en fout de tout.
Il y a un climat de méfiance.
Échangez vous sur Twitter ? Si oui, je viendrai bien.  

Échangez vous avec culture presse ?

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Nous échangeons avec quelques membres de CP.
Ceux-ci le font discrètement pour ne pas risquer de subir les foudres de la direction.
Nous nous demandons bien du reste ce qu'ils "risquent" et ce qu'ils ont à gagner à ne pas déclarer clairement leur insatisfaction à leur direction. 
Ils nous suivent parce que nous leur communiquons des informations qu'ils n'ont pas en interne. Préserver le secret c'est garder le pouvoir. Ca permet surtout à ce monsieur de faire ce qu'il veut et de dire ce qui plaît aux éditeurs sans en référer à ses administrés.
 
Nous ne discutons pas avec la direction qui a toujours refusé tout échange et tout débat public. Ils craignent que des questions embarrassantes leurs soient posées au grand jour et tentent toujours d'éviter de reconnaître l'existence de l'AADP. Il ne faut pas que les marchands qui ne s'informent que par Union Presse découvrent l'existence de l'AADP qui remet en question les positions prises par le dirigeant de CP. 

Et, oui, nous intervenons sur tweeter  (@diffuseur)

Quant à notre homme il se moque complètement de ce que peuvent penser les marchands tant qu'il peut garder son poste et ses avantages. Ce n'est pas de l'aveuglement. Il est bien conscient de la désapprobation mais cela ne le touche aucunement puisqu'il ne peut être remis en question. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Ça colle avec ce qu’on m’a dit de lui. Des gens qui le côtoient tous les jours. Il vaut mieux ne pas le côtoyer dans la vie privée à priori. 
Nous sommes mal barrés nous les marchands. 
Si vous avez Twitter, vous pouvez discuter avec le Twitter de culture presse alors 

Pour valider un accord il faut des signataires, les présidents de culture presse et du SNDP(dépositaires) ont toujours signé ce qu'on leur demandait de signer sans prendre l'avis de leurs adhérents en échange d'avantages personnels Ce fonctionnement a détruit la distribution de la presse et empéché toute réforme, l'état du réseau de marchands résulte de ces petits arrangements entre amis mais peuvent-ils toujours se regarder dans une glace?

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Les "On" que vous rencontrez restent impassibles, n'ont-ils pas, comme vous, à priori, le désir, le souhait, l'envie de balayer tout ça, que la profession évolue ?
Si ce n'est pas trop indiscret, vous êtes marchand de presse depuis longtemps ? 
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Je vais donner mon avis par expérience , je connais ce syndicat depuis 35 ans , il est à l’origine créé et financé depuis plus de trente ans par les éditeurs et les messageries de la presse , les présidents respectifs ont toujours été aux ordres , pourquoi voulez vous que cela change aujourd’hui dans une conjoncture économique encore plus difficile, Présidents d’hier et d’aujourd’hui ce sont le mêmes, personnes s’est intéressé à ce phénomène parce les adhérents étaient des travailleurs indépendants et gagnaient bien leur vie , pour preuve les Messageries faisaient appels des cotisations pour l’UNDP et maintenant Culture presse sur les factures RH de Presstalis , ce qui est pour le moins pas très catholique non ? Avec le recul si il avait été un syndicat défenseur des marchands et non pas VRP de la filière nous n’en serions probablement pas là , il avait lui les moyens de pressions que ne pouvait pas avoir les autres petits syndicats notamment les kiosquiers ex , sauf que ce n’était pas son rôle , les manipulations et petits ou grands avantages personnels suffisent à acheter le plus souvent les petits responsables , mes petits intérêts avant ceux des autres , non ne pouvons rien attendre de ce syndicat, heureusement qu’une opposition telle que l’Aadp est née , toute cette filière devra faire aussi avec et ne pourra plus valider leurs écarts qu’avec seul Culture presse ? 👍
surfy

Marchand depuis 30 ans également, je partage le message de Neltod, lors de la restructuration du réseau de dépositaires dans les années 90 les membres du bureau du SNDP ont bénéficié de fusion à leur profit de dépots voisins, défendre leurs collègues était donc désservir leurs intérets



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