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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Mais qu'est donc Union Presse ?

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À chaque numéro c'est pareil. Son propriétaire s'attribue le résultat d'actions pour lesquelles il n'est pour rien, voire même contre lesquelles il s'est positionné. Il se présente en permanence comme quelqu'un d'important, incontournable, très écouté et suivi, alors qu'il n'en est rien.

Dernièrement il a prétendu qu'il avait inspiré l'idée à la Présidente de l'ARCEP d'aborder le sujet de la rémunération. C'est évidemment un mensonge éhonté qui n'a pour objectif que de le valoriser.
La Présidente de l'ARCEP n'attend pas après lui pour savoir ce qu'elle doit faire. Elle remplit une mission, confiée par l'Assemblée Nationale, dont tout le monde peut connaître le contenu. Et, dans cette mission, il est mentionné qu'elle devra traiter le sujet de la rémunération des marchands, notoirement sous-dimensionnée. 

Par ailleurs, et si c'était nécessaire, l'AADP pourrait prouver que l'intervention "décisive" du dirigeant de CP est bien postérieure à la demande du représentant de l'AADP, comme en atteste un compte-rendu de réunion publique tenue dans les bureaux de l'ARCEP. 

Tous ceux qui nous suivent depuis quelques années savent bien tout cela. 
Mais beaucoup trop de marchands ne s'informent qu'en lisant ce journal malsain.
Et pour ceux-là, il contient forcément la vérité.
L'ARCEP peut-elle encore longtemps ces malfaisants désinformer notre corporation à son profit ?
A défaut de pouvoir s'en défaire totalement, peut-être serait-il souhaitable de les recadrer.
L'analyse du "nouveau contrat" qu'ils tentent d'imposer en toute discrétion (c.a.d. sans l'avoir soumis à la lecture de l'ARCEP), sera peut-être l'occasion de le faire. 

La question se pose de savoir ce qu'est ce journal. Est-ce un outil édité par un syndicat destiné à informer les marchands de presse ou est-ce un moyen de propagande diffusant des informations incomplètes, orientées et destinées à défendre les intérêts de ses dirigeants ?

Si ce journal doit continuer à bénéficier d'un traitement particulier pour atteindre son lectorat (les marchands de presse) il est indispensable que les informations qu'il diffuse soient vraies. Et s'il se positionne comme un outil syndical d'information des marchands, il n'est pas tolérable qu'il obère systématiquement l 'existence et la parole des autres représentants des marchands, à son seul profit. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Journal professionnel ou syndical qui ne donne la parole qu'a ses adhérents? 

Ce titre bénéficie de laCPAPP mais ne pourrait en tout cas pas bénéficier de l'aide au pluralisme, vu que son traitement des marchands de presse est à sens unique et ne donne la parole qu'a une seule organisation.

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Faux. Il ne donne la parole qu'à ses adhérents à condition qu'ils aillent dans son sens. 
Avez-vous jamais vu le moindre débat, la moindre opposition, la moindre mise en question ?
Jamais. C'est un outil de propagande orchestré par deux dirigeants. Certains adhérents refusent de servir de prête-nom et de cautionner les affirmations que ces deux dirigeant souhaitent leur faire porter pour donner une idée de communauté d'opinion de tous les adhérents, voire tous les marchands. Ils démissionnent ou se mettent en retrait du bureau de CP.  Quant à ceux qui refusent de démissionner, ils sont exclus. 

Absence de discussion, absence de transparence, absence de démocratie. 

Mais tant que les marchands laissent faire, cela n'a pas de raison de s'arrêter.
Tant que les grands éditeurs y trouveront leur intérêt, en obtenant la signature d'accords interprofessionnels s'imposant à tous les marchands, ils continueront à soutenir CP.
Tant que les politiques fermeront les yeux cette situation perdurera. 
il faut croire que tout le monde y trouve son intérêt. Sauf les marchands.

  
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Il ne donne la parole qu'à ses adhérents à condition qu'ils aillent dans son sens. 

Ne cherchez pas plus loin, c'est pourquoi nous en sommes où nous en sommes.
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Bonjour, 
Au sujet du magazine Union Presse , en janvier et février CP a inondé le réseau , j’ai rencontré Monsieur Detchart en compagnie de Monsieur Maton France Messagerie dans les locaux de l’Arcep , j’ai profité de cette rencontre pour interpeller ce représentant et demander le retour de son magazine en invendus , les deux semblaient me faire savoir que s’était un magazine professionnel et que cette obligation n’était pas pour cette spécificité, j’ai chercher je n’ai pas trouvé de réglementation en ce sens , savez-vous si c’est le cas . Monsieur Detchart me dit je peux vous rembourser faites moi un mail , mes collègues et moi-même adressons ce mail depuis le 13/02 , nous n’avons pas de réponse , j’ai adressé un nouveau  mail il y a 3 jours  pas de réponse non plus , nous attendons la prochaine réunion de l’Arcep en Mars pour aborder cette problématique, il est inadmissible que organisation syndicale oblige le réseau à un abonnement forcé, nous avons déjà prévenu France Messagerie que si un retour d’invendus n’était pas acté , nous nous retirerons de nos RGH les sommes . 

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Il n'existe pas d'obligation contractuelle ou légale de recevoir ce titre.
Ce n'est pas un titre commercial à destination de la clientèle des points de vente.
Il ne peut donc rentrer dans le palmarès des ventes du point de vente.
Et ne peut par conséquent pas faire partie de l'assortiment d'un point de vente. 
D'ailleurs, même s'il était intégré dans ce palmarès des ventes il ne ferait pas partie des meilleures ventes et n'intègrerait pas l'assortiment. 

C'est encore une fois un moyen de financement de Culture Presse, opéré avec l'assentiment et l'assistance d'une SADP. Et cela continuera tant que CP conservera une conduite conforme aux attentes des éditeurs et des SADP. C'est avec des contraintes comme celle-ci que les éditeurs et les messageries s'assurent de la bienveillance de cette "organisation de défense des marchands".  Si elle venait à prendre des orientations moins conciliantes il suffirait de ne plus distribuer cette revue dans les mêmes conditions avantageuses pour priver cette organisation de ressources. Ce n'est pas à proprement parler ce qu'on appelle l'indépendance. C'est plutôt un outil de contrôle et de maîtrise. Après cela il suffit aux éditeurs et messageries de ne reconnaître que cette organisation comme représentative des marchands et ils peuvent faire valider tous leurs projets sans contestation. Facile.
C'est pour cela que nous ne pouvons accepter, d'être  représentés par cet organisation qui ne dispose pas de l'indépendance indispensable pour mener des négociations au nom des marchands. 

Nous avons alerté les pouvoirs publics sur ce sujet. Ils laissent faire. 
Comme toujours, il faudrait traîner les contrevenants au droit en justice pour les empêcher de faire leurs malversations. Ce n'est pas normal. Les autorités sont informées et ne devraient pas rester sans réaction. Sommes-nous dans un état de droit ou une république bananière ?

En attendant, les malversations se poursuivent, pour le plus grand bonheur de ceux qui en tirent profit, au détriment des marchands. 

Evidemment, chaque marchand peut agir, à son niveau, et obtenir que ce titre ne lui soit plus livré et facturé. Les contrevenants savent très bien qu'ils ne gagneraient pas en justice et éviteront d'y aller, ce qui ne les empêchera pas de continuer avec tous ceux qui ne s'y opposeront pas. 
 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Union Presse n'est pas un titre professionnel et même un titre syndical selon la CPPAP.  Un titre professionnel indépendant  non rattaché à un syndical donnerait la parole à tous or ce n'est pas le cas. Seuls les adhérents de Culture Presse ont droit de cité.

L’inscription des journaux et périodiques auprès de la CPPAP permet de bénéficier des avantages du régime économique de la presse : taux réduit de TVA à 2,1 %, exonération de la contribution économique territoriale (CET), tarifs postaux privilégiés, accès aux aides à la presse. Elle revêt un caractère optionnel.


Ce titre pourrait peut-être retoqué par la CPPAP  puisqu'il a ce sésame  : ne pas consacrer plus de 2/3 de la surface à la publicité et annonces et ne pas apparaître comme étant l’accessoire promotionnel d’une activité commerciale ou industrielle. ;

Selon la CPPAP ce ne serait même pas une publication syndicale qui bénéficie d'un régime dérogatoire  :
Le régime particulier réservé aux publications syndicales concerne les publications d’information professionnelle éditées par les organisations syndicales représentatives de salariés. Les publications syndicales de retraités relèvent du même régime.
La publication syndicale s’adresse à des salariés : les organisations des professions indépendantes (commerçants, artisans, libéraux) sont donc par nature exclues, même lorsque les publications traitent de questions en relation avec le monde professionnel et contiennent une dimension sociale indéniable
.

Si c'est de la presse professionnelle c'est aussi grave car ce titre pourrait être adhérent de la FNPS  qui défend les intérêts des  éditeurs et donc se trouver face à Culture Presse qui "défend" les marchands . . .

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