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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse


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Bonnet Blanc, Blanc Bonnet

L'Etat met encore la main à la poche.

" J'arrête on efface mes dettes, je vire le perso, on me file des roros et je repars pour un tour  !"
Quel entrepreneur pourrait de payer ce luxe !!

Demain, je dépose le bilan de " La Presse du Bazar",  garde tout le matos mobilier et immobilier, vire le perso et mes créanciers disparaissent

Apres demain j'ouvre "Le Bazar de la Presse " je me rempli les poches, j'amuse un peu la galerie quelques mois voire 2 ou 3 ans, juste le temps de tout digitaliser pour lequel on me prête des roros que je ne rendrai jamais

Plus belle la vie, non Plus belle la presse !
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Fausse manip

Revoici le message POSTE par SURFY


ACCUEILSOCIÉTÉPresstalis devient France Messagerie après validation de l'offre de reprise 16h10, le 01 juillet 2020AA

Presstalis, entreprise qui s’occupe de distribuer les journaux et les magazines, a déposé le bilan fin avril © Bertrand GUAY / AFPPartagez sur :https://www.europe1.fr/societe/presstalis-devient-france-messagerie-apres-validation-de-loffre-de-reprise-3978575" target="_blank" rel="nofollow">[/url"> target="_blank" rel="nofollow">Le tribunal de commerce de Paris a validé l'offre de la coopérative des quotidiens pour la reprise de Presstalis, qui devient France Messagerie, a indiqué le repreneur mercredi.[url=https://www.europe1.fr/emissions/linfo-media-du-jour/louis-dreyfus-il-faut-absolument-eviter-larret-de-la-distribution-de-la-presse-3964648]Presstalis, entreprise qui s’occupe de distribuer les journaux et les magazines, a déposé le bilan fin avril. Le tribunal de commerce de Paris a validé l'offre de la coopérative des quotidiens pour la reprise de Presstalis, qui devient France Messagerie, a indiqué le repreneur mercredi. "La priorité de France Messagerie, forte de plus de 250 salariés, est désormais de construire des relations de confiance, transparentes et durables, avec l'ensemble des acteurs de la filière", indique Louis Dreyfus, président du directoire du Monde et de la coopérative des quotidiens, dans un communiqué. PUBLICITÉLIRE AUSSI - [url=https://www.europe1.fr/emissions/C-est-arrive-demain/faillite-de-presstalis-la-presse-papier-plus-que-jamais-menacee-3974913]Faillite de Presstalis : la presse papier plus que jamais menacéeAccablé de dettes, le principal distributeur de presse en France avait évité la fermeture mi-mai mais avait vu ses filiales en régions liquidées, avec plus de 500 salariés sur la sellette. De longues tractations avec les magazines, actionnaires majoritaires de Presstalis, avaient échoué. Les quotidiens ont fini par déposer une offre unique, avec le soutien de quelques groupes de magazines, et un large accompagnement de l'Etat."France Messagerie devra travailler sans relâche pour pérenniser son modèle économique""La cessation de paiement de Presstalis a laissé nombre d'éditeurs en situation de fragilité, a appauvri le réseau de diffuseurs et a meurtri le corps social après les nécessaires réductions d'effectifs et la liquidation de certaines entités du groupe", poursuit Louis Dreyfus. "Dès demain, France Messagerie devra travailler sans relâche pour pérenniser son modèle économique et offrir aux éditeurs une prestation de qualité tout en garantissant aux éditeurs leurs flux financiers".PUBLICITÉLa faillite de Presstalis a également provoqué de grosses difficultés de distribution dans plusieurs régions françaises. Aucun accord n'a encore été trouvé à Marseille pour reprendre la distribution des journaux. "Avec les organisations syndicales, France Messagerie poursuivra les discussions en cours afin de lever les derniers blocages et permettre que la presse soit distribuée sur l'ensemble du territoire et que les diffuseurs soient à nouveau approvisionnés quotidiennement", a souligné Louis Dreyfus
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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Reprise de Presstalis : Eric Fottorino dénonce une gestion "depuis 10 ans frauduleuse" du distributeur de presseLe journaliste, patron de presse, estime que "les éditeurs perdent 120 millions d'euros" en raison des recettes qui sont bloquées. 
https://www.francetvinfo.fr/image/75s2nuqqh-ac80/1200/450/21783735.jpg" longdesc=" width=1200px,height=450px]https://www.francetvinfo.fr/image/75s2nuqqh-ac80/1200/450/21783735.jpg"/>
Le siège de Presstalis à Paris. (MEHDI FEDOUACH / AFP)
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franceinfoRadio FranceMis à jour le 01/07/2020 | 20:17
publié le 01/07/2020 | 20:17PartagerTwitterhttps://www.francetvinfo.fr/culture/livres/reprise-de-presstalis-eric-fottorino-denonce-une-gestion-depuis-10-ans-frauduleuse-du-distributeur-de-presse_4030223.html%0A%0AToute%20l%27actualit%C3%A9%20en%20direct%20sur%20www.francetvinfo.fr" target="_blank" rel="nofollow">EnvoyerLA NEWSLETTER ACTUNous la préparons pour vous chaque matinFrance Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters. Pour exercer vos droits, contactez-nous. Pour en savoir plus, cliquez ici.https://www.francetvinfo.fr/image/75s2ogkxd-bfa5/200/112/21785215.png" longdesc=" width=200,height=113" target="_blank" rel="nofollow">https://www.francetvinfo.fr/image/75s2ogkxd-bfa5/200/112/21785215.png"/>
il y a 21 minutesDIRECT. Affaire Fillon : "Je n'ai reçu aucune instruction du pouvoir exécutif", assure la procureure générale de Paris devant la commission d'enquêtePresstalis devient France Messagerie : le tribunal de commerce de Paris a validé mercredi 1er juillet l'offre des journaux quotidiens pour la reprise de l'ex-géant de la distribution de la presse, en dépôt de bilan. Presstalis avait été placé en redressement judiciaire mi-mai avec pour conséquence le licenciement de plus de 600 salariés.Cette décision est la conclusion d'une gestion "qui, de mon point de vue, est frauduleuse", a lancé mercredi sur franceinfo, Éric Fottorino, journaliste et écrivain, cofondateur de l’hebdomadaire Le 1, des revues America, Zadig et Légende. "Elle marque bien cette situation ubuesque qui a duré depuis une décennie." franceinfo : Comment réagissez-vous à la reprise de Presstalis ?Éric Fottorino : Je la redoutais. Elle marque bien cette situation ubuesque qui a duré depuis une décennie. Elle aboutit à ce que seuls les éditeurs de quotidiens apportent une solution, mais une solution en trompe-l'oeil, puisque l'Etat va continuer de mettre la main à la poche. Il y a une impunité totale sur cette gestion depuis dix ans qui, de mon point de vue, est frauduleuse.Aujourd'hui, les éditeurs perdent 120 millions d'euros, toutes les recettes depuis plusieurs mois qui sont bloquées et qui ne reviendront pas.Eric Fottorino, journaliste, écrivain et patron de presseà franceinfoCe qui est encore plus scandaleux, c'est que d'une part, les éditeurs qui ont quitté Presstalis pour le concurrent MLP, ce n'était pas par caprice, mais c'était simplement parce qu'on était tellement pris à la gorge qu'il fallait bien qu'on puisse distribuer nos publications. Eh bien on devra continuer de payer jusqu'en 2022. J'avais même entendu 2023.Dans le cas de vos différentes publications, est-ce que vous arrivez à savoir combien vous avez perdu ?Oui, bien sûr. Même assez précisément. C'est 930 000 euros pour les trois publications et à peu près un tiers chacune. Le 1, Zadig, America. C'est comme un puits sans fond. Ce ne sont pas des projections, ce sont des recettes, des sommes qui sont dues. Et moi je considère que, quand on est dans un État de droit, au moins, ce qui est dû doit être payé. Et là, ça met en danger nos structures. On n'est pas les seuls. Il y a plus de 200 petits éditeurs en France qui peuvent vraiment mettre la clé sous la porte. C'est très concret. Si dans un mois et demi ces sommes ne m'ont pas été versées d'une manière ou d'une autre, je ne pourrai pas payer de papier. Alors quand vous faites de la presse écrite, si vous n'achetez plus votre papier, vous êtes mort. Et donc c'est ça le risque réel qui est aujourd'hui après cette décision.Est-ce que c'est la fin du papier ou au contraire, est-ce qu'il a un avenir, mais qu'il y a tout un système à repenser ?Le papier a bien sûr de l'avenir. Si je regarde mes titres, j'en vends chaque semaine ou chaque trimestre entre 35 000 et 40 000 exemplaires. Et ce ne sont pas les mêmes lecteurs.Je pense que le papier a de l'avenir quand on fait des offres qui sont stimulantes. En revanche, le système de distribution est complètement obsolète.Eric Fottorinoà franceinfoJe pense qu'il faut vraiment le revoir très vite et y intégrer aussi l'univers de la librairie, comme je l'ai fait depuis six ans. Mais je crois d'abord, aussi, qu'il faut que les aides soient différentes d'aujourd'hui. Je pense qu'il faut que les messageries soient gérées normalement et ne soient pas opaques dans leur gestion. Pourquoi Presstalis en est là ? C'est que pour la gestion, nous, les petits éditeurs, on n'avait pas voix au chapitre sur quels étaient les tarifs, quels étaient les tarifs préférentiels appliqués à certains éditeurs. Donc, on nous demande d'être solidaires pour payer les pots cassés, mais pas du tout pour gérer. Moi, je pense qu'il faut d'abord que la gestion soit vraiment transparente et non pas opaque et qu'un rapport de confiance s'établisse. Deuxièmement, il faut aussi que les points de vente en France soient beaucoup mieux mis en valeur, de telle manière que les lieux où on achète des journaux ne soient pas fragilisés. C'est quasiment un "lumpenprolétariat" (prolétariat en haillons) qui travaille dans les kiosques, il faut le savoir.A LIRE AUSSILa Bibliothèque nationale de France rouvre progressivement ses sites à partir du 6 juilletLes Français et la presse écrite : contrairement aux idées reçues, une histoire d'amour qui continueSibyle Veil : "La crise a fait perdre jusqu’à 20 millions d’euros à Radio France"Emploi : la France face au défi de la relocalisation

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Tant que les Pouvoirs Publics n'auront pas compris qu'il faut aller dans le sens des éditeurs et des magasins de presse, tout sera vain.
Le métier en interne est mauvais. Chacun tire à soi pour le malheur de tous.
Au lieu de ça, ils ne voient que sauver "Presstalis" qui n'est plus qu'un symbole passé, inadapté au présent. Seuls ceux qui n'ont rien d'autre à faire pourront toujours la vénérer.
Et pour repartir -puisqu'il s'agit de ça- par pitié, ne repartez pas dans les travers déjà tant sublimés.

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et pour la presse étrangère ?
le retour est prévue par france messagerie ?

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et un retournement de veste .c'est effrayant .il a profité du système pendant 20 ans et maintenant il ne crache plus dans la soupe , il les trucide .superbe mentalité chez  CULTURE-PRESSE  
la peur doit changer de camp



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