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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Intérêt commun ou rapport de forces ?

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Peux-t'on durablement construire le fonctionnement d'une filière sur un rapport de forces ?
Certainement pas. Une domination ne peut s'accepter que sous la contrainte ou par intérêt.
C'est ce que n'avait pas compris le directeur général du CSMP lorsqu'il nous a répondu "vous n'êtes pas obligés de signer". Ok. Dans ce cas on ne signe plus. Et vous faites quoi à part pleurer sur le fait que vous n'avez plus assez de points de vente ? Vous installez des PVC pas rentables ? Vous tentez les points de vente thématiques pas rentables non plus ? Vous tentez d'attirer la grande distribution qui vous refuse de participer ? Et après ? Après, vous perdez vos points de vente et n'avez aucun moyen de les remplacer! CQFD.
La réduction rapide du réseau est la preuve de l'erreur de fondement de la filière.

Reconnaître l'intérêt commun c'est bien sûr mieux partager la valeur ajoutée mais c'est surtout garantir la pérennité de la filière. 
Sans intérêt une partie abandonne l'autre à son sort. C'est ce qui est arrivé.
123456 présent sur ce blog l'illustre parfaitement tant par son vécu que par ses propos.
Et il interviendra surement pour répéter que la seule chose à faire est de supprimer un intermédiaire.
Ce n'est pas suffisant, même si ça peut, éventuellement, contribuer à une amélioration momentanée.
Le sujet est plus profond que ça.
C'est l'utilité de la fonction commerciale qui est le fond du sujet. Ce  ne sont pas les moyens mis en place pour tenter de la contourner. 
Par intérêt, pour préserver leur pouvoir, certains ont tout fait pour nier cette utilité commerciale.
Dans un marché porteur ils le pouvaient. Dans un marché en récession il ne le peuvent plus.
La question est donc maintenant de remplacer ce système qui ne fonctionne plus par un autre qui fonctionnera durablement. Et c'est là qu'il ne faut pas se tromper ; seul l'intérêt commun le permettra. 
Dès que ceci sera compris et admis nous pourrons avancer. 
Les bonnes volontés ne manquent pas. 

Considérer le client et ses attentes est une obligation.
Il ne suffit pas, comme le prétendent certains, de concevoir le produit en le positionnant correctement en termes de prix, de concept et de cible. Ca c'est du marketing et c'est nécessaire mais insuffisant.  La filière doit désormais être reconstruite sur la base de la satisfaction du client qui ne repose pas que sur le produit mais également sur le service qui lui est rendu. La concurrence est telle (au niveau des sollicitations auxquelles les clients sont soumis) que si nous ne prenons pas cette dimension en compte, aucun avenir n'est possible. 

Les marchands sont au contact des clients. Ils auront un rôle actif à tenir, contrairement au passé. Il leur faudra à la fois devenir gestionnaires de leurs stocks comme tout bon commerçant, mais aussi être efficaces et attentifs à satisfaire les clients. 

Les éditeurs devront de leur côté être plus souples et gérer leur production plus finement pour limiter les coûts inutiles et les pertes. Ils devront prendre en mains le suivi commercial de leurs productions et ne plus se contenter de constater le résultat de mises en place massives déconnectées des ventes moins les retours d'invendus.

Les sociétés agréées des distribution qui remplaceront les messageries (même si ce sont les mêmes dans un premier temps) devront adapter leur modèle économique aux ventes. Elles auront intérêt à diminuer les volumes déplacés pour être rentables. Pour cela il leur faudra gérer finement la relation avec les marchands pour en maximiser le rendu. 

 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

"Toujours plus", écrivait François de Closets il y a qq 30 ans. Finie cette époque et finis les moyens pour obtenir glorieusement toujours plus.
On sera d'accord pour exiger plus d'efficacité, au lieu de se faire balader entre les intérêts divergents des 4 niveaux, éditeurs, messageries, dépôts et magasins.
Dans cette culture sans vraie gouvernance, il me semble plus probable qu'une tentative de simplification, si elle devait au final se décréter, se transforme -comme toujours- en complication.
Atteindre l'efficacité ne peut se faire sans changements. Il faut forcément tailler qqpart, et pour que cela puisse se faire avec le moins de douleur possible, il faudra à l'Etat être très sournois !

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Le processus est en marche. 
Les éditeurs sont amenés à réfléchir pour préserver leur avenir. 
Une bataille entre SADP et dépositaires s'engage, chacun souhaitant se passer de l'autre.
C'était prévisible mais ce n'est que la conséquence de la prise de conscience forcée (baisse de marché + refus de l'Etat de continuer à assumer le pertes = nécessité de modifier le partage de la valeur en faveur de l'action commerciale). Vous le disiez mais en faisiez un préalable alors que ce n'est qu'une conséquence qui n'aurait jamais vu le jour sans l'action de l'Etat, nos demandes répétées et notre soutien. Ce n'est en tous cas pas la soumission au système historique qui permet l'évolution. Tout juste est-elle bonne à satisfaire l'égo et maintenir quelques avantages individuels. Mais même ceci est en voie de se terminer. Et c'est tant mieux pour les marchands.
 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

La soumission au système historique....je ne cesse de dire qu'il faut supprimer un niveau.
Personne ne reprend ça et veut maintenir cette structure périmée en pensant que des changements à la marge peuvent se faire.
NON, évidemment. Une fois de plus, on le comprendra trop tard.

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Vous ne cessez de le dire c'est exact. 
Depuis que vous venez sur ce blog.
Mais dites-nous pourquoi CP n'a pas voulu vous suivre dans cette direction et pourquoi vous y êtes resté, contre votre propre avis?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

La peur du changement, du vide, des grèves à coup sûr.
Et surtout, parce que l'immense majorité n'ose pas imaginer que ce milieu fera sa "révolution". En fait, tant qu'on est dans le métier, on a l'habitude des dysfonctionnements, du manque de rentabilité, qu'on fait avec. Ca a toujours été comme ça.
Il y a qq avancées qui masquent le fond.
Je me souviens d'un jour en petite assemblée en 2010, avoir envisagé de ne pas inviter les messageries à l'AG annuelle, mais d'insister sur la DDM, qui avait le pouvoir de faire ou défaire...Entre remodeler un tel bastion et le consensus, cette DDM et même l'undp (à l'époque) restaient sur l'espoir de jours meilleurs...Ce qui devait arriver arriva.
A noter qu'en off, un dépositaire du côté de Niort, était prêt à sacrifier un laps de temps pour mettre fin à tous ces tracas pour repartir sur du neuf. Il y a ça et là, des partants pour la destruction créatrice.
Mais est-il encore temps aujourd'hui de reconstruire durablement, alors que bon nombre d'éditeurs ne songent qu'à se passer de ce niveau intermédiaire ?

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La peur de ces leaders qui côtoient les plus hautes sphères ? Ce n'est pas crédible.
Plutôt l'intérêt de quelques-uns (soif de reconnaissance et manque d'intégrité) au détriment de la raison d'être de leur fonction. Il était plus facile et plus rémunérateur de se glisser dans le sillage des puissants que de tenter de défendre l'intérêt collectif. La notion d'intérêt commun a été volontairement combattue par ceux-là mêmes qui prétendaient défendre l'intérêt des marchands. Ils ont préféré se positionner sur le terrain du pseudo-conflit, sachant qu'ils n'étaient qu'au service d'intérêts opposés mais que cela leur permettait à eux (et eux seulement) d'être protégés et d'en tirer profit.  Les dirigeants de CP sont des vendus. Des jaunes diraient certains. Ils doivent être dépossédés du pouvoir pour que cet organisme puisse renaître des cendres qu'ils ont laissées et repartir sur des objectifs cohérents avec sa raison d'être et des valeurs démocratiques indiscutables (concertation, transparence financière, indépendance).
Plutôt que de défendre la rentabilité, la trésorerie, la reconnaissance de l'utilité et le statut des marchands, ils ont préféré nouer des partenariats, vendre de force des services et des produits à une population captive, signer des accords pour contourner les jugements, diviser les marchands pour éviter toute remise en question.
Non, pas d'accord avec vous sur ce point : le président et son directeur général doivent partir. Il n'auront aucun mal à retrouver des fonctions pour continuer à servir ceux qui les ont employés depuis des années. N'est-ce pas d'ailleurs ainsi que cela s'est passé pour bon nombre de leurs prédécesseurs ?

Nous avons confiance. La base n'est pas en cause. tout juste peut elle se reprocher d'avoir laissé faire trop longtemps sans réagir. Pour sa défense, elle ne disposait pas des informations nécessaires et, faisant trop confiance à un nombre d'acteurs très limité, était désinformée et manipulée. Le mensonge a trop longtemps 
été pratique courante dans notre milieu. Je me rappelle encore du Président du CSMP, interpellé devant un parterre de juristes, étant obligé de mentir pour tenter de masquer un contournement flagrant de la Loi. Il avait alors affirmé avoir envoyé un courrier confirmant avoir pris en compte notre refus et indiquant une rectification en cours (il s'agissait du droit de payer par virement volontairement omis dans les documents rédigés par le CSMP). Ce n'est pas pour rien que le CSMP a disparu. Sa position n'était plus tenable. Dire 'vous n'êtes pas obligés de signer" aux diffuseurs revenait à reconnaître défendre l'indéfendable. C'est aujourd'hui pareil pour CP qui sert de porte parole et de caution aux intérêts opposés à sa mission, perdant toute crédibilité. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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"  Et surtout, parce que l'immense majorité n'ose pas imaginer que ce milieu fera sa "révolution". En fait, tant qu'on est dans le métier, on a l'habitude des dysfonctionnements, du manque de rentabilité, qu'on fait avec. Ca a toujours été comme ça.  "

Vous parlez des marchands, je présume.

Soit vous aviez  des œillères et étiez malentendant soit vous cautionniez et profitiez du formatage undp, énoncé ci-dessus.

Facile de vous défausser sur des marchands qui "ont fait avec".
Assumez votre collaboration.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

Bien sûr que je parle des diffuseurs.
Votre haine de l'undp-culture presse, et de ce qui s'y rattache, vous prive de bon sens.
Les formations étaient là (comme dans tous les métiers) pour expliquer les spécificités aux entrants et parfois à ceux qui ont dû se remettre à niveau, les usages du métier, que bon nombre ici ne savent toujours pas. 
Ce métier n'est pas que encaisser des scans et gueuler contre tout le monde. Sauf pour les paranos qui s'en accomodent pour se défausser de leur propres limites.
Que vous ne reteniez que le formatage...c'est votre problème.
Dans les stages librairie ou tabac, par ex, n'y aurait-il pas un peu la même chose, sachant que l'adhésion au syndicat pro en tabac est obligatoire, et facultatif en presse ?

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Pas "comme dans tous les métiers".
La norme est que la formation dispensée soit encadrée par le ministère du travail et non par des acteurs privés intéressés financièrement et hors de tout contrôle.
Nous préconisons une formation, mais diplômante, financée par les cotisations de nos entreprises, et donc forcément sous le contrôle du ministère du travail.  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Vous préférez que les formations soient faites par extérieurs ? On est sans cesse sollicités par des boîtes de formation qui savent -elles- qu’elles ne sont ni équipées, ni formées, et pas agréées pour la presse...et pourtant combien d’entre elle sont prêtes à tout ? Si cefodip et ceforep n’avaient pas été reconnues, aucun stagiaire n’aurait été remboursé.... n’en avez vous pas marre de raconter n’importe quoi aussi facilement ?

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Les formations doivent être encadrées par le ministère du travail et ne pas être laissées aux mains d'acteurs intéressés de la filière. Pouvez-vous nous dire ici pourquoi le CEFOREP a été fermé dans l'urgence et sur ordre de qui ? Pourrez-vous également nous expliquer les comptes de cet organisme et notamment ses charges d'exploitation sans commune mesure avec tous les autres organismes exerçant dans le même secteur d'activité ? Vous paraît-il normal que l'organisme qui vend ses formations soit le même que celui qui  crée une obligation de financer cette organisation par une participation tous les trois ans, qui plus est disproportionnée avec les revenus des diffuseurs ? Nous pas !  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Cefodip puis Ceforep n'ont pas été fermés par décision judiciaire ou pour fait illégal !
Vous ignorez peut être que ces organismes étaient gérées par NMPP-Presstalis + dépots  indépendants + undp, et avec une présidence annuelle tournante.
Seule MLP n'y était pas, mais c'était de l'interprofessionnel.
Peut être, et seulement peut être, que suite à la décision des MLP de piquer dans l'assiette de l'interprofession, le marché baissier n'était plus assez grand pour tout le monde. Ou qu'il s'agisse par cet exemple, de la démonstration que cette profession préfère s'auto-détruire, plutôt que collaborer.
Par contre, pourquoi la formation est une source de bénéfice pour tant de parasites, et une source de perte pour l'interprofession, ça je ne sais pas, et dans ce cas, je n'extrapole pas mes envies.

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Pas de vagues. Jamais. On ferme dans l'urgence et on licencie tout le monde mais il ne s'est rien passé. Et surtout, pas de questions sur les sommes importantes transitant et les frais hors de toute proportion constatés. Ce ne sont pas des pertes qui ont été constatées. Et la suppression de l'obligation de formation triennale n'est pas non plus un hasard. 
Heureusement le phénix renaît de ses cendres et on rembauche tout le monde sous une autre appellation (3ème). Mais là les comptes sont certainement moins extravagants.  
Après, vous êtes libre de ne pas comprendre.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

J'aimerais bien savoir tout ça, effectivement. Mais avec l'explication exacte. La vôtre est tellement orientée, comme tout ce qui concerne CP, qu'une caution extérieure et neutre serait la bienvenue.
Les exemples ici sont tellement nombreux..


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Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Le résultat d'exploitation était négatif sur N-1, et 5 fois plus déficitaire en N, et passer d'un léger bénef à - 400 K euros en 1 an, c'est bizarre car le CA n'a pas varié de cette proportion.
Les postes salaires et ch sociales ont bien augmenté...pour moins d'activité, mais n'est pas la cause d'un tel écart.
C'était en 2012 où l'argent public pour la presse commençait déja à se faire rare.
Mettre fin à l'hémorragie me semble normal, que ça vienne du Cefodip lui même ou de l'Etat, sponsor certainement indigné.
Pourquoi, et y a t il eu des malversations ? Les chiffres ne le disent pas.
D'accord avec vous pour trouver la situation bizarre. Il y a de fortes chances que les explications restent dans le secret des ex-copropriétaires.

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Merci d'être d'accord pour trouver cela "bizarre" mais je trouve votre analyse un peu courte.
Permettez-moi de vous soumettre trois questions simples :  

1/ Combien y avait-il de salariés ?
2/ 1M7 de charges ne vous semble-t-il pas surprenant pour une entreprise de cette taille ?
3/ Quelle peut-être l'explication de la multiplication par quatre de la dette fournisseur ?

Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Je ne connais pas le nombre de salariés permanents, mais ils avaient surtout pas mal d'intervenants extérieurs, pour encadrer les stagiaires au niveau national.
1.7 million de charges pour 2.4 de CA ne me semble pas si aberrant, sachant que le cefodip n'avait pas de locaux. Une partie des charges était de la location de locaux, qui retombait souvent aux dépôts qui recevaient les stages. Plus les repas, transports, hôtels pour intervenants venant de loin. Pas choqué là dessus.
Mais pour le triplement des dettes fournisseurs, effectivement, ça semble beaucoup pour un organisme qui n'a pas de stocks ni d'investissement matériel.

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Nous avons déjà eu cette discussion en novembre 2013 lors de la fermeture du CEFODIP.
Non, dans les salaires il ne peut pas y avoir autre chose que des salaires!
S'il y a des intervenants extérieurs ils sont rémunérés sur production de factures.
L'entreprise ne paie pas de charges sociales pour eux mais uniquement pour ses propres salariés. 
Or il y avait 9 salariés. Ca fait une moyenne de salaire très très élevée. On imagine bien que les vrais salariés ne touchaient pas beaucoup plus que 2 smics (ce qui est déjà pas mal par rapport aux diffuseurs). Mais même en supposant 30 K€ pour chacun des 9 salariés, cela fait 270 K€. Où passent les 530 K€ de salaires bruts restants ? Plus de 10 K€ par semaine ! avouez que cela demande des explications. 
Pareil pour les charges. N'est ce pas simplement de la publicité passée à Union Presse qui ferait monter l'addition ? En toute légalité bien sûr.
Quant à la dette fournisseur, elle n'a pas triplé mais quadruplé. En un an. Et effectivement c'est inexplicable.
Cela fait beaucoup de questions sans réponses et beaucoup d'argent qui circule sans contrôle.
Et ceci est également valable pour les comptes de CP, et ceux d'Union Presse, et possiblement d'autres sociétés (CGA presse, Tribune de la vente maintenant)...
Qui sait ? Uniquement le Président et le DG historique?    
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Votre haine de l'undp-culture presse, et de ce qui s'y rattache, vous prive de bon sens.
Les formations étaient là (comme dans tous les métiers) pour expliquer les spécificités aux entrants et parfois à ceux qui ont dû se remettre à niveau, les usages du métier, que bon nombre ici ne savent toujours pas. 
Ce métier n'est pas que encaisser des scans et gueuler contre tout le monde. Sauf pour les paranos qui s'en accommodent pour se défausser de leur propres limites.

Présomptueux, un peu, non ?

Vous voilà maintenant psychologue, j'aurais perdu mon bon sens…..nous retrouvons bien là la pensée unique  de CP.

Haine, voilà un bien vilain mot que vous employez, dégout serait plus juste.


Les intervenants, dits "extérieurs" au lors des formations étaient pour la plupart des marchands de presse, free-lance, estampillés undp rémunérés agréablement…..

Pour vous,
Défendre son job, défendre son patrimoine, protéger son entreprise, défendre le service client, s'interposer contre du racket,  c'est être parano !!

Monsieur, ces gens qui censément "gueulaient contre tout le monde si vous les aviez écouté
certains ne se seraient pas suicidés, certains n'auraient pas tout perdu, notre profession n'en serait probablement pas là, car un arcep aurait pu être initier il y a bien longtemps et permis de réguler le filière.

M'enfin, nous regardons devant, l'avenir sera meilleur.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

 Neiges, des questions sont posées par des diffuseurs et seul mon pseudo vous fait réagir. Et comment !  Si c’est pas de la haine, je vous rassure, c’est encore moins de l’info.

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N'importe qui,tenant des propos blessant et devalorisant les marchands ferait  réagir.
Vous vous donnez trop d'importance.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

Ne vous trompez pas de sujet : c'est l'avenir de vos affaires, et ce qu'il faut faire pour éviter de dire "on ne savait pas, on espérait tant"...

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