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Merci Messieurs,
Si cet amendement pouvait déjà tenir nos élus informés de la concurrence déloyale que pratique nos propres fournisseurs, cela serait déjà un grand pas.
Si ils pouvaient le voter, alors là merci à eux.
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Ecrivez à vos Députés pour leur demander de soutenir cet amendement, protégeant le commerce de proximité en luttant contre la concurrence déloyale, le détournement de clientèle par dumping commercial.
Voila le sens de mon mail envoyé à mon Député samedi.
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Pour information les adresses mails de vos Députés sont sur le site Assemblée Nationale...
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Le prix unique de la presse. Voyons de quoi il s'agit, car la comparaison avec le livre est assez biaisée. Pour le livre avant 1981, le prix public était libre : la loi Lang s'appliqua sur les différents revendeurs. Ca a mis de l'ordre, et ça a permis à la GMS d'engranger des marges plus confortables que celles accordées aux libraires. Ce qui fut à postériori un des effets pervers.
Pour la presse, ce n'est pas le cas. Le prix unique s'appliquant à l'éditeur lui-même...car limiter les abonnements à - 5 % revient à supprimer les abonnements. Quel acheteur va s'engager sur 1 an sans avantage de prix ? A moyen terme, pas mal d'éditeurs seront condamnés, car trop d'abonnés ne viendront pas acheter au numéro. Ne soyons pas naïfs. A ce jeu le risque perdant-perdant se profile.
Les éditeurs, par l'abonnement, peuvent légalement contourner les nombreux intermédiaires obligatoires qui leur sont imposés, et qui représentent plus de 60 % de la valeur faciale.
N'avez vous pas l'impression que c'est là qu'il faut économiser, de plus pour un service assez mauvais ?
En librairie, on retrouve autant d'intermédiaires, mais plus efficaces et moins chers.
Cherchez l'erreur là ou elle est.
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Bonjour 123456
"...Quel acheteur va s'engager sur 1 an sans avantage de prix ?..." :
- en premier celui qui ne trouve plus sa presse à proximité (faute de magasin ou bien pour des raisons d'horaires)
- en second celui qui souhaite avoir le cadeau bonus (qui est toujours de rigueur avec les offres d'abonnement)
- les personnes agées ou impotentes
- et puis ne pas oublier que : -5% + cadeau bonus + service à domicile + prélèvement mensuel : pour beaucoup c'est déjà 4 bonnes raisons de s'abonner.
Et pour les éditeurs, du fait de la disparition programmée des marchands, contracter des abonnements à plein "pot" ou bien en numérique quelle aubaine pour leur marges !
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amener le sujet devant l’Assemblée nationale est une bonne chose
Vous pouvez faire parvenir des flyers à vos députés et indiquer
une mention du genre
Offert avant fermeture définitive ...
Dernière modification le mardi 16 Juillet 2019 à 12:46:21
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avant 1981 les hypers pratiquaient un rabais de 20% sur le prix public du livre et cela a continué aprés le vote de la loi Lang il a fallu que les libraires exigent l'application de la loi mais cette loi a permis au réseau de librairie de survivre Pour le réseau de marchands de presse je pense que le prix unique de la presse serait la seule chance de survie d'un réseau indépendant
et pour quelles raisons réformer la distribution si il n'y a plus de marchands
Le député Bouyx termine son intervention par "c'est à nous (la commission) de décider"
Nous devons le soutenir dans sa détermination et l'encourager à représenter son amendement
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La loi Lang a eu, et a toujours son intérêt pour la librairie.
Mais cette loi est très contestée par le droit européen qui y voit une atteinte au commerce, à la libre entreprise par une sorte de protectionnisme. L'air du temps n'est pas là dessus.
Transposées à la presse, ces questions reviennent. Il faudra compter sur la réaction des lobbies des éditeurs de presse pour contester leur pré carré.
C'est très loin d'être gagné car des débats contradictoires vont se faire pendant la rédaction de la loi. Qui voterait une loi qui contraindra les éditeurs, déja en position de faiblesse, à perdre des ventes ? Tout le monde peut le comprendre, y compris des Députés.
Une loi sur les - 5 % max. n'a aucune chance d'être votée en l'état.
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123456 la loi Lang a donné de la marge à la grande distribution
Ce qui fragilise la librairie
- La gratuité des livres scolaires
- la surproduction
- Le E-commerce
les aides a la librairie c'est peanuts par rapport a la presse
Combien de milliards la presse a profiter des largesses de l'Etat
Qu' ils discountent ok
mais zéro Euro en aide...
L'abonnement ne doit pas être présent dans nos points de vente
aucun formulaire dans les magazines qui nous sont livrés
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Toute la distribution de la presse est sous perfusion depuis des années, et malgré tout, certains en profitent bien. Et pas les plus bosseurs, au contraire.
Pour eux, quoi qu'ils disent, tout va bien. Ils ne veulent pas de réforme, et c'est ça qui plombe le réseau.
Ils vivent de différentes aides de l'Etat, complétées par la part qui devrait revenir aux éditeurs et aux diffuseurs.
L'abonnement et internet ne sont pas aussi pénalisants que la quote-part ponctionnée par le niveau 1 principalement.
Ne trouvez vous pas bizarre que les ventes baissent, le nombre de diffuseur baisse, le nombre de titre baisse, et que la part consacrée aux messageries ne baisse pas ???
Au lieu de ça, le contribuable et le réseau bouche le trou...
Croire en l'avenir du métier grâce "au prix unique" de la presse est une énorme erreur.
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"...Croire en l'avenir du métier grâce "au prix unique" de la presse est une énorme erreur..."
Il n'a jamais été question de donner de "l'avenir" au métier avec un "prix unique" mais simplement de laisser vivre une concurrence "LOYALE" sans détournement de clientèle aux frais de nos impôts et du dumping social et commercial... en résumé de rétablir de saines règles de concurrence.
Finalement tout comme dans la librairie qui vous réussit si bien commercialement !
Dernière modification le mercredi 17 Juillet 2019 à 09:57:40
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Bien sûr qu'une "concurrence" loyale est légitime et souhaitable.
Le prix unique est déja là pour la presse, et ne concerne aucun revendeur, contrairement à ce qu'il se passait pour le livre.
Mais le cas de l'abonnement est un peu à part. Ca sera toute la difficulté d'une loi sur le non respect du prix unique fixé par l'éditeur pour lui même.
Il serait plus simple et surtout plus franc d'appeler cette loi "interdiction des ventes directes remisées au delà de - 5 % maximum". Mais dans l'air du temps, c'est pas du tout vendeur !
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"...et ne concerne aucun revendeur, contrairement à ce qu'il se passait pour le livre..."
Et pour cause, car pour renforcer encore plus la concurrence déloyale, nos contrat type nous INTERDIT formellement tout remise aussi minime soit-elle !
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Le problème n'est pas de pouvoir faire des remises. de pouvoir acheter ce qui est utile à la vente, avec 30 % minimum de marge, aujourd'hui en grande partie engoufrée inutilement dans ce système désuet et inefficace.
Le temps et l'argent sont utilisés pour "sauver Presstalis" au lieu de sauver les éditeurs et les vendeurs.
Les abonnements abusifs sont bien utilisés par les éditeurs, je vous l'accorde, mais ça se comprend quand on voit ce que coûte la mauvaise distribution pour un tel prix.
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