www.marchandsdepresse.com

Avis aux adhérents maison de la presse et mag'presse.
NAP détient maintenant 75% de la SEDDIF. (Presstalis venant de céder 25% de ses parts, il devient minoritaire).

Un nouveau contrat va etre adressé aux adhérents, en voici les points importants

-Vous ne serez plus rémunéré pour les mises en avant des magazines mais vous serez tenu de les faire quand même.La cotisation annuelle est maintenue avec une légère baisse.

-NAP veut imposer son système informatique (un partenariat avec BI MEDIA a été signé)...tant pis pour ceux qui ont un autre système.

Ce nouveau système informatique imposera un seul et unique fournisseur de téléphonie : EVODIAL.
je rappelle que le module "box parisien" ne fonctionne pas avec BI MEDIA.

C'est du foutage de gueule .je ne signerai pas ce contrat et tant pis pour l'enseigne "maison de la presse"  que je déposerai sans difficulté.

NAP marche sur la tête.

ah bon ! c'est pas mal comme système. Surtout pour ceux qui aiment travailler pour la gloire, et ils sont nombreux dans la presse.

Oui Gamma, NAP poursuit : après la borne FREE , work free

Pour la borne Free? On me l'avait proposé 15 jours après la mise en place du partenariat exclusif   Seddif-Free . et on me l'a encore proposé il y deux semaines.

A contacter:


- Le bureau national de l'UNDP    ....         menbres de la Seddif


. Daniel Panetto, président national                                            MAG PRESSE (Seddif)
. Monika Gerhardy, vice-présidente nationale et trésorière     MAG PRESSE [b](Seddif)[/b]
. Christian Andrieux, secrétaire national                               MAG PRESSE [b](Seddif)[/b]
. François Teilary                                                            MAISON DE LA RESSE [b](Seddif)


ou   sur Twitter    @PlumebleueMdpma



[/b]

Dernière modification le lundi 16 Mars 2015 à 14:39:07

Comment des intermédiaires pourraient ils se rajouter alors que nous mêmes sommes sous-rémunérés ?

Si j'ai bien compris,
ancien adhérent seddif = ancien contrat
nouveau adhérent = nouveau contrat
mais ancien adhérent pas de nouveau contrat

Et pourquoi pas un nouvel intermédiaire, si les prix proposés sont plus intéressants que ceux pratiqués par les intermédiaires déjà sur place ?

Ne peut on pas espérer par un regroupement de meilleurs prix sur les achats, et puis aussi sur les assurances, matériels incendies, éclairage, photocopieur...

N'est ce pas ce que font les GMS ou d'autres entreprises ?

Bien sûr que l'on peut espérer.
Mais la réalisation serait plus probable avec une coopérative de marchands de presse que par un franchiseur qui attend avant tout des résultats pour lui-même.

Je n'ai jamais cru que quelqu'un investissait pour assurer ma progression.
En revanche il est beaucoup plus crédible qu'une association de marchands sous forme de coopérative puisse comme vous l'évoquez obtenir des prix plus bas.
La forme coopérative permet de garder la main sur la gestion.
La coopérative ne travaille pas pour gagner de l'argent mais en faire gagner à ses adhérents.
Ceux-ci peuvent prendre les économies pour leur propre compte ou décider d'en réinvestir une partie dans la coopérative pour lui donner plus de moyens de se développer (mais toujours dans le but d'améliorer les conditions de ses adhérents).

Ce n'est pas faux,

mais actuellement il n'y a pas cela sur le marché...

donc pour l'instant, faut faire avec...

La forme coopérative....oui en théorie, au service de l'adhérent. Mais au bout de qq temps, ce sont toujours les adhérents au service de leur structure coopérative. Ca se vérifie dans le monde agricole, pour les messageries de presse et tant d'autres. La structure est devenue forte, grâce aux avantages fiscaux. Une coopérative vit toujours au crochet de la société. La concurrence est faussée, et les administrateurs ont une place de choix, parfois enviable, sans faire grand chose.
Si la coopérative fait des pertes, les administrateurs ne sont bizarrement plus responsables (agriculture, comme messageries) c'est l'Etat qui comble. En cas de gains, ça s'appelle un excédent souvent ré investi, rarement partagé. Mais les excédents sont rarement constatés, car ce n'est pas l'intérêt des coopératives d'être dans le positif.

Prenez l'exemple de MAJUSCULE, coopérative de papetiers.
Je ne dis pas que tout est idéal mais cela fonctionne.
C'est une question d'état d'esprit et de personnes.
L'objectif de la centrale n'est pas de faire du profit mais d'améliorer les marges de ses adhérents.
Bien sûr quelques adhérents importants disposent de plus de moyens mais malgré tout le système un adhérent une voix et une composition du Conseil d'administration tenant compte des différents types d'adhérents (et il y en a beaucoup : magasins de centre ville, magasins périurbains, VPCistes, spécialisés scolaires, libraires,bureau,  beaux arts, taille et localisation, etc.) fonctionne.
Les excédents quand il y en a, sont redistribués. Les investissements sont planifiés et mutualisés.
Les budgets sont validés par les adhérents.

Qu'est ce qui nous empêche de faire de même ?

Quand ça paraît comme ça, oui. Mais attention, il peut aussi y avoir des mauvaises surprises.
Comme pour un entrepreneur, un commerçant, une banque...chacun donne a son comptable des éléments non vérifiés et presque pas vérifiables (stocks, avancement de travaux, en cours, consolidations, oublis...). Une mauvaise situation peut être cachée. Parfois, c'est rattrapé sur du court terme. Parfois, la fuite en avant explose.
C'est le cas de plusieurs coopératives agricoles céréalières que je connais.
Souvenez vous aussi de la camif, qui n'avait aucune raison de capoter, vu le monopole...
Il faut rester méfiant tous ces groupements, mutualistes. Sans être non plus obsédé, ma banque et mon assurance le sont.
Le faire pour du hors presse, pourquoi pas. Mais Presstalis, Seddif, MLP ne l'ont pas fait. Pourquoi ?
Autant utiliser Majuscule, si c'est si bien que ça ? Pourquoi seraient-ils contre ?

Ce qui nous empêche de le faire c'est quelqu'un qui accepte d'investir beaucoup d'énergie, au moins au début, et peut être une avance de trésorerie le temps de recruter des adhérents pour que le projet prenne forme (entrepôt, local administratif éventuellement, constitution du stock etc..).

Pas forcément super évident. Sinon cela serait déjà fait, non?

Majuscule n'a aucune ambition de se développer dans un autre domaine que la papeterie.
Il y a déjà bien suffisamment à faire pour défendre ce domaine sans aller chercher à se diversifier dans des mondes moins biens connus et maîtrisés.

Ce n'est effectivement pas évident quand on part de zéro (pas de capitaux, pas d'adhérents, pas de permanents ). Mais je reste persuadé que cela vaut le coup d'y réfléchir ensemble.
Beaucoup de nos anciens confrères ou de ceux qui vont maintenant quitter la profession par manque de rentabilité seraient surement prêts à participer du côté "permanents", avec une bonne connaissance du dossier. Plusieurs d'entre nous seraient certainement intéressés.
D'autant que cette autonomie nous donnerait enfin le contre-pouvoir financier nécessaire pour négocier avec les éditeurs.

 

A-t'on le droit de nous faire signer un nouveau contrat ?

non,les anciens contrats restent valables,les 2 parties se sont engagées lors de la signature donc pas d'obligation de signer le nouveau contrat

Selon vous , les dispositifs de mise en avant seront toujours rémunérés ?
Seul les nouveaux arrivants dans le réseau auront pour obligation de s'informatiser chez bi media et ne seront par contre plus rémunérés pour les mises en avant de publication ?

sauf erreur on passerait en douceur d'un contrat d'enseigne à un contrat de franchise ?

ça m'en a  tout l'air

Qu'en pensent les gens de Plume Bleue ?  ils doivent bien en parler dans le groupe fermé sur Facebook ?

la seddif va réduire la rémunération des mises en avant progressivement  pour les anciens contrats
et la supprimer pour les nouveaux

moi j'appelle cela de la discrimination à l'embauche

Ca va pas donner envie d'y aller.

SEDDIF

Sa centrale d'achat répond plus largement aux besoins d'approvisionnement des 27 000 points de vente de presse indépendants, et les accompagne dans la diversification de leurs activités. Grâce à ses solutions d'approvisionnement, à la forte capillarité de sa distribution et à l'ensemble des solutions clés en main proposées aux magasins, NAP se positionne comme l'allié des commerces de proximité

http://www.cadresonline.com/emploi-category+manager-692198.html

L'Association du réseau SEDDIF confirme dans l'immédiat la distinction entre nouveau et ancien contrat, et se désole que beaucoup d'informations non officielles circulent suite à Expopresse mais tient à laisser les dirigeants de NAP expliciter leur vision d'avenir à travers plus de trente réunions d'informations sur tout le territoire avec tous les MDP et Magpresse afin que chacun d'entre eux puissent avoir son propre ressenti... 

c'est infos non officielles, pourraient aussi être des fuites volontairement organisés pour prendre la température du réseau.

 
Elles ne peuvent donc venir que des gens présents sur les stands!  problème de communication ?
 

Gamma, ces infos ont été relayées pas un commercial SEDDIF....

CQFD !
Attendons donc les réunions organisées par la direction de NAP (et j'insiste sur NAP) pour avoir les informations et bonnes réponses aux questions...

Je confirme les informations de jojo

En cas de cession ou création, un nouveau contrat sera établi.

Cette information nous donne deux renseignements.
1/ Les fonds de commerce Seddif perde de la valeur car les ré preneurs ne bénéficieront pas des mêmes avantages.
2/ L'orientation est donnée : le franchiseur va améliorer la rentabilité de son affaire sur le dos de ses adhérents.

Dans les articles parus sur le sujet, le dirigeant de NAP a déjà expliqué que ce qui faisait la valeur potentielle de son affaire c'est la taille du réseau (pas la qualité de ses dirigeants de magasins ).
Et il a reconnu que le point faible est le peu de rentabilité du secteur d'activité.

Cela ne me donne pas confiance.

Cette information nous donne deux renseignements.
1/ Les fonds de commerce Seddif perde de la valeur car les ré preneurs ne bénéficieront pas des mêmes avantages.
2/ L'orientation est donnée : le franchiseur va améliorer la rentabilité de son affaire sur le dos de ses adhérents.

Dans les articles parus sur le sujet, le dirigeant de NAP a déjà expliqué que ce qui faisait la valeur potentielle de son affaire c'est la taille du réseau (pas la qualité de ses dirigeants de magasins ).
Et il a reconnu que le point faible est le peu de rentabilité du secteur d'activité.

Cela ne me donne pas confiance.