www.marchandsdepresse.com

AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Projet supérettes : c'est fait !

946 appréciations
Hors-ligne
Le projet est sans surprise devenu réalité hier quand il a été voté en AG du CSMP.
Non conformité à la Loi ? Pas de problème.
Destruction programmée du réseau existant ? Pas de problème.

Le représentant de l'Etat a fermé les yeux.
La position de l'Etat est donc maintenant très claire.
Il faut en tirer les conclusions qui s'imposent.
Marchands de presse, cessez cette activité dès que possible car vous en ferez les frais si vous continuez. 
D'abord vous allez être inondés de tous les produits qui ne seront pas livrés à la grande distribution ni aux kiosques. 
Puis le nombre de ces produits va croître encore quand les hypers et supermarchés vont exiger le même assortiment que les supérettes.
Vous conserverez l'obligation de financer tous les produits à faible vente ou vente nulle mais vous n'aurez plus les ventes des meilleurs produits pour compenser vos avances de trésorerie.
Vous êtes donc destinés à disparaître par asphyxie économique au fur et à mesure de l'épuisement de votre fonds de roulement.
N'attendez pas : fuyez. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

176 appréciations
Hors-ligne
Pouvons nous entamer une action de groupe au Tribunal pour non respect de la loi et demander une réparation du préjudice subi par un rachat pur et simple du fonds de commerce "presse" de nos magasins ?

946 appréciations
Hors-ligne
Prématuré et difficilement envisageable en l'état des choses.
En revanche, une judiciarisation est à l'étude.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

176 appréciations
Hors-ligne

59 appréciations
Hors-ligne
Proposition pour un nouveau bandeau du site.


142 appréciations
Hors-ligne
Proposition pour un nouveau bandeau du site. 
Non Pingu 

Proposition pour une nouvelle  enseigne 

FABRICATION EN COURS 

Créatif  -  44 rue de Cambronne 

Commande  & Service de pose  -   16 Place de la République

Service réclamations - 99 Avenue Malsherbes   



Dernière modification le mercredi 19 Juillet 2017 à 16:20:47
Des infos et des .... A vos commentaires

268 appréciations
Hors-ligne
Les éditeurs ont eu ce qu'ils voulaient ...  enfin quelques uns.  Les autres vont peut être sortir du bois.  Ils ne l'ont pas fait au sein du SEPM et ont laissé faire ce projet. Peut-être saisiront ils l'ARDP à nous de les convaincre.

L'Etat a donné satisfaction à cette demande. Là encore Il pourrait éventuellement imposer des contreparties aux éditeurs. Baisse des aides à la presse , nouvelles répartitions des aides... vers le réseau je n'y crois pas trop.

268 appréciations
Hors-ligne
Etonnant  cette information publié sur le fil d'actualité du Csmp  ... comme par hasard le 18 juillet jour du vote du projet supérettes. 
Dépôt des Propositions - Information été - 2017

A ce demander si le CSMP n'aurait déjà pas sous la main un certain nombre de propositions d'ouvertures de pdv  à faire passer lors de sa prochaine CDR !
Durand

De nombreux tabacs ont obtenu l'implantation d'un rayon réduit de presse. L'idée de points de ventes complémentaires est la même mais personne n'a bougé, après ces deux réseaux nous verrons les boulangeries. Le Parisien a déjà mis le pied dedans. Nous ne sommes plus à l'époque de Nicoud les GS et les supérettes ne sont pas les seuls réseaux à nous concurrencer sans parler des abonnements et de la vente sur internet.  S'attaquer au problème des supérettes c'est voir une petite partie du problème de la presse

Dernière modification le mercredi 19 Juillet 2017 à 19:07:27

946 appréciations
Hors-ligne
Il ne s'agit pas de s'attaquer au problème des supérettes mais de la gouvernance.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

113 appréciations
Hors-ligne
Bien sûr que s'est la gouvernance , les conflits d'intérêts sont tels , qu'ils ont décidé de sacrifier les magasins de presse aux profits des supérettes de réduire soit disant les stocks dans les kiosques , mais cela ne durera pas , parce encore par intérêts ils ne respecteront pas leurs propres réglementations , parce que les supermarchés et supérettes , ne vont certainement pas garder dans le temps des linéaires qui ne rapportent rien , à moins que là ,les Éditeurs acceptent de payer pour stocker leurs précieux papiers pour continuer d'imprimer des tirages sans aucuns rapports avec les ventes , pour continuer de siphonner les aides , la pub ect , les majors et dirigeants de cette filière , qui prétendaient que la loi Bichet protegeait le pluralisme et la démocratie dans notre pays , sont décidés à y mettre un vers qui nous fait comprendre que ces gens n'ont plus rien de démocratique. Ils priveront aussi les petits Éditeurs d'être édités et diffusés donc empêcheront la libre entreprise , la libre pensée ? Je vous dis que la société se barre en C...
Durand

Les  marchands de presse refusent de voir le problème dans son entier et dans son évolution en attaquant la gouvernance de la presse. La gouvernance de la presse essaie de faire évoluer et s'adapter un réseau de distribution de la presse où la place des diffuseurs de presse spécialisé sera de moins en moins importante car pas adaptée à une clientèle qui dans sa majorité lit de moins en moins et surtout pas régulièrement. La vente de la presse est destinée à être une vente additionnelle dans des réseaux de vente qui vendent des produits qui n'ont rien à voir avec la presse. Peut être survivront des magasins spécialisés qui vendront des la presse des livres et de la musique car le besoin de culture continuera de subsister chez certains clients. Critiquer la gouvernance de la presse c'est critiquer l'évolution de la consommation. IL fallait agir après 1980 pour obtenir un statut de service public pour la presse. Le livre à obtenu le prix unique, le cinéma à obtenu un temps de vente protégé pour son réseau de diffusion. La presse n'a rien demandé et donc n'a rien obtenu. Nos syndicats de l'époque sont coupables. Seul le syndicat de la CGT du livre à compris que la presse ne pouvait être sauvé il s'est donc battu pour obtenir le départ des salariés dans les meilleures conditions possible. Il me semble qu'il faut comprendre que la gouvernance de la presse n'est pas la cause de nos problèmes mais la conséquence. 

Il y a plusieurs manières d'appréhender le sujet "supérettes", côté amont du métier.
1- Vision "optimiste" : c'est la seule manière pour ne pas voir le nombre de pts de vtes continuer son déclin naturel. Les "autorités" considèrent qu'ils limitent la casse ainsi, persuadés que le réseau traditionnel fera comme d'habitude, continuera en se plaignant...mais continuera.
Ainsi, si les métiers actuels de distribution de la presse meurent à moyen terme, l'honneur de ces Messieurs du Métier sera sauf. Ils auront fait ce qu'il fallait...pour eux.
Hypothèse pas optimiste pour les magasins très dépendants de la presse qui ne peuvent pas, ou n'osent pas s'adapter.
2 - Vision pessimiste : Ils font de la fuite en avant, n'ayant rien d'autre à proposer.

Judiciariser le sujet sera toujours plus vain que l'évolution de consommation, et des habitudes des citoyens. Autrement dit, des défenseurs du métier comme vous, auraient éventuellement raison sur le droit, les ventes continueront de baisser, et les structures déficitaires encore et toujours inadaptées vont finir par trouver leur verdict.
De toute manière, on arrive au même constat : ce système touche à sa fin, car il ne s'est pas réformé.

268 appréciations
Hors-ligne
si  je comprends bien Durand à nous de nous battre pour obtenir un dédommagement et rendre les clefs de nos commerces.

Comme vous le savez? nous n'avons aucune protection, aucune zone de chalandise ou d'exclusivité dans nos contrats. Rien n'empêchera la CDR de mettre un pdv à  moins de 10 mètre de votre magasin ou d'un kiosque.  Rappelez-vous que cela a été fait dans le 12ème avec un magasin Chez  Jean place du colonel Bourgoin il y avait un marchand à environ 5 mètres (qui a disparu) et un second à env 30 mètres juste en face. Encore récemment en région même cas (je vous laisse chercher) un pdv de presse a été installé dans une supérettes à quelques mètres du plus gros pdv de la ville.  Le silence de Médiakiosk sur le projet supérettes est d'ailleurs éloquent.

le problème n'est pas tant la supérette ou le kiosque mais le fait de créer une offre spéciale (réduite) pour eux.  Si demain NAP (env 1.400 pdv) annonce un nouveau concept  destiné à relancer (blablabla)  la vente de la presse le CSMP va t-il créer là encore des dispositions pour l'enseigne Maison de la presse ?

La gouvernance de la presse  adapte le réseau
:  Elle aurait dû le faire avant en favorisant la modernisation du réseau, et pas seulement au travers de l'informatique et de quelques obligations de modernisations, permettant à quelques fournisseurs de surfacturer leurs prestations. Le seul problème c'est qu'elle le fait avec retard au détriment des marchands. Seul l'intérêt des éditeurs compte.  Ils ne prennent pas soin de ceux qui travaillent pour eux,  grâce à l'aide de l'Etat ils pourront continuer avec d'autres. 

Loi Bichet :
« L'Autorité de régulation de la distribution de la presse, autorité administrative indépendante, et le Conseil supérieur des messageries de presse, personne morale de droit privé, assurent, chacun dans son domaine de compétence, le bon fonctionnement du système coopératif de distribution de la presse et de son réseau et prennent toute mesure d'intérêt général en matière de distribution de la presse, dans les conditions définies par la présente loi. 

Evidemment chacun pourra en faire l'interprétation qu'il veut ...  n'a t-on pas laissé le réseau se dégrader...  pour le renouveler ?

Pas du tout d'accord avec vous, Durand.
Toutes les gouvernances successives ont toujours considéré que le flux généré par la presse fait bénéficier les magasins pour le reste de leurs activités. Donc,  pas besoin de les rémunérer plus.
Et aussi que ces magasins n'ont pas la presse à gérer.
Ce qui est vrai en grande partie, mais qui cause sa perte aujourd'hui. Qui supporte de travailler avec des si mauvais fournisseurs, et pour si peu ?
Aussi, pourquoi parler de statut public pour la presse ? Ce statut n'aurait pas changé les modes de conso. Il aurait alors fallu aussi nationaliser la nourriture, la culture...la liberté...plus personne ne souhaite en arriver là aujourd'hui.
L'exemple du prix unique du livre est assez édifiant. Il a profité de plus en plus à la GMS, car il y a encore moins d'indépendants en livre qu'en presse. La Gms réalise ses meilleurs taux de marge grâce au livre ; ils ont facilement 40%, soit 5-6 points de plus que les indépendants...cette loi a aidé et aide encore les petits, mais voyez les dégats. Pour la musique, et le ciné, c'est pire, il ne reste que des Stés de capitaux...ça vous plait tant ?
Certes, les diffuseurs dans leur ensemble portent une responsabilité. Mais connaissant le rapport de forces, les miettes ne suffisent pas.
Pour la CGT, merci pour elle, mais ce syndicat a donné à ses troupes ce qu'il a pris au réseau et à la réforme du métier par un chantage systématique. On a le droit d'adorer. Pas moi.

268 appréciations
Hors-ligne
Quand on parle avec des éditeurs individuellement, beaucoup vous diront que les vendeurs sont essentiels, beaucoup d'ailleurs savent le prix de revient de leurs magazines mais très souvent méconnaissent la rémunération des points de vente.

J'en ai même un qui a eu le culot de me dire qu'il était normal qu'on rémunère mieux un librairie qu'un marchand de presse. Pour lui ce n'est pas le même travail que de vendre son magazine en librairie qu'en kiosque. c'est vrai l'un ouvre à 10h l'autre à 7 heures voire très souvent avant.
En fait pour lui c'était normal de mieux rémunérer les libraires que les marchands de presse, tout simplement parce que vendant très peu en librairie, cela ne lui coutait pas trop cher.  Belle mentalité !

946 appréciations
Hors-ligne
1/ Ce n'est pas la baisse de consommation qui tue nos commerces mais :
- la sous-rémunération volontaire
- le détournement de clientèle par intérêt individuel
- la prédation logistique qui allie inefficacité, irresponsabilité et autoritarisme déplacé.

2/ Le prix unique du livre a été demandé par les éditeurs de livres pour protéger leur réseau de détaillants (et ainsi se protéger eux-mêmes) de la dépendance à la grande distribution.
Cela a fonctionné (cf. USA)
A l'inverse, les principaux éditeurs de presse ont refusé de mettre en place le prix unique de la presse.

3/ Un marché baissier n'est pas un marché mort.
A condition de mettre un terme aux dysfonctionnements volontairement non résolus pour masquer les intérêts individuels non déclarés.
Sans cela la normalisation ISO des messageries serait en application depuis longtemps.
La vente de la presse imprimée peut tout à fait être rentable et perdurer, voire se relancer si l'on supprime les causes de pertes et les détournements.

Tout ceci repose sur la volonté de l'Etat.
Celui-ci a délégué le pouvoir aux principaux éditeurs, sans contrôle.
Il les laisse faire suivant leur intérêt, quels que soient les dommages causés.
La judiciarisation peut, éventuellement, retarder un peu le processus.
En cette matière rien n'est jamais perdu.
Il suffit parfois de tenir pour assister à un revirement inattendu.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

142 appréciations
Hors-ligne


culture Presse est une organisation professionnelle nationale et une fédération de syndicats locaux. 

Question ?

Avons-nous la position  des syndicats locaux ?
Des infos et des .... A vos commentaires

142 appréciations
Hors-ligne
Nous attendons  tous "avec impatience" la communication de l'undp et de  la DGMIC  sur ce succès ....  


Pour rappel 
http://culturepresse.fr/sites/culturepresse.fr//files/news_docs/note_dgmic_modernisation_des_diffuseurs_2016.pdf


Nous resterons, comme toujours, à votre disposition pour compléter votre information ou
répondre à toute question complémentaire et nous savons pouvoir compter sur vous,
pour pouvoir organiser la communication et la promotion de l’effort de l’Etat dans les
meilleures conditions – en cas de succès de notre démarche commune. Pour être clair, l’organisation professionnelle ne saurait apprendre par voie de presse le succès des projets auxquels elle a contribué par sa réflexion et sa documentation – en partenariat étroit et fructueux avec la DGMIC – et ce, parfois après des groupuscules non représentatifs qui ne manquent jamais de s’en attribuer le mérite sans vergogne, pour ensuite le dénigrer aussi rapidement, et réclamer toujours plus, sans aucun élément construit.

Des infos et des .... A vos commentaires
Durand

En 1982 nous étions Quelques 'un à vouloir organiser une gréve pour obtenir le prix unique de la presse. Les diffuseurs de presse dans leur grande majorité ont refusé de faire gréve. Cela a été la même chose quand nous avons voulu lancer une gréve contre le Parisien qui organisait sa livraison au domicile de ses clients. Les diffuseurs de presse (sauf les kioskiers de Paris) ont été incapable de participer à un mouvement collectif. Il sont heureux de mourir...

946 appréciations
Hors-ligne
Dans les entreprises il n'y a pas plus de 6% de syndiqués.
Alors dans une population hétéroclite comme celle des marchands de presse, confrontée a des difficultés financières, démotivée par les dysfonctionnements quotidiens et l'absence d'interlocuteurs honnêtes, et dont l'activité presse ne représente qu'une partie minoritaire du revenu, il ne faut pas s'attendre à pouvoir remuer les foules.

Mais la question n'est pas là! Il faut croire à ce que l'on défend. Ce sont nos idées qui doivent motiver nos interlocuteurs parce qu'ils s'y reconnaissent. Il ne faut pas faire ce que nous faisons pour montrer que l'on a raison mais parce que c'est ce dont nous sommes convaincus. Si les gens en sont convaincus, pour eux mêmes, ils nous suivront. Qu'ils soient marchands ou éditeurs ou ouvriers des messageries ne compte pas. Ce qui compte c'est qu'ils se retrouvent dans nos idées et nos projets.
Quand nous évoquons auprès des éditeurs l'idée de normalisation ISO de la logistique, beaucoup découvrent l'existence de cette possibilité. Ils en entrevoient l'intérêt et adhèrent à cette idée qui n'est pas revendicatrice ou corporative. Et petit à petit nous changeons leur vision, sur nous, mais surtout sur les possibilités qu'il nous reste à exploiter ensemble.
Cela ne fait pas tout. Les changements ne s'opèrent pas immédiatement à l'échelle de la filière. Mais les conceptions évoluent, préparant ces changements.
Cela n'ôte pas la question de la mainmise des majors sur la filière et du laisser faire de l'Etat.
Mais cela en prépare la remise en question en interne. L'Etat suivra quand une majorité d'éditeurs et de marchands se mobiliseront pour travailler ensemble. C'est ce à quoi nous travaillons en améliorant la circulation de l'information et, par là, la compréhension entre les corporations. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

Descartes,
Ce qui est dit juste au dessus est en totale contradiction avec votre appel à quitter le métier, en caractère bien distinct, pour commencer ce post...
Que doivent faire vos disciples ?

268 appréciations
Hors-ligne
Toutes les décisions de l'AG du 18 juillet dernier sont en ligne sur le site du CSMP

946 appréciations
Hors-ligne
123456, je ne m'adresse pas à des disciples mais à des confrères et autres gens de bonne volonté et de bon sens.

Le discours est clair pour qui veut bien l'entendre.
Que ceux qui en ont la possibilité se détachent de la presse le plus rapidement possible car la situation ne va pas s'améliorer, sauf revirement surprise de l'Etat.
Sans excès de précipitation, à leur rythme, pour conserver leur clientèle.
Quant aux autres, il n'y a aucune raison de baisser les bras face à la situation.
Il faut continuer à défendre les intérêts de la profession, comme nous le faisons.
Cela freine la croissance de nos handicaps et permet de prolonger le délai en espérant le revirement de l'Etat (auquel cette action de défense contribue).

Aucune contradiction dans ce discours.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

176 appréciations
Hors-ligne
Ouais super cool ! le marchand de presse "référent" touchera sa commission de 8% (?) semestriellement seulement après réception de l'attestation semestrielle de la supérette "notant la prestation" dudit marchand...

946 appréciations
Hors-ligne
Oui. S'il accepte de faire tout le travail, il pourra éventuellement, si le gérant de la supérette est d'accord et pas absent pour convenance personnelle, obtenir cette signature miraculeuse.
Là un paradis s'ouvrira à lui.
D'une part il percevra une commission inférieure pour faire le même travail pour autrui, mais en plus, il la touchera avec 7 mois de retard (comme les surcommissions).
C'est pas génial çà ?

Donc non seulement on va vous enlever vos ventes et vous faire sombrer mais en plus il vous faudra faire le même travail pour le compte d'un autre et être moins payé et plus tard.
C'est pas beau le progrès ?
Heureusement qu'on a l'UNDP pour nous représenter. 
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

176 appréciations
Hors-ligne
Ttttt...Tttttt....
Môssieur Panetto a dit : Culture Presse !
Des mots des mots oui mais surtout de plus d'enfumage....

142 appréciations
Hors-ligne

Prochaine mission ...   mettre le tabac et la  fdj   dans les supérettes !
Des infos et des .... A vos commentaires

946 appréciations
Hors-ligne
Non. Prochaine mission : formation obligatoire tous les 6 mois pour deux personnes de chaque magasin (au cas où l'une soit absente).
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

268 appréciations
Hors-ligne
Euh oui surement d'abord trouver la faille pour faire capoter ce projet.  Il doit bien y en avoir une,  si tous ceux qui nous lisent, cherchent... on va bien trouver quelque chose.

176 appréciations
Hors-ligne
C'est prévu ce dimanche pour moi...et au cas ou pas de faille comment tirer profit du truc à notre avantage !


Vous ne disposez pas des permissions nécessaires pour répondre à un sujet de la catégorie Informations de la semaine.

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9934 autres membres