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AADP pour l'avenir des diffuseurs de presse

Véronique Faujour Présidente de MLP

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Des infos et des .... A vos commentaires

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Véronique Faujour‏@vfaujour

Et si on inversait la courbe ?



Dernière modification le mercredi 08 Juin 2016 à 18:19:33
Des infos et des .... A vos commentaires

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fab


Il est temps de tout changer et d'integrer les diffuseurs de presse dans la réflexion, nous ne sommes pas des executants, c'est nous qui faisons vivre le réseau.
Le jour où tous les intervenants l'auront compris on pourra peut etre s'en sortir
Bonne soirée à tous

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C'est bien de dénoncer le système.
Mais c'est du domaine du discours, pas des faits.
Tout le monde est au courant depuis longtemps.
Le Président de la République est au courant et s'en moque.
Il a promis l'annonce d'une réforme avant fin 2015 et c'est resté sans suite.
Les différents ministres de la Culture sont informés et ne bougent pas.
Les éditeurs le savent et ne font rien sauf dire qu'ils sont en difficulté alors qu'ils sortent des résultats en % à deux chiffres.
Les grands fonctionnaires de l'Etat sont d'accords sur les faits dénoncés mais rien de concret ne sort.
Les députés sont conscients du sujets mais pour autant ne bougent pas.
Tout le monde s'en fout.
Le résultat est que cette année ce sera 1000 de moins mais l'an prochain 3000.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Amusant quand même, mais surtout triste lorsque l'on sait que Madame Faujour  DG de Uni-Editions est aussi membre du SEPM qui a programmé la baisse du nombre de points de vente.

Dernière modification le jeudi 09 Juin 2016 à 13:10:36

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Son "duettiste" Patrick André ne voyait que "des épiphénomènes" aux magasins qui fermaient déja ou qui changeaient d'activité par manque de rentabilité.
Le métier veut inverser la courbe...mais avec quel argent ?
Pas avec celui des diffuseurs dont les trésoreries sont asséchées, pour ces mêmes raisons.
Paradoxe ubuesque quand le métier fait tout pour remplacer la presse par autre chose, comme le fait NAP après la Seddif, comme le fait médiakiosq, et comme on demande à tous les autres diffuseurs d'aller dans ce sens.
Tous font semblant de découvrir ce qui se passe, alors qu'ils tiennent les rennes. Ce sont les décideurs non clairvoyants ou menteurs qu'il faut réformer.

Dernière modification le jeudi 09 Juin 2016 à 09:55:33

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Pas "ou", mais "et".

Les seuls décideurs sont les principaux éditeurs.
L'Etat leur a laissé la gestion de la filière et ils en ont abusé en ne gérant que leurs intérêts propres.
Aujourd'hui, il est plus intéressant pour eux de conserver la distribution papier que de la supprimer comme ils l'avaient envisagé avec leur rêve numérique. Mais ils ne veulent pas entretenir leur outil et préfèrent le laisser mourir que de s'en occuper, espérant que l'Etat viendra à notre secours pour leur compte. Mais l'Etat ne veut plus jouer.
Nous en sommes là, chacun se regardant, et les marchands disparaissant.
La vraie question est que nous sommes à la croisée des intérêts.
Pour l'Etat nous avons un intérêt public : assurer la pluralité et l'animation des centres villes et quelques emplois.
Pour les éditeurs nous avons un intérêt économique : servir de support de commercialisation de la publicité et de vente de quelques revues et, assurer la visibilité de leur titres.
Mais aucun d'eux ne veut payer et chacun attend que ce soit l'autre qui prenne en charge notre rétribution.
Dans un système pareil, quel que soit celui qui craquera le premier, notre rétribution se fera toujours à minima.
La seule solution serait le regroupement que nous prônons depuis trop longtemps déjà et qui ne vient pas, parce qu'une majorité ne sont pas concernés et que dans la minorité intéressée beaucoup baissent les bras parce que c'est plus facile que de se défendre.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Inutile de discourir

Le SEUL RESPONSABLE de notre situation c'est l'UNDP et collatéralement le LAXISME IRRESPONSABLE des marchands de presse.

Point barre!

Dans toutes les situations l'individu récolte ce qu'il sème

Messieurs les Marchands de Presse vous ne méritez pas l'investissement de l'AADP
Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite (Henri Ford)

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il y a de l'agitation dans l'air avant une importante AG du Csmp, donc beaucoup de gesticulation même du coté du ministère ... on ne sait jamais avant les élections, si nos collègues décidaient de se mettre en grève.

Quand on lit ce qui est dit dans la Correspondance de la Presse, comment l'Undp peut-elle être crédible.

Nous sommes bombardés de mails d'Union Presse qui sont sponsorisés par les éditeurs. Comment après cela encore demander de l'argent aux éditeurs.  A moins que ces derniers ignorent que Union Presse c'est l'Undp... ils ne sont quand même pas si ignorants.

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On connaissait l'extrémisme politique.
On découvre l'extrémisme pseudo-syndical, avec ses dérivés : ignorance, incapacité, jalousie, mensonge, populisme... Heureusement aussi, non crédibilité.

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Il est vrai que ceux qui veulent: flatterie, honneurs ou faire partie de la cour du syndicat ne peuvent qu'être en désaccord avec des membres du forum.   Heureusement qu'il y a encore dans ce pays des trublions qui souhaitent faire bouger le système en place et ses dérives. On voit ou il nous a mené.

Certains devraient se mettre à lire la lettre A et la Correspondance de la Presse au lieu de porter des jugements aussi rapides.

Au fait que devient le fameux  "Cercle des Commerces de Presse" après presque un an d'existence..?  Quel est son bilan?

Dernière modification le vendredi 10 Juin 2016 à 10:40:03

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On connait également l'inaction pseudo-syndicale avec l'absence de réalisation et de résultat, l'absence de revendications, l'absence de communication, l'absence de transparence financière, les pratiques financières douteuses, l'absence de l'esprit démocratique traduit par les documents statutaires et leurs évolutions successives.

Mais seule nous importe l'avancée de nos idées, le débat sur les uns ou les autres étant inutile et stérile.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.

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Vous opposez réalisme et idéalisme.
Bien sûr, l'undp comme vous aimerait que le réseau ait un autre visage et d'autres moyens...
Exiger par la force ne peut aboutir quand trop peu de points de ventes sont pros, hétéroclites et dispersés. Mépriser ouvertement comme vous le faites, ceux qui sont sensés mieux nous rémunérer par équité, n'a aucune chance. Mettez vous à leur place. Si vous aviez vos entrées, vous n'oseriez jamais tenir le même ton qu'ici, sachant bien que vous vous feriez virer.
Négocier, c'est la base de tout syndicat qui veut faire avancer ceux qu'il représente. Et il ne suffit pas de vouloir négocier pour obtenir.
Croyez vous vraiment que l'espace de négo peut aller jusqu'à 10 points -le besoin principal-  quand il faut des années pour en obtenir que 2 ou 3 ? Le mal est structurel.
Tant que le système n'est pas déverrouilléavec l'aide des Pouvoirs Publics, rien ne changera beaucoup. Et je suis persuadé qu'il ne manque pas grand chose . Que qq volontés bien placées. L'autre question, est-il encore temps, est-ce encore le sujet dans les sphères ?


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TOUT EST DIT  :
Tant que le système n'est pas déverrouillé avec l'aide des Pouvoirs Publics, rien ne changera beaucoup

vous avez raison ... Mais n'aurait-il pas aussi été verrouillé avec la complicité passive de certaines personnes de ces mêmes pouvoirs publics ?


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Les temps changent. Les esprits aussi.
Intéressés mais pragmatiques.
La conjonction de la crise et de l'absence d'eldorado numérique conduisent les éditeurs à avoir besoin des ventes, plus qu'ils ne l'avaient imaginé.
En même temps les équilibres sont bouleversés (SEPM/SPQN par exemple) et de nouveaux acteurs rejoignent le terrain quand d'autres, historiques, en sortent.

L'heure n'est plus à l'exécution soumise mais à la recherche de solutions.
Nos interlocuteurs l'ont compris.
Cela ne les empêche pas de tenter de conserver leurs prérogatives et leur indépendance.
C'est légitime.
Ce qui l'est moins c'est le manque de prise en compte de cette évolution par certains acteurs dont le confort n'est jamais aussi grand que dans la soumission.Toutefois le changement est proche et, nonobstant vos suppositions, nos entrées se multiplient, prouvant qu'au-delà de notre dénonciation des défauts du système, notre réflexion sur l'avenir est porteuse de solutions ou, tout au moins d'ébauches de solutions justifiant débat et négociation.

Là où je vous rejoint c'est sur le rôle de l'Etat. Nos gouvernants, s'ils manquent de courage politique, ne manquent pas de moyens et, sans agir ouvertement, peuvent réellement changer le cours des choses. Dans ces milieux-là aussi on constate une évolution et nos contacts se multiplient. C'est juste une question de timing. Rappelez-vous la patate chaude laissée par le précédent gouvernement à celui-ci en 2012. Juste retour des choses en 2017.
Dommage que nous en fassions les frais et que l'action du futur gouvernement soit incertaine.
Si tu veux la paix, prépare la guerre.
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