www.marchandsdepresse.com

LUI n°1 rappel aujourd'hui = 70% d'invendu suite à non mise en avant. En temps normal vu mon service, maxi 25%. Même punition pour les suivants, il faut continuer le combat.

Ok PINGU, nous continuons !
Ne pas oublier demain la non mise en avant de "Elle man"
Résultat pour LUI N°1 malgré le battage pub : 45% d'invendus, pour comparaison Vanity 0%

Dernière modification le 02-10-2013 à 10:18:04

Derni?re modification le 02-10-2013 ? 10:18:21

memes proportions que pour grigri

Pas de chance pour LUI : 93% d'invendus.

HAAA moi 100 % pas de mise en vente, je met en vente que les n°1 de journaux d'information

1/28 vendu

BRAVO !!!

ET C'EST DE CETTE MANIÈRE QUE VOUS COMPTEZ VOUS FAIRE ENTENDRE !

SE PLAINDRE DE LA BAISSE DES FOURNIS, DE LA DISPARITION DE CERTAINS TITRES ET PARALLÈLEMENT BOYCOTTER LA MISE EN VENTE ET/OU EN AVANT D'UN LANCEMENT A FORT POTENTIEL, C'EST DE LA PURE INCONSCIENCE.

ON PEUT PENSER QUE VOUS NE RENCONTREZ PAS DE PROBLÈME DE TRÉSORERIE PUISQUE RÉALISER DU C.A. N'EST APPAREMMENT PAS VOTRE SOUCI MAJEUR.

DES GUIGNOLS, VOUS N'ETES RIEN QUE DES GUIGNOLS.

AADP = ASSOCIATION des ABRUTIS accessoirement DIFFUSEURS de PRESSE

SVP DESCARTES, ÉPARGNEZ NOUS VOS TIRADES PHILOSOPHIQUES LORS DE VOTRE RÉPONSE

Waouh ! j'adore ce jeu !

Moi j'ai DPM => Débile et Profondément Malade...

Pas la peine que je vous indique la porte de sortie...

Derni?re modification le 02-10-2013 ? 17:35:02

de gros caracteres pour des propos mineurs

Notre collegue fait une petite colère, il travail pour nos maitres, les éditeurs.

il veut certainement plus de papiers, plus d'abonnements et moins de remise, alors cher collègue il faut vous rendre de suite place de la république ....

Oui DPM nous sommes des abrutis qui nous faisons dépouiller de notre clientèle par les éditeurs depuis des années et tant qu'à mourir autant le faire en se battant.

DPM vous avez aimé le, n°1

voici le n°2

[img][/img]

je ne pense pas que ce monsieur soit diffuseur de presse, ce doit etre le mec qui dirige le fameux syndicat représentatif.

cher monsieur vous n'avez pas besoin d'insulter les gens, je fais parti des diffuseurs qui prennent leur avenir en mains, vous pouvez rester comme vous etes a attendre la fin sans vous battre, moi ce n'est pas dans mon caractere.

DPM, en tant que dépositaire vous ne pouvez pas comprendre l'exaspération extréme du réseau. Certe ce n'est pas la meilleure solution que boycotter un numéro 1 (qui plus est, un éditeur correct comme "LUI").
Mais l'agacement que vous apportez à ce mouvement exessif prouve que vous avez été touché et donc prévenu que les diffuseurs ne sont pas tous des moutons... Toutefois je confirme que je préférerais boycotter un éditeur qui ne respecte pas la filière (genre truscolowscon) plutot que les numéro 1 d'envergure....

mdp 14, DPM est un dépositaire et ne s'en cache pas. Arrétez, svp, de vous en prendre uniquement à l'undp surtout quand cela ne le concerne pas...

Willy

Les "truscolowsconmachintruc" ne représente rien comme editeur, d'ailleurs M. PANETTO / UNDP le dit lui-même dans le dernier Union presse (se sont des parasites de la profession) ! D'ou pour donner de l'importance à notre action la necessité de "toucher" de gros lancements, et donc même punition pour ELLE Man !

Je voulais juste rajouter que nous avons bien sur tous la possibilité de réserver l'acceuil que nous voulons aux editions "trucolowscon et cie" en marge de nos autres boycott !

Derni?re modification le 02-10-2013 ? 18:45:17

grigri , à 45% d'invendus, il n ' y a pas de véritable boycott...
enfin, chacun est libre chez lui....
Me concernant, 98% d'invendus....Mais bon , on n'est pas à un concours.

Bonjour Dpm,

Le CA n'est qu'accessoire.
L'important, pour tout entrepreneur, c'est la MARGE que degage son entreprise.
La corrélation "problème de trésorerie/realiser du CA" n 'a que peu de valeur. Le problème de tresorerie a une autre origine que le manque de CA (celui-ci rapporté au potentiel du point de vente) , c'est les quantités superflues fournies et la facturation , pour dire simplement, inadaptée.

DPM ce n'est pas cohérent d'attendre une réponse de gens que vous traitez d'abrutis.
Même si vous ne partagez pas notre vision, respectez vos interlocuteurs si vous souhaitez qu'ils le restent.
Nous avons expliqué nos arguments en faveur de ce mouvement. Libre à vous de les discuter, mais pourquoi un tel emportement , et pourquoi maintenant (après) alors que vous auriez pu défendre votre point de vue bien avant ?
Notre mouvement a atteint son premier but.
Les plus faibles vont crier au scandale.
Les puissants vont tenter de minimiser.
Nous allons poursuivre notre action.

oui grigri faite ce que je dis pas ce que je fais, j'ai du mal a comprendre votre boycott!!!

Désolé pour les contradicteurs, mais sur ce point, DPM a raison.
Restons lucides, et hors de radicalisme ou de jusque boutisme. Je sais, c'est difficile.
Se plomber pour espérer plomber par ricochet son fournisseur, rien n'est plus stupide. Le seul truc qui pourrait faire réagir la profession, c'est qu'un mouvement de diffuseurs (mais combien ?) est prêt à se saborder pour menacer l'ensemble. Mais comme les non ventes sur ce titre resteront invisibles au global, je n'y croie pas une seconde. Et si c'est visible, ca sera pris comme qq cas individuels, pas comme un mouvement collectif.
Refuser le rare bénéfice du métier, les nouveautés, est synonyme pour le client d'un magasin qui ne se renouvelle pas, qui n'a pas l'offre adaptée, bref, qui se meurt. Sans parler de l'image franchouillarde que le client préfère fuir et aller en GMS, où il n'y a jamais ça.
IL FAUT SE BATTRE OUI, mais comme ça ? en se sacrifiant aussi précipitament ? Ca ressemble plus à une action ultime et désespérée, qu'à autrechose et c'est domage.
On est plus fragiles que les éditeurs, à ce genre de jeu, on a de quoi être dégoutés, on perdra, et on sort le tapis rouge pour la GMS.

Apres farfelus, ridicule, , maintenant abrutis. M. DPM traiter vos collègues d'abrutis c'est débile.

Auriez vous en des périodes plus sombre de notre histoire traités d'abrutis ceux qui ont résistés, je ne pourrais le croire.
[/b]Ce sont toujours ceux résistent qui mettent en place les conditions d'un changement[b]

Derni?re modification le 03-10-2013 ? 07:56:30

En dessous de 70% d invendus pour LUI, on ne peut parler de boycott .
Descartes a clairement joué le boycott .
Pour les futures sorties ,je m' interroge très sérieusement .A défaut de boycott , je me contenterai de 45% d'invendus ....

123456, Il est légitime de choisir de quitter le métier.C'est un choix personnel.
Mais dans ce cas on est mal placé pour donner des conseils sur ce qu'il faut faire ou ne pas faire en matière d'action.

Il est naturel de voir en premier le problème que l'on peut se causer à soi-même.
C'est toutefois une vision nombriliste et incomplète du sujet.
Pour analyser le bien fondé d'une action il faut prendre en compte non seulement les effets sur soi mais aussi sur les autres et comparer les deux.
Vous ne prenez en compte que les effets sur les diffuseurs, oubliant de prendre en compte ceux sur les éditeurs. C'est une vision incomplète qui fausse le jugement.

Rappelons nous que les éditeurs vivent bien de ce système et que nous en vivons mal.
Ils ont donc beaucoup plus à perdre que nous.
Ne tenir compte que des effets sur nous revient à leur donner un blanc seing pour tout.
Nous ne sommes pas prêts à tout accepter pour qu'ils vivent bien de notre misère.
Vous avez choisi de quitter le navire parce que vous ne saviez pas comment faire pour améliorer vos conditions d'exercice. Ne venez pas nous donner de leçons s'il vous plaît ni nous faire la morale.
Vous n'avez pas obtenu ce que vous vouliez parce que vous avez accepté le diktat et n'avez pas eu le courage de vous y opposer. Ne critiquez pas ceux qui l'ont.
Tant qu'à tout perdre nous ne serons pas seuls et, rassurez-vous, il y a tant à ne pas perdre que les décideurs ne laisseront pas filer le morceau. Mieux vaut lâcher un peu que tout perdre.
Et si, par hasard improbable cela ne devait pas fonctionner nous aurions encore l'estime de nous car nous aurons au moins tenté de nous défendre jusqu'au bout au lieu de quitter le navire.
Rien ne dit que je ne le quitterai pas moi-même mais en ce cas je partirai satisfait d'avoir tout tenté pour remettre le bateau à flots : communication, actions, juridique, politique ...
Et je pourrai tirer un trait sur ce passé sans m'y accrocher ni tenter d'expliquer à ceux qui se défendent encore qu'ils ont tort dans tout ce qu'ils entreprennent. Je n'aurai peut-être pas su faire ou pas été là au bon moment mais jamais je ne tenterai de leur donner des conseils alors qu'en situation je n'avais pas réussi moi-même à faire ce qu'il fallait.

On parle de nous, nous sommes relayés

Vu sur Twitter

DistriKiosK ‏@DistriKiosK 1 Oct #Presse #Reseau Des diffuseurs en colère créent 1 blog.Messageries et Editeurs soyez attentifs vous avez besoin d'eux http://aadp.blog4ever.com/blog/forum_sujet-520736-136543-483397-piqure_de_rappel.html ?[/b]

Il est en effet difficile d'admettre avoir pris une mauvaise décision, précipitée ou pas aboutie.
Refuser de vendre ce qui est le plus facile, pénalise d'abord les points de ventes, et très peu l'amont du métier.
Quels sont les résultats de votre première initiative consistant à renvoyer massivement les bulletins d'abonnement vides début janvier ? N'ayant jamais évoqué les résultats ici, les conséquences doivent être bien faibles.
Quand au fait d'avoir quitté le métier, désolé, mais c'est au contraire, un message clair aux éditeurs que tant que leurs conditions seront les mêmes, ils perdront des pts de vte et de la visibilité. Si perdre plusieurs centaines milliers d'euros par magasin d'un coup ne leur fait rien; que dire de qq dizaines d'euros !
Eux ont perdu, pas moi. Ne faisons pas comme eux en renversant les rôles.

Nous ne sommes pas d'accord sur ce point.
En minimisant l'impact d'un lancement moins performant que prévu vous appuyez le discours des éditeurs qui clament, avant même de connaître les ventes, que c'est une réussite.
N'avez-vous pas le sentiment de faire leur jeu ?
Est-ce là l'intérêt de vos interventions ?
Je ne le crois pas. Vous minimisez systématiquement le pouvoir des diffuseurs car vous n'êtes pas en mesure d'imaginer les conséquences de leurs actes sur le système.
Vous n'avez pas pris la mesure de la situation et vous n'imaginez pas le changement qui est, peut-être, en train de s'opérer.
Au-delà des diffuseurs et des kiosquiers, un front de défenseurs de la presse est en train de naître. Il regroupe des éditeurs, des dépositaires, des journalistes, des consommateurs (qui ont tous un rôle social ne l'oublions pas et peuvent apporter leur contribution dans des domaines que nous ne connaissons que mal : droit, finances, social, communication, etc.).
D'ici peu, il comprendra aussi des politiques et des hommes d'Etat.
Car au-delà de notre condition de diffuseurs, c'est la liberté d'expression qui est en danger.

C'est justement parce qu'après avoir cotoyé éditeurs et messageries (les vrais décideurs) que je ne suis pas optimiste pour l'avenir.
IL FAUT un mouvement de diffuseurs, on est d'accord là-dessus. S'il y a plusieurs sensibilités, tant mieux.
Mais on a toujours eu du mal à peser, et ça risque d'être bien pire en cette période de baisse structurelle des ventes.
La lueur d'espoir, je l'ai plusieurs fois écrit, c'est la faillite de Presstalis, qui tombera un jour, de gré ou de force, et là, il y a intérêt à être présent, aux côtés de ceux qui sont déja avec nous, cad certains éditeurs et les P Publics. Personne ne peut dire dans quel délai, mais ça arrivera.
Se mettre tout le monde à dos présente ses risques...mais je peux me tromper.

le mot d'ordre était, est
ne pas faire la promotion de tous les nouveaux numéros 1..
rien de plus.
cela ne me parait pas bien méchant pour commencer.
le numéro 2 sera bien exposé
chacun peut interpréter le résultat comme il le désire.
la colère de PDM m'étonne un peu.
mais bon !!!!!!!!
il emploie ou employait sans doute le même langage avec ses diffuseurs..

SE PLAINDRE DE LA BAISSE DES FOURNIS, DE LA DISPARITION DE CERTAINS TITRES
qui s'est plaint de la baisse des fournis !!!!!!
au contraire cela nous réjouit.
si quelqu'un se plaint c'est toi ,baisse de ton ca pooooovre

Notre analyse diffère un peu.
Les vrai décideurs ne sont pas ceux que beaucoup imaginent.
Il est vrai qu'ils agissent masqués, représentés par des écrans.
PRESSTALIS est aujourd'hui un de ces écrans. Ce n'est plus comme hier. Le rendement s'étant réduit, la délégation des pouvoirs a été réduite et la liberté d'action avec.
PRESSTALIS donc, mais aussi le CSMP, la CDR, l'UNDP, le CEFODIP, et l'on en oublie, sont dirigés par des gens qui sont aux ordres de quelques décideurs, peu nombreux, qui se réunissent en off et distribuent les missions et les bons points.
Ajoutez un lobbying efficace et vous obtenez la situation actuelle qui n'a aucune raison de changer.
Sauf que ces décideurs sont confrontés à des choix cruciaux pour leurs entreprises.
A quoi bon continuer sur un marché en déclin, sans certitude face à l'avenir ?
Si l'Etat cautionne, voire cofinance, pourquoi pas.
Mais s'il se désengage, les mettant devant leurs responsabilités d'entrepreneurs, mieux vaut peut-être se retirer et placer son argent ailleurs.
Mais même dans ce cas là, il ne faut pas le faire en ordre dispersé, il faut le préparer. Il est nécessaire d'obtenir d'abord le maximum d'engagement de l'Etat pour valoriser l'entreprise et maximiser ses chances de vendre dans de meilleures conditions.
L'intérêt de l'Etat n'est pas le même que celui de ces entrepreneurs même si il existe des synergies.
L'Etat est en charge de l'emploi, de l'aménagement du territoire, de la pluralité d'opinions. Toutes choses qui ne sont pas du ressort ni de l'intérêt des investisseurs.
Rappelez-vous la réponse de Goldman Sachs : "on fait le job. Ce n'est pas nous qui faisons les règles."
C'est à l'Etat d'intervenir mais il dit le faire sans risquer de se mettre à dos ces entreprises dont le pouvoir de nuisance est fort (c'est d'ailleurs le seul critère de leur valorisation aujourd'hui).
Nous ne sommes que de petits grains de sable dans ce jeu.
Pourtant nous avons notre épingle à tirer de cette lutte entre géants.
Nous diffuseurs, sommes un intermédiaire entre les deux.
A ce titre nous pouvons servir de courroie de transmission.
L'Etat peut s'abriter derrière nous pour faire passer ses décisions.
Il sait que nous n'avons aucun intérêt à nuire à la filière qui nous alimente.
Contrairement aux ouvriers du livre nous n'avons pas "rien à perdre", nous avons besoin de l'outil.
Et les politiques savent fort bien que nous pouvons devenir des relais d'opinions efficaces.
Mais nous sommes exclus de la négociation et ne savons pas quels sont les réels enjeux discutés ni même le calendrier.
Alors il nous appartient de défendre notre point de vue et de le faire savoir largement.
Il nous appartiendra éventuellement d'alerter l'opinion publique en temps opportun.

Lacky, mdp
Je cite Pierre de Coubertin :
" l'important c'est de participer "
et j'ajoute :
pas UNE fois mais tout le temps !