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...l'application qui montre que PRESSTALIS est incapable d'alimenter correctement le réseau des diffuseurs de presse.
Pièce récente en 5 Actes :
Acte 1 : Un client souhaite s'acheter une publication
Acte 2 : Ce client se rend chez son diffuseur préféré et lui commande sa revue
Acte 3 : le diffuseur transmet cette commande
Acte 4 : (le plus long de la pièce) Attente... Pas de réponse, Attente... pas de réponse, Attente...
Acte 5 : La publication ne sera pas livré. Le diffuseur ne pourra satisfaire son client et perdra encore 1 vente.
Acte 6 : (c'est l'acte caché) Mais quel idiot ce client, avec une superbe application, il n'était pas obligé d'aller chez son diffuseur préféré, mais non, il n'avait qu'à prendre sa voiture et faire 30 km pour aller la chercher...
C'est une nouvelle vision de l'avenir... ce n'est plus la marchandise qui va au client, c'est le client qui doit aller à la marchandise !!
Donc toute la pub sur cette application, c'est direct classement vertical.
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Très juste.
Cette application n'est pas destinée à nous aider mais au contraire à rendre nos clients indépendants de nous en détruisant notre relation.
Il faut absolument lutter contre.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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Les editeurs et les messageries font tout pour supprimer la relation que nous entretenons avec les clients pour nous court circuiter.
Nous devons faire une action pour nous attacher le soutien de nos clients et leur montrer les risques qu'ils encourent en nous laissant disparaître.
Nous preparons activement cette action sur plusieurs plans (clients, politiques locaux et nationaux, communication, executif et législatif).
Nous vous en parlerons très bientôt.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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je vous prie de bien vouloir m'en excuser mais je ne suis pas d'accord avec vous
la demonstration repose sur une affirmation qui n'existe que tres rarement
"le mdp n'a pas la publication demandée "
par contre
ZEENS peut vous donner l'etat des stocks des mdp
s'il peut vous donner l'etat des stocks ,il peut vous donner les VENTES
il suffit d'appliquer le % de commissions sur chaque vente et vous avez en 1 minute votre facture journaliere à payer.
fini les calculs à la "mord moi le ......."
qui dit facture = ventes-coms dit aucune avance de trésorerie.
donc des stocks qui vont diminuer
ZEENS l'a tres bien compris
est ce que le lobby des editeurs qui entre parenthése ,a bloqué la reforme lancée par aurelie filippetti et michel françaix sur le CSMP ,va etre d'accord pour developper cette application,
qui peut faire revenir beaucoup d'argent dans les poches des marchands ,nous verrons.
mais s'ils disent non ce sera la preuve que nous sommes condamnés
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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si je vous dit que ZEENS a compris ,c'est que j'en ai les preuves.
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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apres il est toujours possible de refuser tout.
il faut en discuter
le blog est fait pour cela.
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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Jack, Zeens est développé par Presstalis.
Cette entreprise ne travaille pas dans notre intérêt mais dans le sien.
Elle le démontre avec constance depuis des années et n'est pas en train de changer, loin s'en faut.
Si l'application était pensée dans le sens des marchands je serais d'accord avec vous.
En effet elle offre des possibilités favorables.
Mais ce ne sont pas celles-là qui sont visées et développées.
Votre réflexion repose sur la rareté des manque de produit.
Il n'est pas inconcevable que demain, la grande surface locale soit mieux alimentée que le point de vente lambda.
Zeens privilégie la disponibilité à la relation commerciale.
Il suffit ensuite d'alimenter correctement le point de vente que l'on choisit pour orienter la clientèle vers ce point de vente.
Que ferons nous quand, n'ayant pas reçu les produits de base, nous verrons nos clients détournés vers la grande surface locale qui, curieusement, les aura reçus ?
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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J'insiste sur ce point : nous devons nous prémunir de perdre nos clients.
Nous devons tout faire pour nous les approprier et ne devons en aucun cas nous les laisser prendre par les éditeurs ou les messageries.
C'est la seule raison pour laquelle ils ont besoin de nous.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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je me rappelle avoir assisté à cette présentation plusieurs personnes avaient demandés à ce que l'enseigne du point de vente soit indiqué au même titre que Maison de la Presse, Relay, Carrefour. 6 mois plus tard aucune modification concernant cet affichage.
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"Si l'application était pensée dans le sens des marchands je serais d'accord avec vous.
En effet elle offre des possibilités favorables.
Mais ce ne sont pas celles-là qui sont visées et développées"
bien sur qu'ils travaillent pour eux
mais justement prenons le contre pieds
il nous est tres facile de demontrer qu'avec ZEENS nous pouvons regler le probleme de la facture.
que si JUSTEMENT ils ne le font pas ,c'est qu'ils ont beaucoup à y perdre.
c'est le genre d'argument qui devrait plaire à nos gouvernants.
qui donnent des subventions et constatent que presstalis refuse les reformes pour diminuer les couts.
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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Des infos et des .... A vos commentaires
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www.lesclesdelapresse.fr
J?imagine que l?application Zeens, que vous avez présentée en mars, s?inscrit dans cettelogique.
P.V. Tout à fait.Cette application permet au possesseur de smartphone d?explorer notre offre
de presse par famille, sous-famille ou par thématique. Elle localise les magasins et permet
de savoir si le titre recherché est disponible ou seulement susceptible de l?être. Un système
d?alertes prévient des nouvelles parutions des titres mis en favoris.
Cette application est en fait la première pierre d?un programme d?innovations qui se
poursuivra tout au long de l?année, avec une plateforme de digital publishing permettant
aux éditeurs d?associer des droits numériques à la vente au numéro, ou des outils proposant
de corréler les ventes avec le buzz des marques de presse sur Internet et les réseaux sociaux.
Il faut aller très vite, et être capable d?assurer un enrichissement de l?offre en permanence,
pour aider les éditeurs à prendre des risques. Mon objectif est de sortir un nouveau
service tous les six à neuf mois. Nous aurons peut-être des échecs, mais ce n?est pas grave:
ne pas bouger est plus dangereux que de bouger.
http://www.lesclesdelapresse.fr/fichiers/archives/pascal-voisin-presstalis-dans-les-cl-s-de-la-presse-154.pdf Dernière modification le samedi 21 Mars 2015 à 11:50:45
Des infos et des .... A vos commentaires
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La question du paiement au fil de l'eau n'est plus d'actualité.
Il est prévu qu'avec le nouveau système informatique soit adopté le paiement au fil de l'eau.
En revanche il nous faut protéger nos magasins du dépouillement de clientèle tant par les abonnements que par le détournement vers d'autres magasins choisis de manière discriminante.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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descartes
tu sais ce qui me fait extremement peur aujourd'hui
nous avons ,toi plus encore,fait le job ,nous sommes à deux doigts d'obtenir le resultat de notre
travail et dans la derniere ligne droite nous reculons
j'ai deja vecu cette experience dans ma vie professionnelle , arrivé sur le but pour des raisons .....
mon syndicat(paris montreui) a refusé de signer un accord d'entreprise.
resultat le syndicat adverse ,la cfdt pour ne pas la citer ,a attrapé la balle au bond ,et signé elle.
cela a non seulement sauvé l'entreprise ,mais permis la creation de centaines d'emplois.
je ne vous raconte pas la suite.
nous sommes dans le même cas de figure
j'espere me tromper mais !!!!!!!
Dernière modification le samedi 21 Mars 2015 à 19:51:26
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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Quel recul ?
Nos demandes, nos objectifs, et nos démarches n'ont pas changées.
Nous allons avoir le paiement au fil de l'eau avec le nouveau système informatique.
Nous devons aussi obtenir la clarification de notre statut.
C'est primordial.
De cela decoulent toutes nos possibilités de défense.
C'est pour cette raison que le Csmp refuse de traiter ce sujet bien qu'il sache qu'il doit le faire car les tribunaux ont deja dénoncé l'irrégularité du contrat. (Mais sur un point secondaire)
Modifier le contrat alors que nous sommes là, c'est ouvrir la boîte de Pandore.
Alors ils trouvent des prétextes pour repousser.
En attendant ils modifient le réseau selon leurs desirs : fermeture des magasins et ouverture de rayons intégrés.Nous devons protéger notre marche de ces prédateurs en obtenant de l'état un schéma directeur fonde sur le potentiel de vente, une protection contractuelle du périmètre commerciat limitant notamment la concurrence directe, et l'assurance d'être associes aux développements futurs (numérique aujourd'hui).
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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Descartes,
En quoi un changement du seul statut du diffuseur changerait quelque chose ?
Soyez précis, car je ne vois pas comment. Mais absolument pas.
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Les éditeurs s'abritent derrière le flou juridique généré par le mélange des termes dans notre contrat. Ainsi ils imposent autoritairement les contraintes associées à chacun de ces termes et s'exonèrent des obligations qui leur incombent pour chacun de ces termes en faisant référence à celui qui les arrange.
Exemple :
- si nous sommes commissionnaires nous travaillons pour notre propre compte. Nous ne pouvons dès lors nous voir imposer des contraintes qui vont à l'encontre de nos intérêts (comme la présence d'offres d'abonnements sous-tarifées dans les revues à présenter dans nos rayons). Nous commettrions une faute de gestion pénalement répréhensible.
- si nous sommes mandataires nous travaillons pour le compte de l'éditeur mais celui-ci ne peut nous concurrencer.
- si nous sommes mandataires-commissionnaires comme c'est écrit dans notre contrat, il est obligatoire que nous ayons au moins un "intérêt commun", ce qui exclue de facto la clause "ad nutum", impose un dédommagement minimal de 3 années de commissions en cas de rupture de contrat à l'initiative des éditeurs ou de leurs représentants, supprime là-aussi la possibilité de nous concurrencer par des offres d'abonnement sous-tarifées, etc.
Et ceci n'est qu'un exemple mais cela porte aussi sur les contraintes d'horaires, sur la rentabilité minimale, sur les garanties d'approvisionnement, et bien d'autres paramètres.
Notre contrat ne fait référence à aucun code (travail, civil, commerce, ...) et emprunte à chacun d'eux ce qui arrange les éditeurs. Il n'est que temps de clarifier la chose en écrivant à quel code et quels articles il est fait référence comme cela se fait dans toutes les autres branches d'activités.
Le CSMP le sait et ne fait surtout rien pour ne pas s'opposer aux éditeurs. Il se contente de répondre "vous n'êtes pas obligé de signer" qui signifie "vous pouvez quitter la profession".
Réponse inacceptable et malhonnête.
Le responsable juridique de l'UNDP le sait et dit "on ne peut rien faire".
Réponse inacceptable d'incapacité ou de mauvaise volonté.
La chancellerie le sait et dit "le législateur doit intervenir"
L'exécutif considère ce sujet comme marginal tant que nous ne faisons pas de vagues.
Le corps législatif n'en a pas été alerté par les responsables historiques de la protection de nos intérêts, et il est difficile à mettre en action. C'est pourtant ce que nous allons tenter de faire.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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J'allais oublier, un détail...
Le commissionnaire est un intermédiaire de commerce : Il agit pour le compte du commettant sans que celui-ci soit connu par le tiers avec lequel il contracte : Il y a une véritable absence de représentation du commettant. Les acheteurs sont donc ses propres clients et non pas ceux de son commettant.
Et posséder sa clientèle signifie qu'elle ne peut être cédée à valeur zéro que sur décision de son propriétaire et pas celle du commettant. La presse n'est donc pas cédée à titre gratuit comme on voudrait nous le faire croire.
De là découle aussi la notion de la propriété des données (remontées de vente)...
A l'inverse, si le contrat est un mandat, nous ne sommes pas propriétaires de la clientèle.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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Toujours pas convaincu.
- Etre commissionnaire ne signifie pas être exclusif. Sauf cas particuliers, mais pas chez nous.
ex : les tabacs, revendeurs reconnus et rémunérés pour la vente de timbres sont concurrencés par la Poste elle même, et par n'importe quel point de vente qui souhaite en vendre gratuitement...pas pire comme concurrence alors qu'ils sont bien commissionnaires.
Beaucoup d'autres exemples existent avec d'autres contraintes.
- Etre mandataire ne retient pas la notion de non concurrence en terme juridique. Pas plus dans la presse que dans l'immobilier ou ailleurs. Sauf si une clause de non concurrence est prévue. Et quand c'est le cas, c'est toujours avec une durée limItée, ce qui n'est pas possible sur du "papier frais".
Nous sommes à la fois commissionnaires et mandataires, et alors ? J'avais demandé un jour à Gérard Proust d'avoir un code NAF (APE) et un statut spécifique pour nous. Sa réponse fut "Es tu sûr que nous serions gagnants ?" Un peu vexant, mais ça s'explique. Lister ce qui nous convient est facile (et encore, nous n'avons pas tous les mêmes besoins). Faire avaler ça en l'état par le fisc, les org. sociaux...nos fournisseurs, impossible et surtout inutile. On a parfois un choix possible entre 2 NAF aujourd'hui selon les autres activités des magasins. Imposer un cadre unique serait certainement plus contraignant pour certains, surtout si l'activité principale n'est pas la presse. Vos propos contre l'undp sont un peu faciles.
Le CSMP ne traite que ce qui concerne les messageries. Ne leur faisons pas appel pour un statut.
Que la remunération augmente. Le reste est secondaire. N'allez pas vous perdre dans des sujets accessoires et inutiles de statuts.
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gerard PROUST comme reference il y a mieux
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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Il n'est pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Je ne tenterai même pas de vous convaincre.
Il est clair que vous êtes plus connaisseur du droit que la Chancellerie.
Pour info, celle-ci nous a confirmé par écrit que nous avions raison et que le législatif devait s'emparer du sujet.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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La situation ne se débloquera que par la réforme du métier.
Gérard Proust était juriste de formation. Aucun d'entre nous l'est.
Croire que la justice vous permettra de contraindre le métier, vous avez le droit d'y croire.
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Il était juriste de formation et fort bien payé du fait de multiples fonctions. Certaines d'entre elles n'étaient elles pas attribuées par des partenaires avec lesquels il était censé négocier pour la profession ?
Ceci expliquerait cela, non ?
La réforme du métier nécessite la mise en conformité des contrats avec le droit.
Rejeter cette évidence revient à se soumettre à perpétuité.
Ce n'est pas acceptable.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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Si j'ai viré la presse de mon magasin, c'est bien que j'ai refusé les règles, après avoir essayé de les changer.
Ceux qui les acceptent subissent une certaine soumission. Pas ceux qui les refusent.
Ne renversez pas trop précipitamment les rôles.
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Dernière modification le mardi 24 Mars 2015 à 09:41:12
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Dernière modification le mardi 24 Mars 2015 à 12:02:09
la solidarité n'est pas une vue de l'esprit.sans elle nous sommes morts
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C'est du courant ou du recopié ?
La langue est morte, comme la réflexion de la photocopieuse.
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Effectivement, ne renversons pas les rôles.
Vous avez décidé de quitter le métier parce que vous n'arriviez pas dites-vous à en changer les règles. Vous ne pouviez en réalité pas les changer avec de tels handicaps (acceptation des conflits d'intérêts, incompréhension de l'importance des notions de droit, absence de vision d'avenir, adoption d'une position soumise...)
La dualité soumission ou démission n'est pas acceptable même si elle est prônée par le CSMP.
C'est à nous de faire tomber le voile et c'est ce que nous avons fait.
Maintenant il nous faut aller au bout de la démarche et cela ne peut se faire qu'avec l'appui de l'Etat. C'est aussi la raison pour laquelle, l'ancien président de l'UNDP que vous avez cité ne voulait pas que nous entrions en contact avec le Ministère. Il nous l'avait lui même "interdit" (je cite).
Je regrette que la direction de l'UNDP ne soit pas ouverte à la discussion, tentant de justifier cela par une soi-disant persécution de notre part alors qu'il s'agit d'une mise en cause de la ligne défendue.
L'avenir des marchands ne repose pas sur la conservation de situations précaires par une soumission mais sur la remise en cause des nombreux dysfonctionnements et l'affirmation de l'utilité des marchands face à leurs "partenaires" qui n'en ont que le nom aujourd'hui.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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"celui qui n'est pas content peut faire autre chose" est aussi valable pour les éditeurs,
la voie politique(voire juridique) me parait la plus appropriée aujourd'hui puisque le dialogue est impossible autrement
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Descartes,
Vous avez besoin de vous crédibiliser pour vos projets syndicaux, mais ne faites pas comme si vous étiez le seul à savoir, et prétendre y arriver.
Je pense que vous pourriez peser sur certains sujets, mais vous gâchez pas mal de jus sur des mauvaises cibles.
Au sujet de la supposée "corruption", un syndicat de librairie est partenaire avec ses fournisseurs, et n'est pas corrompu pour autant. Pareil pour tout syndicat, comme pour la Confé, qui a sa revue bourrée de pub !
Les lecteurs du blog qui ont un minimum de jugement savent faire la part des choses.
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