www.marchandsdepresse.com

Quand quelque chose est bien il faut le dire.
Presstalis vient de confirmer par écrit que les consommateurs étaient notre clientèle.
Ils l'écrivent plusieurs fois dans l'article qu'ils diffusent sur la vente de versions numériques 
Diffuser la presse numérique
Ainsi lorsqu'il s'agit de nous vendre un projet ils disent que les clients sont les nôtres mais sur le plan juridique ils soutiennent que ce sont les leurs.
Il y a là quelque chose d'incohérent qui ne tiendra pas longtemps en justice.
Alors encore merci à Presstalis de nous fournir les éléments pour étayer nos arguments.
Nous les conservons précieusement.
Continuez comme ça messieurs. 

Méfions nous aussi de ces sondages qui sont utilisés ensuite

15.000 marchands interrogés... 2.000 réponses et l'on en tire des conclusions.
Les 86% sont évidemment 86% de 2.000 et NON de 15.000!

Descartes,
Où allez vous vous perdre là-dedans ?
Quand vous achetez une voiture, une bouteille de champagne... vous êtes autant le client du vendeur que de la marque. Et alors, ça change quoi ?
Vous pensez sérieusement avoir fait une découverte ?

Oui mais que le "livreur" revendique la "clientèle du vendeur et/ou de la marque", cela peut surprendre certain en effet...

Aucune découverte là-dedans, juste un coin enfoncé dans l'argumentation qui nous est opposée pour maintenir les marchands dans la situation de dépendance aux éditeurs.
La notion de propriété de la clientèle est déterminante pour de multiples raisons.
- statut juridique et obligations qui en découlent,
- propriétés des données et monétisation de leur exploitation
- valorisation du fonds de commerce de presse et impossibilité de dire qu'il est transmis à titre gratuit,
- protection de la possession de cette clientèle en droit commercial et application des clauses liées à la concurrence commerciale.
Etc.

C'est extrêmement important même si vous n'en êtes pas conscient.
Il n'y a qu'a voir les procès passés pour s'en rendre compte.