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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Passage de 1500 Titres à 150 titres

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Bonsoir,

Le sujet a certainement été déjà abordé, mais étant nouvelle sur le forum je n'ai pas trouvé l'info.

Mon point de vente est un Tabac Presse Loto PMU, la presse occupe les 3/4 de mon magasin.
J'ai commencé à réduire un peu l'espace presse mais je souhaiterais passer au mini soit 150 titres.
Mon dépôt me dit que cela n'est pas possible, qu'il faut passer devant une commission et que la commission peut refuser.

Quel sont les recours?
Des retours d'expériences seraient très utilises.

En vous remerciant par avance.

Bien cordialement

Endora83

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vous avez du faire le stage presse je suppose 
avez vous compris la facturation de tout ce qui vous est livré ?
ce n'est pas pour me moquer de vous que je pose cette question , mais tout découle de la 
avez vous compris que vous payez le stock , tout le stock , avec des variations de remboursements (invendus) sur certains produits 
l'exemple type ce sont les RD  qui vous sont facturés sous 56 jours (7*8semaines)  alors que les invendus de ces mêmes  RD ne se font qu'après 61 jours (bimestriel 30+31jours
posez vous la question comment connaître les ventes si vous ne connaissez pas les invendus .
de cela on tire la conclusion que chaque marchand paie son stock livré .
vous comprenez facilement que si vous avez 10000 euros de stock ce qui est le CA du dépôt et que vous voulez passer à 1000 euros , ce même dépositaire ne va pas être d'accord .
la peur doit changer de camp

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vous donner des conseils ,c'est délicat .cela dépend de votre situation .la presse vous bouffe de la trésorerie c'est certain , tout dépend du % d'invendus que vous avez , et du nombre de clients qui viennent acheter de la presse .
est ce que vous avez une employée qui passe sa matinée à ranger et compter les livraisons 
tout rentre en jeux.
êtes vous prête à aller au bras de fer avec votre dépositaire .
Descartes vous donnera sans aucun doute d'autres solutions .
mon avis est que LOTTO ,PMU sont des activités ou il n'y a aucune avance de trésorerie .
il est préférable de se diversifier dans le TAXABLE plutôt que de payer une rente au dépositaire .
la peur doit changer de camp

Endora83,
Tout part de ce que vous voulez, et de ce que vous pouvez faire. En théorie, vous avez librement la possibilité de réduire votre linéaire à la taille que vous choisissez, ou d'arrêter complètement l'activité pour faire autre chose. Votre magasin est à vous, pas au dépositaire.
Votre demande est celle que l'on retrouve très souvent chez beaucoup de diffuseurs, pour les mêmes raisons que vous.
Un dépositaire, comme les messageries et les éditeurs n'a aucun intérêt à perdre des mètres linéaires : ces demandes sont toujours refusées, c'est la consigne de base, étendue à toute la France, pour tout indépendant isolé qui se sent pénalisé par la presse, à tort ou à raison.
Le "non dit" dans l'amont du métier est qu'un diffuseur qui réduit son offre de presse, réduit son attractivité et sa fréquentation. C'est vrai, mais variable selon les magasins, et avec tabac, loto et PMU, le risque est infime. Voyez également les seuils de rémunérations de la presse pour éviter de voir votre rem. de base se réduire.
j'ai été responsable undp qq années, et je sais comment ça se passe. Il y a un truc à faire ; réduisez votre linéaire sans attendre leur réponse. Vous leur direz que la presse dans les conditions actuelle menace votre commerce, et que vous devez le gérer pour ne pas le compromettre : ça ils le savent bien, ils ne peuvent absolument pas le nier. A vous d'avoir un projet qui tient la route, avec les 150 titres ou sans presse du tout ; à vous de les convaincre.
Je sais, les conseilleurs ne sont pas les payeurs, et il faut oser ; pour sauver mon propre commerce, j'ai stoppé complètement la presse, et j'en vis mieux : à méditer.

Le + : Ne dites jamais que la raison de votre choix est l'incidence sur la trésorerie. L'argument leur est facile à démonter.
Dites leur simplement et sans agressivité que c'est le manque de rentabilité, et les très mauvaises conditions d'approvisionnement qui sont la cause de votre choix.

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Le + : Ne dites jamais que la raison de votre choix est l'incidence sur la trésorerie.


Sous entendu: vous n'avancez pas de trésorerie. 123456 toujours aussi indécrottable sur ce sujet.
Un exemple parmi tant d'autre:
Chasseur français 02714 n°1449 paru le 27/10 (S43) débit sur RH 45
Rappel le vendredi 01/12 (S48) crédit sur RH 49 soit quatre semaines durant lesquels je paie mes invendus.
N° 1450 paru le 29/11 (S48) débit sur RH 50.
Voilà une semaine entre le crédit et le débit.

Pingu.
Votre exemple est insuffisant et orienté : tout dépend si vous vendez ou pas la revue, et combien vous en recevez par rapport à vos ventes.
Vous partez du principe qu'il y a 0 ventes. Dans ce cas, oui, il y a avance de trésorerie.
Vous et bien d'autres ne voulez pas comprendre le sujet de la trésorerie. Il faut raisonner au global. Car certains titres génèrent de la sortie de tréso, d'autres (quotidiens, hebdos et tout le reste vendu avant le décaissement) génère de la trésorerie positive.
Donc, votre exemple montre qu'il y a sortie de tréso, (pour la partie non vendue) et sur une période assez courte. Le décaissement étant fait une semaine après le RH 45.
En oubliant trop facilement ce qui donne du sens à la réalité (voir le détail et non l'ensemble), vous vous décrédibiliserez sur ce sujet face aux dépositaires et messageries.

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Même les éditeurs et les messageries avec lesquels nous discutons quotidiennement sont conscientes du fait que nous, marchands, avançons de la trésorerie. Les représentants de l'Etat en sont également convaincus. Seul 123456 le nie.

Ceci dit, ce n'est pas le sujet de ce post.
Si notre Droit était respecté nous serions livrés de quantités adaptées à nos ventes.
Ce n'est pas le cas et tout le monde le sait.
Le DG du Conseil Supérieur des Messageries qui gère la filière, au lieu de tenter de rétablir ce droit, va jusqu'à déclarer que nous ne sommes pas obligés de faire ce métier. Cela résume bien la situation. Vous êtes en droit de demander la réduction de votre linéaire mais ils ne le respecteront pas, préférant vous voir quitter le métier que de réduire votre approvisionnement (pour les raisons financières évoquées par Hypso).
Votre dépositaire reçoit lui aussi des quantités excessives et il est tenu par contrat de tout refacturer aux marchands qu'il livre. Il ne doit rien garder par devers lui sous peine de se voir retirer son mandat.
La seule possibilité aujourd'hui est de leur demander par écrit RAR, avec copies simples à la DGMIC et au Ministère, s'ils préfèrent que vous réduisiez votre rayon ou que vous arrêtiez totalement l'activité de distribution de la presse. Ainsi vous reportez la décision sur eux et ils auront du mal à justifier par écrit de leur position.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Le + : Ne dites jamais que la raison de votre choix est l'incidence sur la trésorerie. L'argument leur est facile à démonter.
Dites leur simplement et sans agressivité que c'est le manque de rentabilité, et les très mauvaises conditions d'approvisionnement qui sont la cause de votre choix.
cher collègue endora83
après avoir lu les interventions ci dessus il n'y a plus besoin de vous faire un dessin 
le représentant de feu le syndicat UNDP qui a été formateur presse , écrit et soutient que vous n'avancez pas un centime , c'est normal il est à la solde des distributeurs .
mais si vous vous posez la question de savoir si vous pouvez diminuer votre stock , c'est bien parce que vous vous êtes rendu compte que la presse vous bouffait de la trésorerie .
je ne connais AUCUN commerçant qui voudrait réduire son activité sur un créneau ou il gagnerait de l'argent .
dire au distributeur que vous voulez réduire à cause de la distribution , c'est lui dire qu'il fait MAL son métier 
lui dire que c'est à cause de la rentabilité c'est aussi lui dire qu'il fait très MAL son métier , puisque c'est lui qui vous inonde de titres non vendeurs et en quantité débile .
donc l'argumentaire du formateur de l'UNDP est à côté de la plaque 
ceci dit cela ne règle pas votre problème .
faire descendre votre stock par vous même comme il vous conseille est impossible .lorsque je lis cela je n'en crois pas mes yeux .même si vous renvoyez 50% de vos livraisons ,  la facture à l'arrivée vous fera redescendre sur terre.
c'est simple à comprendre TOUT ce qui est sorti du Dépôt doit être facturé et payé .
la seule solution c'est soit de fermer la presse ( bien calculer le % global des invendus du magasin .au dessus de 37% vous perdez de l'argent .c'est mathématique ) ou plutôt dans un premier temps faire comme le conseille Descartes et voir le résultat .
ATTENTION surtout ne pas attendre 1 an pour réagir , beaucoup de Marchands doivent fermer boutique à cause de la presse 
de plus avec l'augmentation du tabac ,il faut la jouer très stricte . 
la peur doit changer de camp

A chacun de trier le bon grain de l'ivraie.
L'aadp se veut défenseur des diffuseurs. Pourquoi alors reporter une décision que chacun de vous souhaite prendre sur une autorisation à demander (ce qu'ils préfèrent !!!) à vos fournisseurs ?  
Je rêve. Venu de votre part, cette phrase montre bien à quel point vous vous soumettez vous mêmes.
Oui, un diffuseur doit réduire son linéaire s'il le souhaite, sans demander d'autorisation. Parce que sa survie est là.
Oui, vous serez certainement emmerdés par votre dépositaire qui vous mettra de la pression qq temps. N'oubliez pas que la pression, c'est lui qui l'a, et que si vous êtes si sûrs que la presse vous plombe, c'est vous seuls qui êtes pénalisés.
Et très vite, le dépôt adaptera ses livraisons chez vous, car le contrat qui vous lie à lui dit bien que le diffuseur choisit la taille de son linéaire, et que les livraisons se font d'après ce linéaire. Pas le contraire. Relisez votre contrat.
Le dépôt ne laissera pas ses bacs à l'extérieur de votre magasin ou du sas. A vous d'être là le matin qq jours. En étant prêt à ne rien prendre 1 ou 2 jours si ils ne veulent pas adapter les livraisons à votre nouveau linéaire, ça vaut le coup.
Ne tombez pas dans cette attitude de gentil toutou aux ordres de vos fournisseurs.
Ils se foutent de vous, bien protégés par les habitudes et les menaces qu'ils ne tiendront pas plus de 2 jours, sous peine de perdre un magasin de plus.

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Bonjour,

Je tenais à remercier tous les intervenants pour leur retour d'expérience et leur conseil.

Cela va nous être très précieux pour la suite.

Bien cordialement,

Chris (endora83)

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123456
mais alors dites nous pourquoi vous grand défenseur des Dépôts  , formateur hors paire du systême , vous avez liquidé la Presse .
vous parlez sans savoir .
sachez que j'ai tout tenté pour faire baisser les stocks .
j'ai fermé la presse , 1semaine , puis 15 jours , puis 1 mois .
a chaque réouverture j'avais les cartons d'une semaine ,de 15 jours et même d'un mois avec les factures.
je me suis rendu compte que le systéme était vérouiilé de A à Z .ce qui prouve que ceux qui ont mis en place la FAUSSE FACTURATION savaient à l'avance qu'il allait y avoir de gros problèmes 
j'ai alors tout mis sur excel 
la copie conforme des bordereaux de livraison , sauf que sur la partie invendus j'ai calculé moi même à côté de la colonne invendus le total des livraisons concernant ces invendus et c'est la que je me suis rendu compte jour aprés jour qu'il y avait un sérieux loup une grosse différence entre la somme des livraisons journalières et celle des "livraisons-invendus réclamés "
j'ai fait une copie d'une semaine que j'ai envoyé à mon distributeur et comme par miracle tout a été réglé.
mes livraisons sont passées à 150 titres
pourquoi je suis prudent avec ENDORA 83
tout simplement parce que , moi je sais ce que je ferais, mais je ne veux pas l'envoyer au casse -pipe.
ça me semble logique  

 
la peur doit changer de camp

Le casse pipe, c'est continuer une activité qui fait perdre de l'argent et/ou qui ne convient pas.
Sur ce site, on a plutôt tendance à voir des gens très insatisfaits, souvent désemparés, et qui demandent un éclairage.
Ce n'est évidemment pas la vérité absolue, mais j'apporte mon témoignage, qui ne va pas dans le sens du poil, c'est tout l'intérêt. Pour moi, chaque gérant de magasin est plus important que la filière de la presse. Simplement, il est souvent mal conseillé (pas techniquement, mais "politiquement") car orienté par le métier.
N'oubliez pas que ce n'est pas moi qui ai besoin de conseils : j'ai transformé un magasin qui perdait de l'argent en magasin qui en gagne, peu, mais qui permet de bien mieux vivre qu'au temps de la presse.
Regardez bien les réponses à la question d'Endora83. Celle concernant la facturation est fausse et hors sujet ; Pingu ne s'adresse pas à Endora, et Descartes n'apporte rien de concret...La réponse d'Endora est bien trop polie pour le contenu des avis, conseils et réponses.

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123456, qui a parlé de trésorerie et donc de facturation ?
"Ne dites jamais que la raison de votre choix est l'incidence sur la trésorerie."
Quand à mon exemple au global comme vous dîtes, suivant le point de vente il faut le multiplier par 100, 200 titres et plus.
Et ce que vous ne voulez pas voir, c'est que je démontre dans mon exemple que le différé de deux semaines sur les mensuels, par le jeu sur les dates de parution et de rappel est réduit à une semaine. La règle du un n° chasse l'autre n'existe plus. Vous avez quitté la profession et beaucoup de choses ont changées depuis.

Pingu, si vous ne regardez que les flux financiers sortant, vous avez raison, et êtes même en dessous de la réalité.
Mais n'oubliez pas tout ce que vous vendez.
Et oui, les choses ont changé : les mensuels étaient au paiement comptant il y a encore qq années, maintenant, c'est du différé. Regardez quel jour exact vous serez débité du mensuel que vous avez reçu ce matin par ex...ça sera dans plus d'un mois.
Il est vrai que les rappels tardifs, les abus, les erreurs et les libertés que prennent certains titres viennent plomber la théorie. Mais rappelez vous que ça existait aussi avant. Ca, ça n'a pas changé.

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Deux choses essentielles ont changé qui donnent raison à PINGU.
1/ Les ventes de quotidiens et d'hebdomadaires se sont réduites de manière importante limitant d'autant les encaissements avant paiement.
2/ Les dysfonctionnements volontaires et non maîtrisés se sont multipliés de manière importante, favorisant la principale messagerie qui en profite au détriment des marchands et des éditeurs.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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j'adore la réponse de 123456
en fait il n'y a pas de réponse .
il n'explique pas POURQUOI  ,lui le grand formateur à 700 euros la journée ,il a quitté la presse 
POURQUOI  ??????
la peur doit changer de camp

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Descartes 
avons nous des infos sur un possible dépôt de bilan de Presstalis .
la peur doit changer de camp

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Presstalis vient de demander cette semaine la nomination d'un mandataire ad hoc au tribunal de commerce. (information d'hier)
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Pourquoi : réponse simple, sans cesse évoquée ici.
- Manque de rentabilité sur la presse, qui vide sournoisement les fonds propres en qq années.
- Référencement ou assortiment de la presse refusés.
- Verrouillage du système qui empêche une influence suffisante du réseau.
- Double langage perpétuel de nos fournisseurs pour gagner du temps.
- On peut faire bien mieux sans, en se montrant entreprenant au lieu de laisser filer.
Et uniquement pour la cervelle défaillante, formateur à 700 euros, ça n'existe pas.

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123456,
Regardez quel jour exact vous serez débité du mensuel que vous avez reçu ce matin par ex...ça sera dans plus d'un mois.


Les mensuels: différé à deux semaines.

Sachant que du comptant = entre 12 et 17 jours... quel jour exact pour le débit du différé ?

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123456, ou l'art de noyer le poisson......

Si vous pouvez affirmer que je me trompe, vous aurez raison.
Si vous pensez qu'il vaut mieux payer comptant qu'en différé, vous aurez aussi raison.
Toujours pas de date de paiement ?

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comptant = 12 à 17 jours (suivant jour de livraison) mais en tenant compte du délai de paiement (entre date de facture et échéance réelle).
Dans ce cas il faut aussi tenir compte de ce délai dans le crédit d'invendus.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

On en a déja parlé, ce n'est pas compliqué.
Il faut partir du 1° jour ou vous pouvez encaisser, jusqu'à celui ou la revue est débitée.
Tout mensuel est prélevé à un mois.

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voila que 123456 va nous dire aujourd'hui qu'il faisait les stages gratuitement .
les Anglais donnent un nom à ce genre de mec 
"flag of convenience"
je serais plus direct je dirais "menteur et voleur "
un mensuel à un mois 
un hebdo à 7 jours 
très fort le mec !!!!!!!
j'aurais jamais deviné.
sauf pour le bimestriel 
à 56 jours alors que les rappels se font à 61 jours .
encore plus fort .
la vente au numéro réussit à encaisser des factures sans avoir les invendus , ce qui veut dire simplement que ce sont des fausses factures .
la peur doit changer de camp

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Et il faut aussi partir du jour où vous ne pouvez plus encaisser (rappel) jusqu'au jour où vous encaissez le crédit d'invendus (qui n'est pas non plus le jour où vos invendus sont crédités comptablement).

Mais peu importe que 123456 n'ai pas compris ou qu'il fasse semblant de ne pas comprendre que le système actuel défavorise nos trésoreries, il n'est ni décideur ni à leur contact.
L'essentiel est que les décideurs alertés par nos démarches l'aient compris.
Je me souviens d'un interlocuteur à Matignon qui trouvait cela évident.
Bien d'autres ont admis l'irrégularité de ce système au Ministère, à tel point qu'ils ont imposé des mesures transitoires (RD/mensuels) et définitives (facturation des ventes).
Mais sans doute sont ils tous des imbéciles car 123456 vous le certifie : il a raison.
Est-ce bien nécessaire de continuer de discuter avec lui de ce sujet ?
Je ne le crois pas et nous avons autre chose à faire.

Les 15 jours qui viennent s'annoncent intéressants. Vous verrez !
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Vous avez raison de vouloir abandonner sur ce débat : chacun d'entre vous verra bien quand il mettra les compteurs à O en quittant le métier.
Si vous avancez de l'argent, vous percevrez la partie avancée.
Sinon, c'est vous qui en remettrez, comme je l'ai fait, et comme c'est encore le cas sur les échos que j'ai au sujet des mutations.
Mais dans tous les cas, vous pouvez bien sûr utiliser cet argument, qui compensera ceux d'en face.
Les 15 jours qui viennent sont prometteurs. Mais on a tellement été déçus de ce qu'on attendait. Je ne vous cache pas que hors de la profession, je suis beaucoup plus à l'aise que vous, surtout si les choses sont catastrophiques et urgentes. Une implosion brutale du système n'est pas envisageable sans reconstruction autoritaire de l'Etat. Or, ce métier baigne dans le consensus mielleux et inefficace. Quitte ou double.

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Hors-ligne
Dans les informations sur les mutations que vous avez, les surcommissions en attente sont elles prises en compte ? Pour mémoire ces compléments de commissions représentent 30 à 40% des commissions perçues sur un exercice et elles sont actuellement versées avec 7 à 9 mois de décalage par rapport aux ventes effectives.

Je comprends votre méfiance liée à votre expérience passée.
Toutefois, convenez que deux choses ont changé.
1/ Le gouvernement est moins lié que les précédents et semble parti pour prendre le sujet à son compte.
2/ La représentation des intérêts des marchands a changé avec l'arrivée de l'AADP

Je suis comme vous, incertain sur les décisions qui seront prises, quoiqu'étant au contact direct. Tant que rien n'est fait ... Toutefois je suis optimiste (c'est de nature) et je constate des changements de positions par rapports aux différents gouvernements précédents. Reste à voir si cela ira au bout, et dans quelle proportion les changements seront apportés dans ce cas. Une seule chose est sûre, le système ne restera pas inchangé comme il l'a été depuis trop longtemps. 
Par notre action nous tâcherons d'éviter que le projet de remise à plat initié par le gouvernement ne se transforme une fois de plus, du fait de l'urgence Presstalis, en une solution d'urgence sans suite. Mais je crois sincèrement qu'avec le fait d'avoir manoeuvré de manière opaque en sachant pertinemment que le projet SIC ne porterait pas les fruits attendus, la gouvernance actuelle a tiré ses dernières cartouches en matière de crédibilité.
De même qu'elle ne pourra pas s'opposer à la normalisation de la logistique qui aurait déjà due être mise en place depuis longtemps. 
Il va donc y avoir du changement...
Soyons patients, nous arrivons au terme de nos interrogations.
Sur la base du résultat nous pourrons nous positionner.
En attendant, nous devons être le plus nombreux possible à porter les valeurs de la réforme. Nous oeuvrons en ce sens comme vous pourrez le constater d'ici deux semaines. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Descartes
Bon courage l'ami .et encore merci pour votre dévouement ainsi qu'à Neiges .
la peur doit changer de camp



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