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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Revalorisation

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On ne va pas tarder à savoir sur quel pied danser : continuer à travailler pour la presse ou se sauver comme bien d'autres l'ont déjà fait.

Il ne faut pas que les décideurs croient que nous continuerons par habitude ou amour du métier.
Nous ne continuerons que si :
- L'évolution de la rémunération nous permet de vivre et d'investir
- les contraintes diminuent
- les conditions de travail s'améliorent

Alors, si nous voyons que les propositions des éditeurs sont inconséquentes, nous n'aurons pas d'autre choix que de quitter le navire avant qu'il ne coule (mais sans nous).

Nous entendons par "inconséquente" :
- toute tentative de différer
- le refus d'investir (investir n'est pas redistribuer)
- le maintien du mode contraignant plutôt que le développement de l'intérêt commun
- le refus de protéger nos capacités de vente
- privilégier les GMS et les concessions
etc.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Avec la généreuse offre de notre syndicat allons-nous tous couler ! SUREMENT


Des diffuseurs sacrifiés

la rémunération des diffuseurs de presse, déjà malmenée par la faiblesse de la commission versée par les éditeurs. À 17 % du montant des ventes réalisées, elle représente l'une des plus faibles des pays de l'Union européenne : elle s'établit par exemple entre 21 % et 26 % au Royaume-Uni et entre 20 % à 25 % en Espagne.





Une des plus faibles des pays de l'Union européenne

[lien]
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Les propositions des MLP sont inacceptables mais il est quand même extrêmement surprenant, voire choquant, que celles du syndicat censé représenter les diffuseurs soit beaucoup plus basses que celles d'une messagerie.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Communiqué de presse MLP [lien]
Consultation CSMP sur la rémunération des diffuseurs :
La coopérative MLP considère que la consolidation des commerces « spécialistes de la Presse » est vitale pour l?avenir de la filière. Celle-ci passe par la réforme du statut des diffuseurs instauré sur leur valeur ajoutée et leur engagement de services.
La messagerie suggère de financer cette refonte de la rémunération sur les économies attendues par les réformes industrielles et commerciales déjà engagées. Saint-Quentin-Fallavier, le 27 novembre 2013

- Alors que la chute des ventes au numéro a connu une forte accélération en 2013, menaçant tous les acteurs du secteur et en particulier les diffuseurs qui voient leur nombre diminuer par centaines année après année, MLP demande, dans le cadre de la consultation publique organisée par le CSMP, d?enclencher, sans plus attendre, une réelle réforme du mode de rémunération des commerces de presse.
MLP est convaincue qu?il faut structurer le futur réseau de distribution de la presse en «valorisant le statut et le rôle du diffuseur spécialiste de la presse » pour tout commerce qui souhaite y accéder et en permettant, en particulier, de consolider fortement sa rémunération, son modèle économique et la valorisation de son fonds de commerce.

La solution avancée par MLP permettrait d?améliorer la rémunération des diffuseurs spécialistes de près
de 20 millions d?euros annuellement.

Une consolidation du réseau qui passe par une simplification des catégories et la création de trois statuts : revendeur, diffuseur et diffuseur spécialiste
Reprenant en grande partie les préconisations faites début 2011 dans un livre blanc, mais restées lettres mortes faute de volonté politique à l?époque, MLP propose de distinguer sur l?ensemble du réseau diffuseurs, trois statuts (en lieu et place d?un empilement de dispositifs complexes peu favorables à la dynamique commerciale) :
Le Revendeur. Il s?engage à réaliser un service de base, donc minimum, pour l?activité de vente de presse, celle-ci n?étant qu?accessoire à son activité principale et ne bénéficiant pas d?un espace dédié selon les critères des Diffuseurs de Presse. 
Le Diffuseur. Il s?engage à réaliser des services supérieurs à ceux du Revendeur, mais la vente
de la presse n?est qu?accessoire à son activité principale et ne bénéficie pas d?un espace dédié respectant les critères des Diffuseurs Spécialistes. 
Le Diffuseur Spécialiste est un distributeur qui prend les engagements de services supérieurs et maximum pour la vente de la presse. C?est un distributeur de presse dont l?activité et/ou l?espace de vente dédié sont principalement consacrés à la vente de produits presse.
Pour chaque statut, il est défini un contrat de services en rapport avec un niveau de rémunération qui va croissant.
Les taux de commission s?échelonneront de 12 % pour les revendeurs à plus de 35 % pour les spécialistes, soit une augmentation moyenne de l?ordre de 3 points et qui va au-delà pour certaines catégories.
L?économie de la presse étant fondée sur la richesse de l?offre, MLP souhaite ainsi dimensionner et consolider un réseau pérenne de 14 000 diffuseurs qui représentent près de 90% des ventes nationales et surtout, en leur sein, 6 500 diffuseurs spécialistes qui grâce à l?importance du linéaire consacré aux publications et à leur qualité de service assurent 70% de ces mêmes ventes aux numéros.
Il ne s?agit nullement d?abandonner le réseau de vente complémentaire (48 % des actuels marchands de journaux représentent environ 10 % des ventes) mais, dans une situation de crise structurelle, de prioriser l?allocation des moyens et des charges auxquels le secteur se trouve confronté.
Un financement assuré par une quote-part sur les économies réalisées par la réforme des niveaux 1 et 2 et une révision du financement des frais de livraison
Le coût de mise en ?uvre de cette réforme de la rémunération des diffuseurs « spécialistes », stratégique pour la survie de la vente au numéro en France, a été chiffré par MLP à 20 millions d?euros annuels.
La messagerie coopérative propose au CSMP, pour en assurer le financement pérenne, de réallouer une partie des économies réalisées par la réforme de la distribution et de revoir l?imputation des coûts de livraison des derniers kilomètres (capillarité). Concrètement MLP suggère de consacrer entre 50 et 75 % des économies principalement liées au décroisement des flux, à la mutualisation des systèmes d?information et à la réforme des dépositaires (niveau 2), qui devraient s?élever à plus de 30 millions d?euros. En complément du financement, MLP propose la mise en place d?un prix plancher de 3 ? de frais de livraison qui ne s?appliquera de fait qu?à certains Revendeurs.
Les principes fondamentaux qu?induirait la mise en ?uvre cette proposition de réforme
La remise à plat des taux de rémunération des diffuseurs de presse et la création de trois statuts auxquels correspondent des critères de services objectivables, permettraient une redistribution plus équitable, reconnaissant enfin la valeur ajoutée des points de ventes spécialisés par une rémunération significativement augmentée. Pour MLP, cette rémunération doit être appliquée selon la qualité de chaque point de vente. Elle doit être versée selon les engagements du diffuseur et a priori sur la base de ses résultats de l?année précédente. Enfin, elle doit être versée au fil de l?eau.
Commentant la remise de ce document au CSMP, Patrick André, directeur délégué de la coopérative MLP, a déclaré :
« Il y a urgence à agir pour le « corps essentiel » de spécialistes renforcés économiquement, avant que des dégâts irrémédiables ne viennent miter sa capillarité territoriale en France. Parce que chaque fois qu?un diffuseur et en particulier un diffuseur spécialiste disparait, quel que soit son commerce ou son enseigne, c?est localement une perte irremplaçable, outre d?une vitrine commerciale unique pour la presse écrite, mais aussi d?un espace d?expression du pluralisme des idées et des passions qui participent à la vitalité du pays. Les discussions seront sans nul doute animées et les solutions fortement débattues; nous espérons que la filière saura faire les choix salvateurs et courageux qui s?imposent pour assurer la pérennité de tous ses acteurs. »
Messagerie nationale coopérative avec plus de 600 éditeurs, MLP distribue 3 800 publications de presse et travaille 1,5 millions d?exemplaires par jour. La messagerie livre quotidiennement 129 grossistes et dessert un réseau de 30 000 points de vente, dont un millier de diffuseurs à Paris. MLP a réalisé un chiffre d'affaires de 600 millions (prix de vente public). Au niveau 2, via ses dépôts et les membres affiliés au réseau Alliance dont il est l?Opérateur et qui compte 40 dépôts, MLP assure aujourd?hui 30% de la distribution nationale vers les points de vente, quotidiens inclus. www.mlp.fr

la contribution MLP [lien]


Derni?re modification le 28-11-2013 ? 08:33:10
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Nous devrons dans ces contributions mettre encore plus nos magasins, nos personnels, et nos charges à la seule disposition des éditeurs.

Les éditeurs doivent revoir leurs politique d'abonnements, réduire leurs remises., leurs discounts

ILs offrent des remises allant jusqu'a 65% ou encore plus pour certains Ils donnent aux concessions des commisions de 30% net et des conditions de trésorerie ... bien généreuses

page 17 contribution MLP
Par ailleurs, à toutes fins utiles, il convient de noter que les conditions de trésorerie sont actuellement différenciées et qu?il conviendrait d?avoir un système unique et uniforme pour tous 7.



7 Actuellement : diffuseurs : 1 semaine en moyenne ; Relay : 4 semaines en moyenne ; certains rayons intégrés : 3 semaines en moyenne

Qui était au courant de cette différence, Est-ce légal !!


Dernière modification le 28-11-2013 à 09:02:54

Derni?re modification le 28-11-2013 ? 09:02:59
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Nous devrons encore plus dans ces contributions mettre un peu plus nos magasin, nos personnels , et nos chages à la seule disposition des éditeurs.

Les éditeurs doivent revoir leurs politique d'abonnement, réduire leurs remises., leurs discount

ILs offrent des remises allant jusqu'a 65% ou encore plus pour certain
Ils donnent aux concessions des commisions de 30% net et des conditions de trésorerie ... bien généreuse

page 17 contribution MLP
Par ailleurs, à toutes fins utiles, il convient de noter que les conditions de trésorerie sont actuellement différenciées et qu?il conviendrait d?avoir un système unique et uniforme pour tous 7.



7 Actuellement : diffuseurs : 1 semaine en moyenne ; Relay : 4 semaines en moyenne ; certains rayons intégrés : 3 semaines en moyenne


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Nous devrons encore plus dans ces contributions mettre un peu plus nos magasin, nos personnels , et nos chages à la seule disposition des éditeurs.

Les éditeurs doivent revoir leurs politique d'abonnement, réduire leurs remises., leurs discount

ILs offrent des remises allant jusqu'a 65% ou encore plus pour certain
Ils donnent aux concessions des commisions de 30% net et des conditions de trésorerie ... bien généreuse

page 17 contribution MLP
Par ailleurs, à toutes fins utiles, il convient de noter que les conditions de trésorerie sont actuellement différenciées et qu?il conviendrait d?avoir un système unique et uniforme pour tous 7.



7 Actuellement : diffuseurs : 1 semaine en moyenne ; Relay : 4 semaines en moyenne ; certains rayons intégrés : 3 semaines en moyenne


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Tout le monde est d'accord sur le constat.
Personne ne le juge assez alarmant pour mettre la main à la poche.
Ces propositions sont inadaptées car :
- hypothétiques (il faut d'abord réaliser d'éventuelles économies industrielles)
- étalées dans le temps
- conditionnées à une soumission totale (au lieu d'associer le réseau)
- elles ne prennent pas en compte nos droits (même si elles évoquent leur existence)
- elles ouvrent grand la porte aux GMS et favorisent les concessions
- elles sont ridiculement faibles (20 M? pour 27500 diffuseurs alors que les éditeurs perçoivent 516 M? d'aides de l'Etat)
- la rentabilité calculée sur la base des chiffres annoncés n'offre pas d'intérêt par rapport à d'autres secteurs d'activités moins contraignants
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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A revenir sur l'ensemble de cette contribution

pris au hasard.... en fait, pas vraiment

Par exemple : une GSA, au statut Diffuseur, pourra accéder au statut Spécialiste en
organisant le linéaire presse dans un « shop in the shop » et en respectant les
services exigés à ce niveau. GSA (Grande Surface Alimentaire

MLP ne donne pas un exemple, mais le mode d'emploi pour la GMS de devenir "Diffuseur spécialiste"


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Tout fonctionnait beaucoup mieux avant les MLP

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hypso
que devient presstalis dans cette affaire
non pas que je m'inquiète pour eux ,mais s'il faut payer 1200 licenciements je doute que....
la peur doit changer de camp

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Dany - Avant c'était avant Pour tous je le crois, le plus important est "Demain"

Hypso - Si le niveau 3 a de faibles commissions, c'est parce que beaucoup a été donné au niveau 1 lors des "belles années de la presse". Quand aux licenciements, le retard prix dans l'augmentation des commissions ainsi que les aides publiques (encore nous via nos impôts) paient les départs.

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Et on reprends ce qu'on a donné.

Nous tenons à souligner qu?une telle mesure, et le paiement au fil de l?eau des nouvelles conditions de rémunération, devra cependant s?accompagner de la remise à plat du décalage accordé à tous les diffuseurs en ce qui concerne les Mensuels et Trimestriels au mois d?avril 2013.


Il faut dire que les trimestiels représentent un sacré fond de roulement pour les messageries.

7 Actuellement : diffuseurs : 1 semaine en moyenne ; Relay : 4 semaines en moyenne ; certains rayons intégrés : 3 semaines en moyenne


Aussi surpris que Plusdepresse, il y a des secrets bien gardés. Les éditeurs et messageries financent la trésorerie des Relay . Cool......

Derni?re modification le 28-11-2013 ? 11:24:13

176 appréciations
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Malgré tout je retiens leur classification
- revendeur
- diffuseur
- diffuseur spécialisé
MAIS à la seule et unique condition que l'ensemble du réseau soit concerné sans exception : traditionnel, kiosque, concept, concession, GMS/GSA avec un rayon presse équivalent au minimum à 50% du ML pour avoir la classification "diffuseur"

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7 Actuellement : diffuseurs : 1 semaine en moyenne ; Relay : 4 semaines en moyenne ; certains rayons intégrés : 3 semaines en moyenne


Façon subtile pour les MLP de mettre cette différence en place publique = 1 point pour eux

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Aussi surpris que Plusdepresse, il y a des secrets bien gardés. Les éditeurs et messageries financent la trésorerie des Relay . Cool......


EVIDEMMENT notre syndicat n'en parle pas
EVIDEMMENT notre syndicat nous a certainement caché cette information
EVIDEMMENT notre syndicat n'est pas demandeur de conditions si avantageuse !!!

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3 appréciations
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Je viens de lire la proposition des mlp qui contient des propositions de grilles de rémunération, avec contreparties.
La différenciation des niveaux est à retenir, en prenant soin de bien border les critères concernant la grande distribution, "shop in the shop" pas pour, il faut qu'ils soient obliger d'externaliser...s'ils veulent augmenter leur com.
Je me demande ce que réserve l'avenir,(Presstalis, SEPM,...) parce qu'avec MLP on commence à atteindre des montants importants, pour ne pas dire plus. Alors oui il y a des contraintes, mais dans quelle branche du commerce n'y en a t il pas?
20 000 000? pour les 27500 pdv , c'est insuffisant, peut être, mais moi je prendrais bien quand même ce qu'ils proposent, de toute façon pour les 13000 derniers diffuseurs, ça représenterait quoi une com de base de 18%, 50? de plus par mois en moyenne, et quand bien même on passe, dans un élan de générosité à 22% c'est pas avec le plus qu'ils vont faire la fête... A moins que les propositions de l'AADP le leur permette, d'ailleurs c'est quoi les propositions de l'AADP?

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Hors-ligne
Eric tu n'as pas lu ce post de Descartes.

+13% ?
Oui mais Si et seulement si :
- les économies industrielles sont au rendez-vous (ce qui ne sera pas le cas rassurez-vous)
- vous acceptez d'être totalement dépendant (par exemple en renonçant à l'assortiment et au plafonnement)
- vous n'êtes pas trop pressé (car cela va demander des années)

Et

- vous acceptez de vous isoler en laissant 20.000 collègues sur la touche
- vous acceptez d'être en concurrence directe avec les GMS qui vont vous manger tout cru
- vous acceptez que les concessions conservent un net avantage sur vous pour le même travail alors qu'elles sont déjà avantagées par l'importance du traffic
etc.

a noter : les inconvénients sont certains et immédiats. Les avantages sont éventuels et étalés dans le temps.

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Hors-ligne
même 13 pc de surcom sur un Ca qui perd 10 à 20 pc par an et qui se rapproche de zéro . non merci

163 appréciations
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"Nous tenons à souligner qu?une telle mesure, et le paiement au fil de l?eau des nouvelles conditions de rémunération, devra cependant s?accompagner de la remise à plat du décalage accordé à tous les diffuseurs en ce qui concerne les Mensuels et Trimestriels au mois d?avril 2013."
mais encore !!!!!!!!!!!!!!!!!
la peur doit changer de camp

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Hors-ligne
Mensuels au comptant, trimestriels à 8 semaines pardi !!!...
SARL MS FUSION

même 13 pc de surcom sur un Ca qui perd 10 à 20 pc par an et qui se rapproche de zéro . non merci

C'est pour cela qu'il faudrait établir une rémunération fixe selon le nombre de titres en rayon ou bien le volume des livraisons pour tenir compte d'une "location" de notre espace de vente et/ou de notre travail de manutention.

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Hors-ligne
pingu
donc ce n'est plus au fil de l'eau.
pour moi au fil de l'eau cela signifie que tu paies le lundi ce que tu as vendu la semaine précédente, que ce soit un quotidien ,un hebdo ,un mensuel ou un bimestriel.
ce que tu as encaissé c'est simple.
un z caisse -les coms
la peur doit changer de camp

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Hors-ligne
Hypso ils parlent "des nouvelles conditions de rémunération" ( paiement des coms au fil de l'eau) et non des réglements de facture.

163 appréciations
Hors-ligne
c'est lié.
si tu n'as pas le % de com comment fais tu la facture.
avec la différence qu'au fil de l'eau
si tu as vendu 100 avec 15% de com tu as gagne 15 et ta facture est de 85.
en 1 minute je sais combien je paie
avec la facture CEFODIP
bonne chance !!!!!!!
la peur doit changer de camp
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