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L’ouverture de nouvelles procédures de sauvegarde, de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire, ne paraît pas, en principe, relever de l’urgence et se révélerait inutile et inefficace compte tenu des moyens disponibles limités pour mettre en oeuvre ces procédures", écrit Jean-François de Montgolfier, directeur des affaires civiles et du sceau au ministère de la Justice, dans un courrier électronique adressé aux présidents des tribunaux de commerce.

La Chancellerie s'en mêle maintenant alors que nous avons connu une époque où elle craignait d'intervenir dans ce qu'elle qualifiait de sujet dangereux (quand nous l'avions questionnée sur l'incompatibilité des notions suivantes relatives à l'aspect juridique de nos contrats et de l'exploitation qui en était faite et nous était défavorable :
- contrat-type et jugement au cas par cas
- contrat de mandataire et situation de fait de marchand
A l'époque la directrice des affaires civiles et du sceau nous avait gentiment répondu que c'était au législateur d'intervenir. Elle n'y était pas obligée et craignait de s'être déjà trop engagée avec cette réponse. Nous la remercions car celle-ci a participé à la prise de conscience de la nécessité de réformer la filière. Nous avons en effet pu montrer la réalité du problème, chacun rejetant la faute sur l'autre entre le politique et la justice, laissant le secteur de la presse libre d'agir en dehors du champ de la Justice.
C'est donc un peu grâce à la Chancellerie (et à notre action) que la réforme a pu voir le jour.
Espérons que c'est aussi grâce à elle que nous sortirons de l'impasse actuelle.

Attention à l'aveuglement.
L'heure est-elle encore de parler de réforme ?

La réforme n'est pas la révolution. Un changement de paradigme suffit.
Ce n'est pas le schéma qui est forcément la cause du problème mais uniquement l'exploitation qui en est faite. Quoi qu'il en soit nous ferons avec ce qui aura été décidé.

j'adore les escrocs qui donnent des conseils .

Ce n'est pas un escroc. Il est convaincu de bien faire mais ne voit que par lui-même. C'est un égocentrique. Il pense qu'il doit convaincre les autres de faire comme lui. Il ne s'intéresse pas aux autres mais à lui-même.  Convaincre les autres est pour lui un moyen de valider sa pensée et son action.